• Ma chair estivale,

    Si j'ai bien saisi tes disponibilités du moment, je comprends que tu es bloquée à la maison, autant pour préparer le départ que pour surveiller ton neveu. Aussi, je te proposerai ici une petite mission domestique.
    J'aime beaucoup l'utilisation que vous faîtes, Marc et toi, de vos téléphones portables. Donc, le jour de la mission, tu enverras un message à Marc lui disant que tu as très envie de lui, que tu attends le soir avec une impatience fébrile et qu'en attendant, tu te prépares à le recevoir. Cela signifie que tu seras en train de te caresser. Mais attention, comme il s'agit d'une mise en condition, tu devras t'arrêter avant de jouir.

    Le soir venu, si tu te fais bien comprendre de Marc, il aura inévitablement envie de toi. Si tel est le cas, je reprends alors une idée que je t'avais précédemment soumise sans succès : Marc étant passif, il te faudra l'amener à l'orgasme sans le toucher de tes mains. Tu lui demanderas donc de te les attacher dans le dos avec un foulard. A toi dès lors d'utiliser le reste de ton corps au mieux.

    Dans cette situation, tu peux penser qu'il te sera difficile d'atteindre le septième ciel mais si tu as consciencieusement respecté les consignes précédentes, tu devrais être suffisamment échaudée pour ne pas avoir trop de problème.

    Bonne soirée et à bientôt.

    Un Maître.

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  • Bonjour,

    Merci de votre compréhension et merci également de vos félicitations car ce n'était pas forcément très facile à réaliser : Je me suis dis, après coup, que si Guy m'avais demandé d'avancer ou de bouger, j'aurais été bien embêtée ! Il faut dire que je n'ai réalisé cela qu'après coup et heureusement car cela m'aurait complètement bloquée !

    Pour répondre à votre question, mes congés débutent lundi, ceux de Marc la semaine qui suit. Cela va me permettre de commencer à préparer les valises.

    A bientôt.


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  • Ma chair désappointée,

    Je suis un peu déçu que tu ne sentes pas cette mission car je la trouvais pour ma part plutôt originale. J'ai eu un contact avec Michel suite à la publication de ton billet. Tu as tout son sentiment et il te libère du joug de cette tâche, déçu bien sûr lui aussi mais satisfait que tu y aies donné le maximum et reconnaissant que la naissance du désir et de l'envie y était peut-être plus difficile qu'il ne le pensait.

    Considérons donc que cette mission est terminée. Je trouve, au passage, que requérir l'aide de Guy était une excellente idée qui laisse à nouveau profiter tes lecteurs de ta perversité. Cela permet également de constater que tes rapports avec l'adolescent ont repris leur cours tranquille. Pour ma part, je trouve cela très réconfortant.

    Pour savoir comment organiser la semaine qui nous reste, j'aimerais savoir si tu dois rester à la maison ou si tu continues à travailler.

    A bientôt.

    Un Maître.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • Bonjour,

    Désolée mais j'ai un peu de mal avec cette mission qui, malheureusement pour Michel, ne m'emballe pas trop ! Ne m'en veuillez pas, j'essaie d'être sincère car c'est la base du plaisir. La seule chose que j'ai fait, pour vous prouver quand même ma bonne volonté, c'est de faire un essai.

    Cela s'est passé ce week-end, lorsque Marc est sorti. J'avais mis une robe longue et j'ai suivi vos recommandations donc je portais un porte-jarretelles et des bas noirs. J'avais déjà un peu réfléchi à l'objet en question et ma seule trouvaille avait été un porte ustensile pour les accessoires de cheminée. Il se termine par une sorte de boule qui sert à l'attraper et à le déplacer. Bien évidemment, il se trouve dans le séjour ce qui complexifiait un peu la mission...

    J'ai pris le prétexte du ménage à faire pour peu à peu me rapprocher de la cheminée. Là, j'ai d'abord vérifié que j'étais seule et j'ai enjambé l'objet en question. La hauteur était juste ce qu'il fallait (en fait, j'avais vérifié avant, lors de mon repérage). Le contact du métal sur ma peau était un peu froid mais cela a contribué à commencer à m'exciter. Je n'étais pas très à l'aise tout de même car je savais que Guy n'était pas très loin ! Malgré cela, je sentais que je commençais à mouiller et je frottais mon clitoris contre. Cela me donnait envie de jouir et cela me faisait prendre conscience que je faisais quelque chose de mal !

    J'ai alors commencé à ressentir du plaisir. Mais se masturber sans se toucher n'est pas facile et j'ai commencé à comprendre le sens de la mission. Je sentais le plaisir venir mais je n'arrivais pas à le canaliser suffisamment pour pouvoir jouir complètement. C'est là que j'ai eu l'idée. Je me suis dit qu'il me manquait un élément pour renforcer encore mon excitation. C'était un peu vicieux mais j'en ai eu envie à ce moment là.

    J'ai pris un album photo et j'ai appelé Guy. De moi-même, je me suis dit qu'au lieu de le fuir, cela pourrait être intéressant (et tellement plus excitant) et le sentir à proximité. Placée comme je l'étais, rien ne se verrait (ma robe tombant de part et d'autre jusqu'à mes pieds).

    En vérité, je n'en menais pas large. Un peu comme quand j'oublie de mettre une culotte. On a beau se dire que personne ne voit rien, on se sent nue. Mais c'est aussi ce qui en fait le charme !

    Guy est arrivé et je lui ai montré l'album photo que je tenais dans la main. Cela me donnait une contenance et me permettait de canaliser son regard vers les photos et non pas vers moi. Pendant que nous le regardions, j'ai commencé à frotter ma chatte. Je sentais maintenant que j'étais complètement trempée ! Quand je vous dis que je suis une cérébrale ! Il me suffit de l'idée pour me transporter au septième ciel ! Mon excitation est très souvent décuplée... La sensation était délicieuse. Nous étions très proche l'un de l'autre et j'étais en train de me masturber en même temps ! J'ai alors légèrement bougé et j'ai commencé à m'enfoncer la boule dans la chatte. J'y allais tout doucement pour ne pas me faire mal et ne pas attirer son attention non plus. Je sentais que je me faisais baiser à coté de mon neveu et cela me plaisait ! Heureusement que Guy n'est pas resté très longtemps car je me suis dit, après coup, que cela n'aurait pas été facile de me retirer de là discrètement ! Dès qu'il est parti, j'ai pu bouger plus librement et je me suis fait jouir comme vous me le demandiez. J'y ai pris beaucoup de plaisir. C'était plus un plaisir intellectuel que physique mais après tout, je crois que c'est ce que j'aime ! Bien évidemment, j'ai ressenti la honte habituelle après coup et il m'a fallu attendre un peu avant de me décider à vous raconter mon histoire.

    Voilà. Mais je m'arrête là car, hormis la variation que j'ai tentée, je n'étais pas emballée plus que ça !

    J'espère que vous me pardonnerez tout de même de ne pas l'avoir exécutée comme vous le souhaitiez à l'origine.

    Je ferai mieux une prochaine fois.

    NB : plus de 600 lecteurs hier ! Quel succès ! J'espère continuer être à la hauteur...


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  • Ouf, Je trouve enfin un instant pour répondre.

    Ma chair chalande,

    Encore une tâche parfaitement réalisée et comme à ton habitude, excellemment améliorée par des trouvailles toutes plus cochonnes les unes que les autres :

    L'idée du boxer qui t'a permis des caresses plus profondes, la sortie de la cabine pour t'exhiber encore plus (tu aurais dû rester plus longtemps pour constater de visu si le chemisier était vraiment aussi transparent !) ou enfin enfoncer le boxer dans ta chatte humide. Le contrat sur lequel reposait cette mission est donc parfaitement rempli et je sui fier ici encore de ta parfaite soumission à mes ordres.

    Je reviens à ce que tu disais à propos de Guy et de la honte qui te submerge. Je pense qu'au contraire, tu dois te comporter vis-à-vis de lui de la manière la plus naturelle qui soit. Il faut qu'il comprenne que tu assumes parfaitement ce que tu as fait, que tu es fière d'avoir su aller jusqu'au bout et que ta soumission à l'autorité de Marc n'est que l'expression de ta volonté propre.

    Sinon, le risque est de voir Guy considérer l'acte comme avilissant... et la femme comme un objet. Non ?

    Comme promis, ta prochaine mission t'est proposée par un de tes lecteurs : Michel. Comme pour celle de Serge, je te la transmets telle que je l'ai reçue afin que tu puisses parfaitement coller aux désirs de ton maître de l'instant.

    Elle se nomme Mission Escargot :


    « Tes maîtres te demandent souvent de te caresser mais sans forcément te faire jouir. Nous allons t'y autoriser mais avec une restriction importante:
    Interdiction d'utiliser tes mains....
    1ere épreuve. Comme une bonne chienne que tu es, tu vas devoir marquer ton territoire. Sans les mains, cela signifie que tu dois trouver/utiliser des objets/choses autour de toi pour te frotter jusqu'à la jouissance. Tu as une semaine pour te donner du plaisir dans chacune des pièces de ton logement.
    On laisse ton imagination débordante remplir cette mission mais voici quelques points à intégrer :
    - La chatte nue mais toujours enchâssée de tes portes jarretelles
    - Un gant pour nettoyer  l'objet sélectionné "avant"
    - Interdiction de nettoyer après les traces de tes excès. (D'où le nom de la mission :-) )
    A toi de jouer: un pied de table ou de fauteuil, une poignée de porte ou de fenêtre (imagine: devoir monter sur un tabouret et se branler collée à la vitre), un rebord de cuvette, un porte-serviette. Raconte-nous bien précisément les détails pour chaque pièce.
    On te laisse imaginer les conséquences:
    Dans chaque pièce, les marques et odeurs de ta situation de chienne lubrique que d'aucun pourront découvrir Le regard baissé pour trouver sans arrêt de nouveaux objets/formes dont tu détourneras l'usage en objets sexuels. Le monde autour de toi va devenir très hot !
    La honte lorsqu' après l'excitation, tu te rendras compte que tu t'es "tapé" une chaise ou une poignée de porte !!
    Bien sûr, en fin de semaine, si tu veux prouver à Marc ta soumission, trouve le moyen de te branler jusqu'à jouir sur sa jambe comme un chien aimant le fait avec son maître. »

    A toi de répondre...

    Un Maître.

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