• Sophie (07/05/2007) : Mission « caresse au cinéma à coté d’un inconnu » réalisée

    Bonjour,

    Et bien ça y est pour le cinéma ! Mais j'y suis allée seule. C'était Vendredi soir et le temps était pluvieux. J'avais déjà planifié cela dans ma tête lorsque je vous avais écrit mon dernier message. Je voulais être bien obéissante. J'avais décidée de devenir une chienne bien attentive à vos désirs. Je m'étais dit « ton maître veux que tu ailles te caresser dans un cinéma à côté d'un parfait inconnu » et cela à achevé de me décider. Je voulais vous prouver que vous avez à votre disposition une salope bien éduquée, à qui il suffit de demander. Toute la journée j'y ai pensé. J'étais rassurée en début d'après-midi, lorsque j'ai reçu votre message réconfortant. Mais, c'était trop tard, le vice était en train de me gagner et je voulais le faire. Je sentais déjà cette douce chaleur dans mon ventre.

    Je suis d'abord rentrée à la maison me préparer et j'y suis allée en laissant un mot à Marc : « Tu n'es pas là. J'ai une terrible envie de jouir et ta queue me manque terriblement. Je vais me distraire au cinéma. J'ai décidé de me faire jouir en pleine séance ! Je ne peux plus résister et l'idée de jouir en plein cinéma est très excitante. Comme ta chienne est en manque et que je suis trempée, j'utiliserai peut-être un gode. A tout à l'heure ! Ah, j'oubliais : J'ai mes escarpins blancs, une paire de bas noirs et mon imper. Je n'ai rien d'autre sur moi pour prendre le RER. Tu comprends, le temps est pluvieux ce soir ! Je suis sure que tu aimerais me faire l'amour. Moi aussi gros cochon ! »

    Malgré mon air sure de moi, je n'en menais pas large tout de même. C'est très excitant d'être dans une tenue pas conventionnelle : On a l'impression que tous les regards convergent vers vous. J'avais l'impression que tout le monde pouvait voir que j'étais complètement nue sous mon imper ! Ca me faisait comme des picotements partout. Et puis cette chaleur qui enflait peu à peu dans mon ventre. Cette impression humide qui fait que l'on se sent devenir chienne. Cette envie d'être prise. Ce désir d'ouvrir ce manteau face à un homme et de lui dire de me prendre comme une putain en me collant à lui.

    Il y avait beaucoup de monde au cinéma et je maudissais le ciel qu'il en soit ainsi. Ca me semblait, du coup, beaucoup plus difficile (je m'étais imaginé que la salle serait quasi-déserte). Je suis d'abord allée aux toilettes. Là, j'ai enlevé l'imper. Je mourrais d'envie de me faire jouir ici mais j'ai su résister. J'ai simplement sorti le plug. Je l'ai enduit de lubrifiant, et j'ai commencé à le faire entrer dans mon anus. Une fois ceci fait, j'ai ressenti comme un sentiment de plénitude. C'est une sensation extraordinaire. Je me sentais toute dilatée et cela accroissait encore l'envie de jouir. Je me disais alors que j'étais vraiment une salope. Je suis ensuite sortie des toilettes et, une fois retournée en salle, j'ai assez rapidement repéré ma proie : Un jeune homme qui devait être encore étudiant ! J'ai alors suivi votre demande et je me suis assise à côté. Je ne savais pas encore si j'oserais aller jusqu'au bout, mais cela participait à mon excitation. Je me sentais comme une putain. Il me faut encore vous préciser que marcher avec le plug enfoncé est un délice. Chaque pas vous donne l'impression d'être pénétrée. C'est vraiment divin.

    C'est là que je me suis dit que ma tenue devait poser question et que j'ai commencé à sentir ce mélange de honte et d'excitation. En y réfléchissant, c'est assez curieux de conserver son imper en plein cinéma ! Mais je ne pouvais plus reculer maintenant. Heureusement les lumières se sont éteintes rapidement et le film a débuté. J'avais la gorge nouée mais également une terrible envie. Je n'osais pas bouger. Mes mains étaient posées sur mes cuisses, protégées par mon imper. En fait, je ne pouvais rien faire sans risquer d'éveiller l'attention de mon voisin. C'est là que je me suis dit que vous deviez déjà savoir tout cela et que c'est pour me mettre dans cette situation embarrassante que vous m'avez demandé cette épreuve ! Vous saviez que j'aurais envie de jouir et vous saviez également que pour me faire jouir, je devais me toucher et, par là même, risquer d'éveiller l'attention de mon voisin. Vous vouliez me faire passer pour une chienne. Vous êtes un vrai pervers. Mais c'est aussi pour cela que j'aime vos épreuves. Vous savez me faire descendre lentement dans le vice.

    J'ai glissé ma main très discrètement sous mon imper, à mi-cuisse. Mais il était impossible de faire quoique ce soit sans la remonter. Malheureusement, il était également impossible de la remonter sans ouvrir le bouton du bas de l'imperméable. J'ai attendu cinq minutes et, du plus discrètement que j'ai pu, j'ai ouvert ce bouton. Je n'en menais pas large. J'étais en plein cinéma public et il y avait du monde un peu partout ! Ma main pouvait maintenant remonter légèrement. J'atteignais la lisière de mes bas et la chaleur de mes cuisses. J'étais bouillante. Mais j'ai alors compris qu'il me faudrait ouvrir encore un dernier bouton pour accéder à ma chatte. J'ai alors pensé à renoncer. Et puis, j'ai également pensé qu'avec mon message précédent, renoncer signifierait sans doute ne plus avoir de mails. Je vous avais promis d'être bien obéissante ! Je sentais la honte m'envahir, me demander comment j'avais pu en arriver là ! Alors sans réfléchir plus avant, j'ai doucement ouvert ce bouton. Je me sentais couler. Le bas de mon imper s'est ouvert un peu plus et, lorsque j'ai un peu desserré mes jambes, les pans de mon manteau se sont ouverts. Je ne réfléchissais plus à rien car j'aurais été complètement paralysée. Hormis ce jeune étudiant, il n'y avait personne dans la même rangée. Je savais qu'il pouvait voir mes cuisses au-dessus de mes bas. Je savais que maintenant, il se doutait que j'étais nue sous mon imperméable. Cela dopait mon excitation. Vous vouliez que votre putain se branle à côté d'un parfait inconnu. Je l'ai fait. J'ai complètement écarté les cuisses et j'ai frotté mes doigts sur mon clitoris. Je n'osais pas le regarder mais je savais qu'il me regardait. J'ai jouis très rapidement. Avec une force extraordinaire, comme vous savez toujours le faire par vos situations débauchées. Lorsque j'ai rouverts les yeux, je me suis dépêchée de regagner les toilettes pour enlever le plug et je suis rentrée à la maison. J'ai rarement ressenti autant de honte ! Mais ma jouissance a été divine. En rentrant, Marc n'était pas encore là ! J'ai déchiré le mot que je lui avais laissé car j'étais vraiment très honteuse. Lorsqu'il est arrivé un peu plus tard, je ne lui ai rien dit. Comme il était fatigué, je n'ai pas osé lui demander de me prendre. Nous n'avons pas fait l'amour depuis bien longtemps !

  • Commentaires

    1
    Lo
    Lundi 7 Mai 2007 à 12:16
    MMMM
    J'adore ton blog et je te trouve de plus en plus vicieuse.. Tu aurais peut etre dû te branler devant Marc aussi, suis persuadé qu'il aurait adoré... Si tu veux d'autres idees ou defis, fais moi signe
    2
    Victor
    Mardi 8 Mai 2007 à 16:53
    Obéissance
    Sais-tu ce qui me plait le plus dans tout ce que tu nous relates ici ? C'est le mot que tu as écrit à ton mari. Il était superbe ! Quel dommage que tu l'ais détruit, il aurait été magnifique qu'il le lise, et encore plus qu'il le lise en ta présence : tu aurais été terriblement honteuse et em même temps terriblement excitée, n'est-ce-pas ? Et peut-être t'aurait-il demandé de te caresser à nouveau devant lui. La prochaine fois que tu as une consigne de ce genre, fais-le lui savoir en lui laissant un mot, mais cette fois-ci, il doit le lire.
    3
    bob
    Lundi 14 Mai 2007 à 19:28
    sex
    jadore ton blog je suis comme toi j ai souvent envi de jouir comme toi j ai envi de jouir avec toi
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