• Sophie (15/05/2007) : Avant de rentrer du travail

    Vous n'êtes qu'un pervers. Vous me faites faire des choses immorales ! Je n'en peux plus. J'ai envie de jouir.

    Voilà le courrier que je vais donner à Marc en rentrant :

     Mon amour,

    J'ai pensé que tu aimerais savoir que j'ai très envie de toi. Je te savais fatigué ce week-end et je n'ai pas osé te demander de me faire l'amour. J'en ressens pourtant une très grande envie. Cela irradie mon corps et je suis toute chaude. En plus, j'ai rêvé de choses cochonnes cette nuit : J'avais reçu un mail d'un inconnu qui me demandait d'enlever ma culotte au travail. Je me suis réveillée trempée ! J'ai alors décidé de faire comme s'il s'agissait d'une vraie demande. J'ai passé la journée les fesses nues sous ma robe. J'étais toute dégoulinante. En début d'après-midi, j'ai même enlevé mon soutien-gorge. Je n'avais plus sur moi que mes bas-coutures sous ma robe bleue ! Je t'écris maintenant cette lettre au milieu de mes collègues dans cette tenue de putain. Cela me fait encore mouiller. J'ai envie de jouir. Je sens que si je touche mon clitoris, je pars tout de suite. Mais je résiste. Je veux être ta chose. J'aime les cochonneries que tu me fais faire. Tu sais si bien me pervertir. Pour t'exciter encore, je vais aller enlever ma robe et rentrer entièrement nue sous mon imperméable. Je ne conserverai que mes bas. Je serai prête à me faire baiser.

    Alors écoute-moi attentivement : Je suis déjà ta femme et tu me rends heureuse. Mais dans l'état où je suis j'ai besoin de jouir. Je veux donc devenir ta poupée d'amour. Lorsque tu liras cette lettre, je me tiendrais devant toi et tu pourras tout me demander. Ce ne sont pas des mots innocents que je t'écris ici. Je m'engage à satisfaire tous tes fantasmes, même les plus pervers. Je sais que tu aimes m'humilier. Tu aimes me montrer à d'autres. Tu aimes que je sois une putain. Je me donne à toi moralement. Use de mon corps comme il te plaira. Je t'aime.

    PS : Mon seul désir, en échange de ma soumission totale, est de sentir ta langue contre ma chatte. J'aimerais que tu me lèches partout et que tu me fasses jouir avec ta bouche. Après, je te serai entièrement soumise.

    Sophie, ta putain.

  • Commentaires

    1
    serge
    Mardi 15 Mai 2007 à 19:35
    éblouissant,
    je savais en écrivant ce scénario que je pouvais compter sur ton obéissance et plus encore sur ton imagination vicieuse. Je n'ai pas de mots assez forts pour te dire merci. Je suis un pervers ?! oui et un cochon heureux de l'être !!! serge
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    2
    Victor
    Mardi 15 Mai 2007 à 23:38
    Parfait !
    Décidément, le petit mot de la dernière fois, que tu avais détruit avant que Marc ne puisse le lire, a grandi en cachette, et le revoilà, mais bien plus fort et plus beau ! Ta lettre est parfaite, il n'y a rien à y redire. Quelle progression dans les aveux que tu écris... Je suis certain que tu auras énormément à nous raconter demain.
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