• Sophie (02/04/2007) : Square Parisien

    Bonjour,

    Je n'ai pas encore réalisé votre mission. Ceci dit, j'ai eu mon dimanche bien occupé :
    Marc et moi sommes allé nous promener sur Paris. Il faisait beau et chaud. C'était très agréable. J'avais mis une robe longue. Marc était très câlin ce qui n'était pas pour me déplaire. Après avoir marché pendant quelques temps, nous avons décidé de nous reposer dans un square. Je sentais que Marc avait envie de me parler mais il n'osait pas dire ce qu'il pensait. Je me doutais qu'il voulait me demander quelque chose mais je le laissais venir. Je me sentais bien, sous le soleil du printemps. J'appréciais le moment présent. Marc m'a alors embrassé. C'était très agréable. Je sentais sa langue contre la mienne et cela commençait à me faire de l'effet. Ce cochon savait me faire fondre ! Il s'est enfin décidé à me parler du sujet qui le préoccupait. Il l'a fait en ré-évoquant mon exhibition dans le magasin de chaussures. Il avait adoré cela ! Depuis, plusieurs idées lui trottaient dans la tête... Il m'a re-questionné sur ce que j'avais ressenti et j'ai du lui avouer que j'adorais lui faire de l'effet. Il m'a alors dit qu'il avait très envie... Je l'ai alors questionné sur ces envies. Mais il n'osait pas m'en parler car il avait peur que je ne veuille pas, ou bien que cela ne me plaise pas... Bref j'ai laissé mûrir la chose puis je l'ai de nouveau questionné. J'ai fini par lui dire que s'il ne me disait rien, il n'aurait par définition rien ! Il m'a alors demandé si je serais prête à tout pour lui. J'ai ressenti à ce moment le même début d'excitation que lorsque j'avais senti sa langue contre la mienne. Ce salaud savait y faire pour me donner envie. Je lui ai alors confirmé, une fois de plus, que je n'avais pas de limite lorsque j'avais envie, dès lors que ça lui plaisait. Nous parlions doucement de façon à ne pas éveiller l'attention autour de nous. Les bancs du square étaient assez éloignés les uns des autres, mais je ne voulais pas passer pour une dépravée ! Marc m'a alors demandé d'enlever ma culotte. Je crus n'avoir pas bien entendu. Je levais alors les yeux vers lui interrogative, pour être certaine de ce qu'il me demandait. Je compris qu'il ne plaisantait pas.
    « Tu veux que j'enlève mon string ici, au milieu de tout le monde ? » Marc acquiesça. J'avalais ma salive. Bien sur, nous étions seuls sur notre banc, mais il y avait des gens pas très loin et le square était entouré d'immeubles et n'importe qui aurait pu me voir.

    « Tu es un vrai cochon ! » Marc sourit. Je passais alors mes mains sous ma robe et je défis lentement mon string. Personne ne m'avait vu mais la sensation qu'on aurait pu était délicieuse. Marc tendit la main et je lui abandonnais ma culotte. Il me fit remarquer qu'elle était trempée ! Je rougis. Il me demanda si j'avais envie et je du lui avouer que c'était très plaisant d'être entièrement à sa merci, de suivre ses désirs. Il me demanda si, trempée comme je l'étais, je n'avais pas envie de lui montrer ma chatte. Puis il m'embrassa de nouveau. Je lui dis qu'il n'était qu'un pervers. Nous étions un peu à l'abri des regards mais j'entendais des gens tout autour de nous et la tension commençait à monter. Je lui dis qu'il était en train de faire de moi une salope et je sus, en le regardant, que cela l'excitait. Je remontais alors doucement ma robe et lui montrais mes cuisses. Mais j'avais peur que l'on me voit. Marc s'approcha alors de mon oreille et me dit que c'est ma chatte qu'il voulait voir et non pas uniquement mes cuisses ! Chacune de ses phrases était un délice. Je le découvrais très pervers et je l'aimais comme ça. Je recommençais alors à remonter ma robe et je lui montrais alors explicitement ma chatte humide. Il me dit que j'étais vraiment une putain. J'étais fière de moi. J'étais trempée aussi. Il me demanda si j'avais envie de jouir et je lui avouais que j'étais à point. Je pensais que nous allions rentrer pour faire l'amour, lorsque Marc me demanda alors de me caresser. Je levais encore une fois les yeux vers lui et il me dit très explicitement de me branler maintenant. J'étais complètement trempée et je passais ma main entre mes cuisses par-dessus le tissu fin de ma robe. Marc me demanda si cela m'excitait d'être au milieu de tout le monde et de me caresser. Je lui répondais que j'étais surexcitée et que je n'allais pas tarder à jouir. Il me dit alors d'arrêter. Il me tendit alors un sac en plastique qu'il avait emmené avec lui. Je l'ouvris et je rougis encore car il y avait un godemiché à l'intérieur. J'ouvrais des yeux écarquillés vers lui et, comme dans un rêve, je l'entendis me demander de m'en servir. « Branle ta chatte avec ce gode ! » J'avais du mal à respirer tant la tension était forte. « Puisque tu aimes te montrer, enfonce toi ce gode dans le con et fais toi jouir devant moi. » Puis Marc se leva et alla se placer à 4 ou 5 m du banc, devant moi. Je n'en revenais pas ! Il sortit alors son appareil photo et commença à me photographier. Je regardais tout autour de moi car j'avais peur que les gens, voyant quelqu'un en train de me photographier, ne se mettent à me regarder ! J'ai alors remonté ma robe en écartant les cuisses. J'ai mis le gode en marche et, tout en regardant mon salaud de mari, je me le suis enfoncé dans la chatte. Marc me photographiait de plus belle. Il me demanda alors de remonter mes cuisses sur le banc en y posant mes escarpins. Je n'en pouvais plus, j'avais peur que l'on me voie et pourtant, cela m'excitait très fort. J'ai donc suivi ses demandes. Entièrement. Et j'ai senti la jouissance me submerger. Très très fort. Lorsque j'ai ré-ouvert les yeux, Marc était à coté de moi et souriait aux anges. Nous sommes alors rentrés chez nous.

     

    Si vous le désirez, peut-être que j'arriverais à obtenir ces photos et à les publier ... Tout dépendra des commentaires que je lirai de mon récit...


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  • Commentaires

    1
    Victor
    Lundi 2 Avril 2007 à 22:22
    Exhibition
    Je vois, Sophie, que ta capacité à te laisser aller au vice dans des lieux publics va grandissante. Dans ce que tu racontes, le mieux était que tu étais incitée à le faire par ton mari. Voilà une puissante incitation ! Mais à aucun moment tu n'as refusé : tu étais au contraire bien plus excitée à l'idée de le faire, tu l'avoues volontiers. Et le fait que ton mari te prennes en photo en train de t'engoder dans un jardin public, jambes relevées, offerte aux regards du premier promeneur qui aurait tourné la tête vers toi, n'a fait qu'augmenter ton excitation, n'est ce pas ? Bien plus encore que de te branler, c'est cette exhibition qui t'a fait jouir. Et le lendemain, il est évident que de rendre compte de ton dimanche, de tout raconter, à nouveau te fait mouiller comme une salope. Mais ce qui te fait le plus mouiller, j'en suis persuadé, c'est l'idée de publier les photos de ta moule avec le godemiché planté dedans ! Inutile de le nier, c'est l'évidence. Tu dois publier ces photos, tu serais trop frustrée sinon. Victor
    2
    Donsodme
    Mardi 3 Avril 2007 à 11:26
    Delicieux
    J'en ai pas débandé de toute la lecture... oooo oui quelques photos chère cochonne... Merci à toi
    3
    MuadDib
    Mardi 3 Avril 2007 à 16:45
    Sublime
    Et vive le printemps, le temps des robes à fleurs... et des butinages de boutons. Allons, très chère, inutile de vous faire prier comme cela. Vous savez très bien que vous les publierez de toutes façons ces photos, c'est plus fort que vous si j'en crois ce qu'on peut lire ici. Continuez comme cela et régalez-nous de votre descente vertigineuse. C'est effectivement très bien écrit et surtout terriblement bandant. Bravo.
    4
    Kubrik
    Mardi 3 Avril 2007 à 23:24
    Les photos
    Wow ! Quel blog ! Et quelle salope tu fais en osant te planter une gode dans la chatte en public. Ca me fait mal de ne pas avoir vu ca. J'esp�©re que tu va les publier tes photos. J'ai hate de pouvoir de bouffer des yeux
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