• Sophie (15/03/2007) : Mission « chaussures » terminée

    Bonjour,

    Et merci de vos compliments car il m'a fallu pas mal de courage pour y parvenir ! Lorsque, moi aussi, je regarde cette photo, je trouve que je suis vraiment une salope ! Et vous avez encore une fois raison, j'étais pleine de mouille.
    Pour le blog, Marc va très rarement sur Internet et je pense être à l'abri de ce genre de déconvenue. Je vous tiendrais au courant. Sinon, voici le compte-rendu de ma soirée d'hier :

    Nous étions convenus avec Marc de nous retrouver au centre commercial pour faire quelques courses. J'en ai profité pour mettre à profit cette sortie avec votre mission. J'avais mis une jupe courte et une paire de bas noirs. Bien évidemment, Marc n'était au courant de rien ! Nous avons d'abord déambulé dans le magasin puis, je me suis souvenu que j'avais une paire de chaussures à acheter. J'ai donc proposé à Marc de venir me donner son avis. Nous sommes entrés dans le magasin et sommes allés au rayon des escarpins. Je me suis assise pour en essayer une paire, Marc restant debout. En m'asseyant, ma jupe est un peu remontée et la lisière de mes bas est apparue. J'ai tout de suite vu que je lui faisais de l'effet. Marc était radieux ! Il n'y avait pas grand monde et je l'ai traité de cochon. Comme les chaussures ne me plaisaient pas plus que cela, nous sommes alors sortis du magasin. Marc s'était un peu échauffé et il m'a embrassé dans le cou. Je lui ai alors dit que je le trouvais bien excité ! Il m'a confié qu'il adorait voir mon corps offert.

    Nous sommes ensuite rentrés dans un autre magasin et j'ai recommencé le même scénario. Mais comme il y avait des bancs un peu partout, je lui ai demandé de s'asseoir en face de moi. Il a tout de suite compris l'allusion. Là, j'ai ouvert légèrement mes cuisses en serrant la lanière des chaussures. Ce cochon en a profité pour regarder et a rougit ! Je savais, à ce moment là, qu'il avait vu que je ne portais rien sous ma jupe. Je l'ai regardé en passant ma langue sur mes lèvres. Marc n'en pouvait plus ! En sortant du magasin, Marc était surexcité. Je lui ai demandé s'il aimait que je m'exhibe et il m'a dit qu'il adorait cela ! Je lui ai demandé si c'était le fait de voir ou le fait que je lui montre. Il m'a alors dit que l'un allait avec l'autre. J'ai acquiescé puis nous avons continué notre chemin. A ce moment, j'avais envie d'être plus explicite, mais je n'osais pas lui poser la question. J'avais pourtant envie de l'exciter un maximum. Marc continuait à m'embrasser dans le cou lorsque nous nous arrêtions devant la devanture d'un magasin. Cela m'a un peu enhardit et je lui ai dit que ce n'était pas tout à fait lié. Comme il était interrogatif je lui ai précisé que d'autres que lui auraient pu voir et que ce n'était donc pas forcément lié. Bien évidemment, j'étais devenue toute rouge en lui disant ! Marc était comme fou. Il m'a traité de cochonne et j'ai clairement vu que je l'excitais énormément. Je lui ai alors reposé la question en lui demandant ce qui l'excitait le plus entre le fait que lui me voit ou celui que je m'exhibe. Il m'a alors serré contre lui en m'embrassant avec sa langue, puis il m'a demandé si je serais prête à m'exhiber pour lui. J'ai mis ma bouche contre son oreille et je lui ai dit que j'étais sa putain et que j'étais prête à toutes ses envies.
    Nous sommes de nouveau entrés dans un magasin de chaussures. J'ai demandé à Marc qu'il aille chercher un vendeur et j'ai  lu de l'envie dans son regard. Il était comme tétanisé, mais il est revenu avec un vendeur assez jeune et je lui ai demandé ma pointure. Lorsqu'il est revenu avec les chaussures, je me suis assise sur le banc. Marc se tenait à l'écart et regardait discrètement. Ma jupe est remontée et j'ai vu que le vendeur rougissait. J'ai alors recommencé ma mise en scène en essayant de lasser mes chaussures et en écartant légèrement les cuisses. Je peux vous garantir qu'il n'en a pas perdu une miette car il est devenu rouge pivoine ! Il a clairement pu voir ma chatte rasée. Marc était au bord de la crise cardiaque ! Du coup, j'ai fini par acheter les escarpins !

    En rentrant chez nous, Marc m'a dit que j'étais une vrai salope et nous avons fait l'amour comme des bêtes !

    J'espère que vous êtes content de ma perversion !

    Ce week-end, nous avons prévu de sortir au cinéma et d'en profiter pour déjeuner au restaurant. Je vous tiens au courant.


  • Commentaires

    1
    Cavagnolo
    Samedi 13 Octobre 2007 à 17:12
    Conseil Mission chaussures
    Chère Sophie, J'aimerais me permettre de vous demander soit un conseil soit vous proposer une nouvelle mission qui pourrait nous faire progresser ma compagne et moi. En effet, nous affectionnons le genre de jeu auquel vous vous livrez mais avec, semble-t-il, moins de bonheur que vous. Dernièrement, nous avons imaginé arpenter les boutiques de chaussures afin d'en appréhender voire susciter les réactions des vendeuses. Notre "cible" était effectivement féminine. Christine portait une robe que l'on pouvait déboutonner facilement tant en haut qu'en bas et, bien sûr, aucun sous-vêtement. Son sexe est quasiment entièrement épilé. A l’entrée dans chacune des boutiques, le haut de la robe toujours ouvert permettait systématiquement dans l’entrebaillement du tissu de découvrir sa poitrine plutôt menue (85B) mais bien faite. En y prêtant attention et de profil, on pouvait voir entièrement ses seins. Après avoir choisi plusieurs modèles à essayer, notre choix se portait sur une vendeuse d’âge compris entre 30 et 50 ans, coquette et bien habillée. Christine, assise sur les banquettes d’essayage, croisait ses jambes qu’elle a très jolies et fines, de manière à ce que sa robe remonte assez haut sur ses cuisses. Je restais à l’écart dans la boutique ou, parfois, dans la rue. Nous avons enregistré plusieurs réactions : des vendeuses aucunement intéressées par sa plastique et qui ne s’agenouillaient pas pour l’aider à essayer ses chaussures, aucun retour donc ; des vendeuses qui plongeaient dans son décolleté puis plus rien ; des vendeuses qui s’agenouillaient pour l’aider à passer les chaussures. Pour ces dernières, elle décroisait timidement les jambes en les maintenant d’abord serrées puis, au cours de l’essayage, les écartait doucement pour que notre partenaire « vendeuse » puisse constater sa nudité. Les réactions furent diverses : indifférence ou non vision de ce que nous voulions « proposer », étonnement et, souvent, réaction très timide avec détournement du regard. En tous cas, aucune réaction positive et de coopération ou même de complicité. C’est ce que nous attendions et espérions. Surtout Christine qui était souvent très humide en espérant qu’une main féminine ne s’aventure sur ses cuisses, que les regards de son interlocutrice se fassent plus insistants vers son entre-jambes ou même que celle-ci, suite à un aller-et-retour vers la réserve de chaussures, entre dans le jeu et entre-ouvre, elle-même, ses propres vêtements … Bref, nous avons fait à chaque fois chou blanc. Peut-être, si le challenge vous intéresse, aurez-vous plus de chance …
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