• Sophie (17/05/2007) : Devant Marc

    Bonjour,

    Tout d'abord, en réponse à Duncan, je n'ai pas osé en parler à Marc. Cela viendra peut-être mais j'ai encore de la réticence. Ensuite, en réponse à Serge (c'est Duncan qui m'a transmis votre courrier hier soir), je suis encore bloquée par certaines choses... Cela viendra peut-être ?

    Je vous livre maintenant ce qui s'est passé lorsque je suis arrivée chez moi.

    J'ouvre la porte de la maison. Marc est déjà là et j'en suis heureuse. Il m'embrasse tendrement mais rapidement. Je veux dire que ce n'est pas un baiser passionné avec nos langues qui se mêlent. Comme il repart après avoir prononcé quelques banalités, je me dis que c'est maintenant. Je sens que si je le fais, ma vie sera sans doute différente de ce qu'elle a été jusque là. Il y avait eu une différence entre ma vie d'épouse sage et la situation que vous connaissez ; Il y aura, je le sais, une différence entre ma vie actuelle et celle que je vais découvrir.

    J'appelle Marc en prenant appui contre la table de notre séjour. Je sens le rouge me monter aux joues. Cette honte qui me gagne me replonge dans ce sentiment de faire quelque chose de mal. Marc vient d'arriver devant moi, un peu surpris de mon appel. Je sors alors ma lettre de ma poche. Je ne dis pas un mot (j'en suis incapable !) et je tends ma demande en baissant les yeux. J'ai l'impression qu'il se passe une éternité. Lorsque j'entends à nouveau la voie de Marc, j'ai l'impression que plusieurs minutes se sont écoulées. Il me demande alors d'ouvrir mon imperméable. J'ouvre un à un les boutons, puis j'écarte entièrement les pans de mon manteau. J'ai toujours les yeux baissés. J'attends, soumise à mon homme. Je le sens alors s'agenouiller devant moi. Marc me demande alors de le regarder dans les yeux, ce qui est très humiliant vu ma honte. Il me demande simplement ce que je veux. Ce salaud me demande de reformuler ma demande. Il aime m'humilier. Je suis toute rouge mais je force pour lui être agréable : « Lèche-moi la chatte. » Puis curieusement dopée par  la situation et ce manque de jouissance qui irradie mon corps depuis ce matin,  je continue ensuite sans m'arrêter. Je lui parle avec les mots crus que vous souhaitiez. « Fais jouir ta putain avec ta langue. Suce-moi la fente. » Il me demande de m'écarter la chatte ! Il continue à m'humilier mais cela m'excite comme jamais. Je m'assieds donc sur la table et j'écarte ma chatte pleine de mouille. Il sait à quel point je suis trempée. « Suce-moi, passe ta langue sur mon clitoris, lape-moi comme une chienne. » Lorsque je rouvre les yeux, je sens sa langue contre moi. Je sens la chaleur de sa bouche contre ma chatte trempée. Je vois sa langue passer sur mon clitoris et redescendre ensuite s'enfoncer dans ma chatte. Je le sens ensuite remonter tout doucement contre mon petit bouton puis redescendre encore. Ce salaud se régale de me lécher comme une chienne et je sens que je vais jouir. C'est une sensation divine. J'ai l'impression de lui juter dans la bouche. Je suis secouée de spasmes de jouissance. Lorsque je rouvre les yeux, Marc me contemple. Je le sens tout émoustillé. « Tu n'es vraiment qu'une putain. » Mais je sais, là encore, que c'est un compliment.

    A bientôt.

  • Commentaires

    1
    Trep
    Jeudi 17 Mai 2007 à 11:39
    Un petit bout de femme incroyable
    Je suis... estomaqué! Comment as-tu pu tenir toute la journée avec ce volcan qui irradiait tes reins? Comment as-tu pu prendre le RER sans défaillir avec cette tension qui devait faire bouillir ta tête? (je me mets à la place du passager de l'autre rame! Il va s'en souvenir longtemps et peut-être même regretter sa vie monotone) Comment as-tu pu lever ce bras qui devait peser des tonnes et tendre ta lettre à Marc? Chapeau bas Sophie, ton courrage ferait palir bien des 'guerriers'! Je vais parler au nom de beaucoups de tes lecteurs en te disant BRAVO! et encore BRAVO! Tu es incroyable! Je pense que la dernière missive de Serge (très subtile) te tranquilisera, je reste moi aussi persuadé que Marc te guidera si quelque chose doit arriver avec Guy, et tu n'auras plus qu'a te laisser glisser dans ce délice de luxure. PS: si tu savais combien de fois, adolecent, je me suis fais jouir en pensant à une de mes tantes, sexy en diable, je pense que cela doit être assez courant. Mais combien ont eu la chance de matérialiser ce phantasme? Le seul point délicat reste que Guy devra rester très discret, mais vous pouvez en discuter. Sois sûre que s'il n'avait pas ces pensées en tête, après ce qu'il a déjà vécu avec vous, il ne reviendrait plus, le fait qu'il revient vous voir est comme une déclaration ouverte de ses désirs! Sois certaine qu'il n'attend que toi...
    2
    amin
    Dimanche 20 Mai 2007 à 01:40
    re
    je ne peux dire que bravo pour avoir osé dire ce que les autres essayent de taire au fond d'eux même
    3
    Lundi 21 Mai 2007 à 07:48
    Bravo
    Je viens de découvrir votre blog et tenais à vous féliciter. J'ai pris un énorme plaisir à lire toutes vos pages. Je me reconnais dans les sentiments que vous ressentez lors de vos épreuves. Je dois dire que je vous envie. Je me suis permis de créer un lien sur mon propre blog.
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :