• Bonjour,

    Je te félicite d'avoir su surmonter tes inhibitions car s'ouvre devant moi un océan de créations sensuelles. J'ai hâte de savoir comment tu vas t'habituer à ce nouveau gadget. En fait, je m'apprêtai à répondre à ton envoi précédent en ces termes :

    "Je ne savais pas que ma prose pouvait être aussi érotique. Ce dernier message m'a fait l'effet d'une bombe et a provoqué sur ma personne un intense émoi et je t'en sais gré. Tu dis que tu es en train de devenir une "fille vicieuse". Mais le plaisir n'est pas un vice! Je dirais plutôt que tu deviens "une accro au plaisir". Cela ne fait que me confirmer dans la mission que je t'ai confiée car ta puissance sensuelle saura assurément en retirer les délices charnels que j'imagine.


    Néanmoins, je comprends très bien que cela te paraisse difficile. Mais quel plaisir retirerais-tu d'une action par trop aisée ? Prends le temps qu'il te faut pour accepter cette mission  et la mener au succès. Notre relation doit s'installer, je l'espère, dans la durée.


    En attendant, il me vient à l'esprit que nous pourrions peut être nous permettre quelques jeux sensuels avec Marc comme convive innocent. Tu pourrais lui amener la chose en lui exprimant ton envie de varier les plaisirs grâce à de petits jeux érotiques. En voici un : essaie de l'amener à la jouissance sans jamais ni toucher sa peau de tes mains ni prononcer un mot. Tu devras alors te servir du reste de ton corps pour exprimer tes désirs et parvenir à la jouissance."

    Maintenant, beaucoup des choses que je t'y disais ne sont plus d'actualité et d'autres si mais j'attends avec impatience la suite de nos échanges.

    Ton maître.


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  • Bonjour,

    J'ai encore honte de moi. Ce que vous me demandiez hier me semblait au-delà de mes forces. Je voyais mal comment commander sur Internet (sans parler du paquet à recevoir qui ne manquerait pas de surprendre Marc...) et me rendre dans un sex-shop me semblait irréalisable. Mais je n'étais pas satisfaite, du coup, de ne pas vous contenter.

    Alors, j'ai pris mon courage à deux mains. Je me suis arrêtée au cœur de Paris hier en rentrant du travail. Autant vous dire que je n'en menais pas large. J'ai du passer pour une dépravée ! J'étais toute rouge. Je ne m'imaginais pas qu'il puisse y avoir autant de modèles... J'ai vu des godemichés énormes, qui ressemblaient à de vrais sexes. J'ai même osé en toucher un. C'est doux et légèrement mou comme un vrai ! Il en existe de tous les diamètres. Mais les gros m'ont particulièrement excitée. Il existe même des modèles coniques. Comme je semblais m'interroger sur leur usage, le vendeur m'a précisé (sans que je lui demande !) que c'étaient des modèles pour anus. J'ai repiqué un fard ! J'ai aussi trouvé vos boules de geisha. Je les ai achetées et je suis sortie rapidement du magasin pour rentrer chez moi. Curieusement, je me suis aperçue que j'étais toute mouillée. En fait, je pense que la jaquette d'un DVD montrant une fille nue en train de se caresser m'a un peu excitée. La photo était hyper explicite : elle était entièrement rasée et le godemiché qu'elle utilisait ressemblait à ceux que je venais de voir. Son sexe était très dilaté. De plus, elle avait un deuxième godemiché enfoncé dans l'anus. C'est complètement indécent !

    Je n'ai pas utilisé vos boules. Je les ai avec moi dans mon sac, de façon à ce que Marc ne tombe pas dessus. J'espère que vous êtes content ! J'ai réussi à vaincre mes inhibitions et vous avez indirectement su m'exciter. Du coup, j'ai de nouveau envie. J'aimerais bien que Marc me fasse l'amour. Cela fait au moins quinze jours et je me sens très nettement en manque. Mais il a l'air fatigué en ce moment. J'aimerais bien réveiller son ardeur. D'un autre coté, le fait d'avoir envie me dope et vos demandes perverses m'orientent peu à peu vers le vice...

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  • Bonjour,

    Je trouve que vous y allez un peu fort. Rappelez-vous que je débute en la matière et que je souhaite commencer doucement. Je pense que c'est un peu trop dur pour moi actuellement. Enfin, je verrai ce que je peux faire pour vous contenter...

    Par contre votre message est très excitant et qui plus est, fort bien écrit ce qui me plait particulièrement. J'en ai pris connaissance en arrivant à mon bureau ce matin. Comme il m'a fait de l'effet, j'ai pris sur moi d'essayer de vous plaire. Après vous avoir lu, je suis allée aux toilettes et j'ai retiré ma culotte. Je suis donc les fesses nues sous ma robe. Autant vous dire que je suis trempée. Je me répète sans arrêt que je ne suis qu'une putain. Le problème, c'est que loin de me calmer, cela m'excite d'avantage ! Mon clitoris est tout gonflé et, j'ai l'impression que je pourrai jouir quasiment sans me toucher !

    Je n'ai pas pu résister : je reviens des toilettes.

    J'ai encore du mal à comprendre comment j'ai pu faire ce que je viens de faire ! Vous me faites basculer dans le vice. Une fois la porte des WC fermée, je me suis mise entièrement nue ! J'ai enlevé ma robe et mon soutien-gorge je n'ai conservé que mes escarpins. Comme une putain ! J'ai écarté les cuisses et mes doigts ont seulement effleuré mon petit bouton. Cela m'a fait jouir très fort.

    Aussitôt, j'ai eu très honte de moi. Je me demande s'il faut continuer à correspondre car vous êtes en train de faire de moi une fille vicieuse ! Je viens de me rhabiller et de retourner à ma place. J'ai vraiment honte de moi.


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  • Ma chose,

    Je suis charmé de constater ton intérêt à notre petit jeu. Je dirais même surpris - agréablement - que tu te lances si vite dans cette première mission. Je m'attendais en fait à ce que tu sois plus réservée mais ton engagement m'a énormément plu, au point de m'exciter plus que de raison.

    Je suis marri par contre que tu n'ai pas respecté à la lettre le contrat que je t'avais proposé. Pas de culotte, c'est pas de culotte ! C'était pour moi un des termes permettant d'établir les conditions idéales de l'exhibition. Mais soit, ce n'est que partie remise. J'attendrais donc que tu sois plus avancée dans ta soumission.

    Tu m'avais présenté le contrat qui nous lie par ces termes : "vous êtes le cerveau, je suis le corps". Très bien ! Maintenant que j'ai à ma disposition un corps féminin coopératif - j'oserai même dire bouillant -, donc je vais sûrement pouvoir ainsi donner libre cours à mes désirs.

    Aussi, la mission que je vais te confier maintenant fait partie de mes fantasmes les plus profonds. Je comprendrai qu'elle te paraisse irréalisable mais je compte sur toi pour la mener à terme comme tu l'as si bien fait pour la première.

    Donc voici : tu vas te procurer, pour mon plaisir - et le tien je l'espère -, des boules de geisha. Pour cela, et ce sera ton choix, tu peux les obtenir sur Internet mais je pense que pour ne pas laisser de traces visibles, le mieux serait que tu les acquières dans un sex-shop. Si tu retiens cette solution, et je t'y engage, je te demande alors de flâner dans les rayons et de me faire partager tout ce que tu as pu imaginer pouvoir faire de ce que tu y as découvert.

    Une fois propriétaire de ces boules, je veux que tu les portes plusieurs jours de suite afin de former tes muscles pelviens et ton utérus à leur présence. Alors ensuite tu découvriras le plaisir que peut procurer cet objet, plaisir dont tu ne  manqueras pas de me faire part.

    Prends ton temps pour réaliser cette mission. Attends que ton envie de m'obéir soit plus forte que ton conscient. Je  saurais attendre.

    Ton maître.

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  • Bonjour,

    Je fais une exception à la règle et je réponds à votre message pendant le week-end : Marc est en effet parti faire des emplettes.

    J'ai donc suivi vos recommandations ce matin. J'étais toute mouillée dès vendredi soir, lorsque j'ai lu la première mission que vous m'aviez confiée. Je n'étais pas encore certaine de parvenir à la réussir.

    Comme la période de Noël est propice à faire des achats seuls, Marc n'a pas trop posé de questions lorsque je lui ai annoncé que j'irais faire quelques courses dans <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la matinée. Je">la matinée. Je</st1:PersonName> me suis changée avant d'y aller. J'ai donc effectivement mis une jupe droite courte. J'ai hésité à mettre des bas, mais je trouvais ça excitant. J'ai donc tenté le tout pour le tout et j'ai pris une paire de bas coutures noirs. La jupe arrivait un peu en dessous de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la lisière. Je">la lisière. Je</st1:PersonName> ne tenais pas à passer pour une dépravée non plus ! Mais je n'ai pas osé enlever ma culotte. Cela viendra sans doute, mais je préférais commencer doucement.

    Cela fait plusieurs mois que mes correspondances ont cessé et j'en ai profité pour redevenir la femme respectable que j'étais avant. Ceci explique sans doute que j'ai été longue avant de me décider à vous répondre. Et puis, en fait, Marc ne me fait pas beaucoup l'amour en ce moment et cela a sans doute renforcé ma conviction que ce n'est pas si honteux de correspondre avec vous. Mais, du coup, je repars de quasiment zéro. Il va falloir me rééduquer entièrement !

    Lorsque je suis arrivée au magasin, j'étais trempée. Le problème, c'est que la température à l'extérieur avoisine les <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="5°C">5°C</st1:metricconverter> et que le magasin était surchauffé ! Ceci pour expliquer que j'ai dû enlever mon manteau. Je n'en menais pas large ! Mais curieusement, c'est ça qui dopait mon envie. Le rayon des matelas est à l'étage dans ce magasin. Heureusement qu'il y avait moins de monde en haut, car j'en étais à me demander si j'oserais. Le rayon était quasiment désert (je pense que les gens ont mieux à faire que d'acheter des matelas pour Noël !).

    Je me suis assise sur un des lits d'exposition. C'est là que j'ai compris pourquoi vous vouliez une jupe droite : elle est remontée au-delà de la lisière de mes bas ! Je commence à penser que vous êtes un vicieux... Un vendeur s'est approché et j'ai fait mine de n'avoir rien remarqué. J'ai suivi vos instructions et j'ai dit que j'effectuais une première reconnaissance avant de faire venir mon mari. Ce salaud m'a dit de ne pas me gêner et d'essayer comme je voulais. Mais je l'ai vu plusieurs fois qui regardait discrètement mes bas. Je me suis donc allongée sur plusieurs lits, sur le dos, puis sur le ventre. J'étais certaine qu'il me regardait et qu'il avait envie de moi.

    J'ai fini par prendre congé en lui promettant de revenir avec Marc. J'étais très mouillée.

    Voilà, ce n'est sans doute pas le top de l'érotisme, mais je sens depuis ce matin cette chaleur qui monte en moi et qui me ravage au point d'oublier toutes les bonnes résolutions que je pourrais avoir. Je me sens peu à peu rebasculer dans le vice. Le plus effrayant est finalement de m'apercevoir que j'aime cela.

    Répondez-moi vite.

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