• Ma Putain,
    Dommage pour moi car les missions de Fabrice sont en avance par rapport à mon calendrier. Par contre, le coup de la mission en deux étapes, c'est bien trouvé !
    Bravo à toi d'avoir su mener à bien cette mission hautement érotique et surtout pour le récit fortement excitant que tu en as fait. De plus, te voilà maintenant bien équipée ! Comment vas-tu cacher tous ces gadgets à ton mari ?
    A propos de Marc, tu ne m'as pas encore raconté comment il avait réagi à ta tonsure. T'encourage-t-il à poursuivre ?
    Continue à bien préparer ton anus, quitte à utiliser les gadgets commandés par Fabrice s'il ne l'a pas déjà demandé.
    Voici la mission que je te confie aujourd'hui: tu vas emmener Marc à t'inviter au restaurant. Pour l'apéritif, tu lui annonces que tu aimerais... une bonne giclée de sperme ! Avant qu'il ne réfléchisse trop, tu lui dis que tu l'attends aux toilettes, tu te lèves et tu y vas.
    S'il te rejoint, ce que j'espère, commence par l'embrasser en même temps que tu lui ouvres le pantalon. Ensuite, accroupie-toi devant lui et pendant que tu le suces, caresse-toi à travers le tissu de ta culotte. Au moment de l'éjaculation, sors sa queue de ta bouche et reçois son sperme sur ta langue bien sortie en fixant bien ses yeux. Il faut qu'il puisse voir ce que tu vas
    avaler.
    Une fois ton "apéro" consommé, dis-lui que tu as trempé ta culotte. Enlève-la et arrange-toi pour qu'il la prenne dans sa poche. Retournez alors manger.
    C'est chaud, surtout si quelqu'un vient aux toilettes pendant que vous vous y ébattez !
    A bientôt.
    Ton maître.

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  • Bonjour,

    Quelle semaine ! Comme j'avais un peu besoin de récupérer après la piscine, j'ai donc écrit à Fabrice que je différais cette mission. J'ai reçu une réponse de sa part qui était très sèche et qui me proposait d'arrêter de correspondre puisque que n'étais pas suffisamment obéissante (il devait faire également référence au fait de ne pas m'être rasée tout de suite) ! Je n'y ai pas répondu mais comme je n'avais plus aucune nouvelle de sa part le lendemain, j'ai pris peur ! Je lui ai alors écrit un message qui lui suppliait de continuer. J'ai besoin d'être soumise et de faire toutes ces choses dégoûtantes que vous me demandez ! Je lui ai affirmé que j'exécuterais à la lettre ses missions et que je n'étais qu'une putain vicieuse.

    J'ai reçu alors une réponse en deux parties : Je devais lire la première partie de son message et l'exécuter tout de suite mais imprimer sans la lire la deuxième partie qui se trouvait plus bas. La première partie me commandait (comme la première fois) d'aller acheter plusieurs godemichés à Paris. Mais la description était beaucoup plus explicite : il devait y en avoir un normal ainsi qu'un très gros, dont le diamètre devait être d'au moins 5 cm ! Je devais également m'acheter des plugs avec un normal et un gros (diamètre là aussi de 5 cm) ! Enfin, il devait y avoir un petit vibreur destiné au clitoris. Je commençais à regretter de ne pas avoir obéit aussitôt ! Mais ma mission n'était pas terminée. En signe de soumission totale et de façon à tester si je lui étais entièrement dévouée, je devais acheter ces articles en n'ayant, sous mon manteau, qu'un simple porte-jarretelles ! Vous imaginez ma honte ! Me rendre à Paris, dans un sex-shop et réunir tous ces objets en me disant que j'étais habillée en putain... Mais ma dépendance à ces missions était trop forte. J'avais besoin d'être humiliée. Je me suis donc exécutée et j'ai été acheter les articles demandés. Je n'en menais pas large. Curieusement, la mission s'est plutôt bien passée. J'ai pu trouver l'ensemble des gadgets dans un seul magasin. Ce qui est surprenant, c'est que je me suis aperçue dans le magasin que j'étais trempée. Si le vendeur s'était douté de ma tenue, il aurait fait une crise cardiaque !

    En sortant du magasin, je devais lire la deuxième partie du message. Celle-ci me demandait d'aller dans un cinéma grand-public et de me caresser avec un des godemichés que je venais d'acheter ! J'ai senti, une fois de plus, l'excitation me gagner, mais avec elle, la sensation de blocage, comme si j'étais tétanisée par la peur. Un curieux mélange fait, tout à la fois, d'excitation et de peur.

    Il n'a pas été difficile de trouver un cinéma. Je me suis placée au fond, mais il y avait du monde dans la salle (sans doute les vacances). Le film a débuté mais mes pensées étaient ailleurs. Au plus le film avançait, au plus je sentais la pression monter. Mais au plus la pression montait, au plus l'excitation s'élevait. J'étais trempée. Alors je l'ai fait. J'ai discrètement ouvert le premier bouton du bas de mon manteau et passé ma main sur mes cuisses, au-dessus de mes bas. Ma peau était chaude. Mais pour aller plus haut vers ma chatte, il me fallait encore ouvrir un bouton. C'était à la fois excitant et terriblement paralysant : La honte m'empêchait d'aller plus loin mais m'excitait très fort et cette excitation me commandait d'ouvrir ce bouton. Je n'ai pas résisté. Personne ne pouvait me voir. Le bas de mon manteau s'est ouvert et il s'est rabattu de part et d'autre de mes cuisses. J'avais la chatte nue et mouillée, complètement rasée. J'ai doucement écarté les cuisses. Je savais que je n'étais qu'une putain qui recherchait des sensations fortes. Cela m'excitait. J'ai pris le gode moyen dans mon sac. Il était mou, comme un vrai sexe d'homme. J'ai placé le gland à l'entrée de mon sexe puis, je l'ai très doucement enfoncé. Cette bite rentrait comme dans du beurre tellement j'étais trempée. Centimètres après centimètre, je me suis pénétrée du godemiché. J'étais pleine, la chatte écartée. C'est terriblement jouissif. On dirait vraiment un véritable sexe ! Je sentais que l'excitation était à son comble et qu'un rien suffirait à me faire partir. Mais je voulais prolonger le plaisir. J'ai retiré doucement le gode, de la même façon que je l'avais enfoncé. Je me sentais vide. J'avais besoin d'être pénétrée, de sentir cette queue en moi. Je voulais me faire baiser, me faire jouir dans ce cinéma, au milieu de tout le monde. Je me suis alors calée au fond de mon siège. Personne ne pouvait me voir. Il y avait bien du monde, mais les gens n'étaient pas au même rang que moi. J'ai alors osé un truc inimaginable : J'ai ouvert encore un troisième bouton, puis un autre. J'ai écarté ensuite mon manteau de part et d'autre de mon corps et mes seins nus sont apparus. Quelqu'un se serait levé de son siège pour aller aux toilettes m'aurait vu entièrement nue, habillée en putain. Mais l'envie était trop forte. J'ai alors ré-enfoncé le gode dans ma chatte puis, je l'ai ressorti. J'allais de plus en plus vite et je me suis fait jouir de cette façon.

    Il est évident que j'ai eu extrêmement honte de ma conduite. Je me suis rhabillée et je suis rentrée à la maison.

    Fabrice est satisfait de ma mission. Il ne m'a pas encore donné de nouvelles instructions.

    Quant à vous, je vous écris de chez moi uniquement vêtue de ma guêpière seins-nus. Guy est dans sa chambre mais j'ai fermé la porte de la mienne. Je voulais vous dire que vous aviez raison et que j'avais tort : les caresses anales sont très agréables. Je tape ce message avec une main seulement. Je deviens très obéissante vous voyez. Je me demande même si je ne pourrais pas jouir uniquement par derrière. La sensation est très vicieuse. Cela passe beaucoup par ma tête. Peut-être que bientôt, je laisserais Marc me prendre par-là. De toute façon, vu les achats demandés par Fabrice, je pense que je vais devenir très réceptive de ce coté là.

    A bientôt.

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  • Bonjour,

    Merci de vos vœux de bonheur. Recevez les miens à votre tour. Que cette année nouvelle soit pleine de sensations intellectuelles ! Celles qui font que l'envie monte peu à peu et font que des choses inimaginables et inconcevables au départ finissent par vous occuper entièrement l'esprit. Au point de souhaiter qu'elles se réalisent. Au point de tout faire pour qu'elles se réalisent.

    Lorsque j'ai lu votre message ce matin, j'espérais que vous n'aimeriez pas l'idée que je me rase. J'avais honte de vous en avoir parlé. J'ai d'abord eu un choc en comprenant que vous acceptiez l'idée de Fabrice. Comme je vous avais laissé le choix, je n'en avais pas d'autre que de m'exécuter.

    Marc avait repris le travail ce matin et j'étais seule à la maison avec Guy. Je suis allée dans la salle de bain et je l'ai fait. J'avais terriblement honte. Je ne sais pas comment Marc prendra <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la chose. Je">la chose. Je</st1:PersonName> peux vous affirmer que c'est complètement indécent. Ma chatte et mon anus sont complètement lisses.

    En étant honnête, je dois aussi vous avouer que c'est terriblement excitant. Ma peau est toute douce. Les sensations sont décuplées. Je me donne l'impression d'être une putain. Et je mouille en permanence ! Vous aviez également raison quant aux sensations ressenties : le contact du tissu est très jouissif. Du coup, au bout d'un quart d'heure, j'étais toute chaude dans ma tête. Tellement chaude que je me suis laissé allée à la deuxième partie de votre mission. Mais je suis même allée au-delà. Qu'allez-vous penser de moi ?J'ai proposé à Guy d'aller à la piscine ! Quand j'y repense, c'est vrai que c'est complètement fou ! Mais vos propositions de scénarios me font basculer dans le vice.La sensation du maillot sur ma peau nue est également très agréable. Heureusement qu'il n'y avait pas grand monde en ces lendemains de fête !

    Nous avons d'abord nagé ensemble puis chacun a vaqué à ses occupations. A un moment, Guy est sorti de l'eau pendant que j'y étais encore. J'étais donc de face contre le rebord de <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la piscine. J">la piscine. J</st1:PersonName>'ai doucement passé mes doigts sous mon maillot et je me suis massé le clitoris. Puis j'ai regardé Guy. Au moment où il s'est mis à me regarder, j'ai senti la jouissance m'anéantir. J'ai eu très honte et je me suis mise à nager pour me ressaisir. Je ne pense pas qu'il se soit aperçu de quoique ce soit. Mais le mal est fait : je me suis fait jouir dans la piscine en regardant mon neveu ! Vous êtes un vicieux de m'entraîner ainsi dans des situations vicieuses.

    En vous écrivant, je viens de recevoir la mission de Fabrice. Je n'en peux plus ! Il veut que j'aille acheter des godemichés cet après-midi. Vous allez finir par me rendre complètement débauchée ! Je pense que je n'irai pas. Il faut que je me ressaisisse !


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  • Ma Chienne,

    Meilleurs vœux de bonheur... et de sensualité pour cette nouvelle année qui commence.

     

    La franchise dont tu fais preuve à mon égard est tout à ton honneur et je t'en félicite. Bien sûr, je suis un peu chagrin d'apprendre que je dois te partager mais c'est le jeu. Si tu me fais relation des missions que te confie Fabrice, cela atténuera ma déception ;-)

    Concernant l'affaire Olivier, je n'ai pas dit qu'il aurait fallu le sucer mais juste ne pas le laisser la queue pleine, le choix des armes te revenant. Maintenant, à mon humble avis, il me semble que l'amour oral ne peut pas être assimilé à une tromperie. Il est moins intime, plus facile à pratiquer et surtout exempt de tout danger. A toi de voir. Nous attendrons que tu sois plus avancée dans ton cheminement pour corriger cela avec Olivier.

    Quant au minou rasé, c'était une chose que je réservais pour plus tard. Puisque ton autre maître te l'a demandée, je vais donc te donner maintenant la mission que j'avais envisagée pour cela : elle doit se dérouler à la piscine. Pour cela, il paraît normal que tu te fasses le maillot. Sauf que tu vas appliquer la crème épilatoire de façon trop large ! Il ne reste alors plus comme solution qu'une épilation totale. C'est l'excuse que je te propose de servir à Marc. Tu peux ajouter ensuite que depuis, tu trouves le contact du tissu de ta culotte sur ta peau nue terriblement excitant. S'il ne craque pas avec ça !

    Une fois ceci fait, je te commande d'aller à la piscine et de t'y caresser... dans l'eau. Je te laisse le soin de choisir la méthode mais il te faut néanmoins choisir un homme dans l'assistance et ne pas le quitter pas des yeux jusqu'à ta jouissance.

    A bientôt.

    Un Maître.

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  • Bonjour,

    Voici mon dernier message de cette année.

    Je vous ai fait, en effet, une petite cachoterie : Vous me demandiez dans une autre lettre si j'avais un autre maître. Je n'avais pas osé vous l'avouer mais en effet, je converse de temps en temps avec un inconnu (Fabrice). Je ne pensais pas vous en parler (vous disiez que vous aviez du mal à l'admettre) mais comme je suis une très mauvaise menteuse je vais m'empêtrer dans des messages incohérents. Au moins les choses sont claires. Cela ne m'empêche pas d'attendre impatiemment des nouvelles de l'un ou de l'autre. Ne soyez donc pas jaloux, je reste impatiente de vous lire.

    Il s'agissait bien de ma soirée de Noël. Ce que je n'ai pas osé vous avouer, c'est que Fabrice m'avais demandé de m'habiller comme vous le savez pour aller à cette inauguration. C'était ma mission. C'est en lui obéissant que tout est arrivé ! Comme je préférais vous le cacher et ne pas vous rendre jaloux, j'ai essayé de mettre ce détail dans mon récit qui vous fasse penser que j'exécutais votre gage en suçant Marc. La vérité est que c'est de ma propre initiative que je l'ai sucé ! Je dois reconnaître que j'ai honte de vous l'avouer, mais je suis encore plus perverse que vous ne le pensiez. J'espère que vous me pardonnerez cette petite erreur. Ceci dit, j'étais contente à la lecture de votre mission de voir que vous aviez la même envie.

    Vous me dite de sonder Marc pour savoir s'il serait excité de me voir faire l'amour à un autre homme. Jamais je n'oserais lui en parler. Pendant des années nous avons, en effet, été un couple très conventionnel. L'amour était presque tabou. Cela a conduit à mes envies rentrées et à la suite que vous connaissez. Marc de son côté est assez similaire, c'est du moins ce que je crois comprendre. Il n'ose pas me demander. Mais je pense qu'il a envie. Mais jamais il ne l'avouera explicitement : Sauf le soir où nous avons conversé à peu près librement ou bien le soir de Noël. Curieusement j'ai aussi un peu de mal face à lui. J'oscille entre rester cette épouse qu'il a toujours connue ou bien essayer d'aller de l'avant et lui montrer que je ne suis qu'une chienne.

    Vous me dites ensuite que j'aurais du sucer Olivier ! Curieusement j'ai encore du mal à accepter cela. J'aurais l'impression de tromper Marc. Ceci dit, mon attitude du soir de Noël s'apparentait un peu à ça ! Mais c'est Marc lui-même qui m'avait poussé dans cette situation. Et puis nous nous sommes juste embrassés. Il est vrai, en y repensant, que c'était une situation torride. Plus chaude que si nous avions voulu aller au bout. Il faut savoir laisser l'envie monter. Ça, par contre, Marc le sait : Je suis certaine qu'il ne me fait pas l'amour plus souvent parce qu'il sait que l'envie va me gagner et irradier ma tête au point de me faire faire des choses que jamais je n'aurais acceptées si j'étais repue.

    Enfin, vous me dite que j'aime le sperme. Je dois vous avouer que c'est grâce à vous : Sans votre mission, je n'aurais jamais essayé !

    A ce propos, j'ai suivi votre mission hier soir. Mais le plus dur a été de laisser la lumière allumée. J'ai commencé à le caresser en lui disant que j'avais envie. Il ne m'a pas repoussée. Je pense qu'il a toujours en tête la soirée de Noël. Lorsqu'il a été dur, je lui ai demandé de ne pas bouger. Là, il a fallu prendre sur moi et lui demander d'allumer. Il a été surpris et m'a demandé pourquoi. Je lui ai dit que j'avais envie de me caresser devant lui, comme l'autre soir. Il était ravi. J'étais encore honteuse. Peut-être était-ce lié au fait de parler explicitement devant lui (alors que l'autre soir je devais me taire) ? Là j'ai suivi vos instructions et je me suis caressée en le regardant, assise entre ses jambes. La situation était très excitante. Puis, je me suis empalée sur sa queue, tout en continuant à me branler. J'ai jouis presque aussitôt. Mais pour être franche, je ne sais pas si c'est l'excitation de mes caresses ou bien le gage que vous aviez prévu. Marc était déçu que je me retire aussi vite. Je lui ai dit que j'allais lui sucer la queue comme l'autre soir. J'employais ces mots crus pour l'exciter. En fait cela m'excitait moi aussi. Je me suis alors penchée sur sa bite et je l'ai entièrement aspirée. Je m'étais mise à quatre pattes et je cambrais les reins comme une chienne. J'allais et venais sur sa queue et une nouvelle fois, j'ai senti son liquide chaud et gluant me remplir la bouche. J'ai encore une fois tout avalé. C'est vrai que j'aime ça !

    Voilà une nouvelle mission de remplie. A ce propos, puisque je joue complètement la franchise, je dois vous avouer que Fabrice m'a demandé une chose que je n'ai pas osée faire. J'aimerais que vous me donniez votre avis : Il voudrait que je me rase la chatte. C'est vrai que l'idée est très excitante, mais je ne saurais pas quoi dire à Marc ! J'ai dit non à Fabrice ce matin, mais j'ai finalement décidé de m'en reporter à vous. Cela vous exciterait-il que j'ai le sexe entièrement épilé ? Comme je vous ai fait la petite cachoterie que vous savez, j'ai envie de me faire pardonner : Si cela vous plait, je me rase entièrement. Sinon, je maintiens mon refus auprès de Fabrice. J'espère que vous appréciez mon dévouement car je ne sais pas encore quelle excuse trouver pour Marc !

    A bientôt.


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