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Ma chair lointaine,
Je te remercie (et sûrement avec moi tous les amoureux de ton blog) de publier ici tes dialogues avec Fabrice. On ne peut plus douter à leur lecture de l'obéissance avec laquelle tu réalises ses moindres désirs, voire de la perversité avec laquelle tu les devances. Ce doit être effectivement jouissif de te commander et de voir se réaliser en direct ses fantasmes. Je ne pourrais malheureusement pas essayer mais je me joins à Fabrice pour te féliciter encore d'être cette lubrique obéissante toujours prête à satisfaire ses maîtres.
Au passage, je suis surpris de découvrir que ce billet a été posté un dimanche.C'est a priori contraire aux règles que tu avais toi-même établies. Marc te ferait-il des infidélités ? Ou peut-être est-ce plutôt toi ?
Pour finir, que devient ma mission ? N'est-elle pas à ton goût ? Si oui, j'attends avec impatience ton rapport. Si non, c'est justement pour ça qu'il me plait de la maintenir.
Et il me vient tout à coup à l'esprit une demande que j'avais formulée il y a quelques temps t'enjoignant à te mettre au lit complètement nue. L'as-tu mis en pratique ? Les premières chaleurs me semblent maintenant propices à sa réalisation, non ?
Un Maître.
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Bonjour,
Je vous avais annoncé, il y a quelques temps que je publierais peut-être le début de mes échanges avec Fabrice. Voici donc ma promesse tenue. Il s'agit de messagerie instantanée. Fabrice m'avait demandé une cochonnerie par mail quelques jours avant :
« Ta première épreuve, pour étrenner ton nouveau statut, consistera à une promenade en voiture. Tu veilleras bien à ce que ta jupe soit suffisamment remontée pour laisser apparaître le haut de tes cuisses au dessus des bas et à ne les serrer à aucun moment. »
Et je lui avais répondu ceci :
« J'ai du prendre la voiture samedi pour aller faire des courses. Je n'osais pas remonter ma jupe sur mes cuisses comme vous me l'aviez demandé. Cela m'a demandé un gros effort. Je m'y suis finalement décidée en cours de chemin. Je l'ai remontée jusqu'au dessus de la lisière de mes bas noirs. J'étais comme paralysée par la peur. Mais il y avait du monde (sans doute à cause des soldes) et nous roulions tout doucement avec des moments d'arrêt. Il y avait des piétons qui allaient plus vite que moi à pieds. Je peux vous dire que l'un d'eux s'est copieusement rincé l'œil ! Je n'osais pas bouger alors que j'avais l'envie de me cacher. Mais j'ai respecté le contrat. Cuisses légèrement écartées et la jupe troussée bien au delà de la lisière de mes bas. Le type s'est quasiment arrêté pour me mater ! Heureusement que la circulation a repris ! Le plus surprenant, mais le plus difficile à avouer est que je me suis aperçue que j'étais trempée.
Vous m'avez fait passer pour une salope et cela m'a excitée ! Je me demande s'il nous faut continuer à correspondre car je sens que je suis en train de faire des choses sales. »
Voici maintenant nos échanges par MSN. Je suis au travail, je converse pour la première fois en direct.
Fabrice : Bonjour Sophie
Sophie : Bonjour
Fabrice : Je viens de lire ton message
Sophie : Je ne suis pas très fière
Fabrice : Au contraire, tu dois l'être. Tu viens de surmonter une épreuve
Sophie : J'ai très honte
Fabrice : N'est ce pas ce que tu voulais, au fond ?
Sophie : C'est un mélange entre le désir et la honte
Sophie : J'ai envie mais au fond de moi, je sais que c'est mal
Sophie : Et le plus terrible, c'est de s'apercevoir que j'étais trempée !
Fabrice : Il n'y a rien de mal, tu mets au jour tes désirs cachés
Sophie : Je suis au travail
Fabrice : Je m'en doute un peu. Tu manques de temps ?
Sophie : Ca va à peu prêt aujourd'hui
Sophie : C'est rare que je me connecte sur MSN
Fabrice : Tu as un bureau seule ?
Sophie : Non je suis en open-space, mais je suis un peu à l'écart
Fabrice : Je suis le premier surpris de te voir ici
Sophie : Rien que le fait de converser, je ressens cette impression de chaleur
Sophie : Je crois que je vais me déconnecter
Fabrice : Attends un peu svp
Fabrice : Que portes-tu aujourd'hui
Sophie : Je suis en robe
Fabrice : Longue ?
Sophie : J'avais cru comprendre que vous ne préfériez pas trop longue
Sophie : Disons qu'elle m'arrive à mi cuisse
Sophie : C'est un peu une révolution pour moi
Fabrice : C'est le cas, merci de t'en souvenir
Fabrice : Comment étais-tu vêtue, avant
Sophie : Plutôt en pantalon, parfois en robe longue
Fabrice : Tu vas devoir renouveler ta garde robe !!!
Sophie : Oui
Fabrice : Tu n'as pas eu de remarques concernant ce changement
Sophie : On m'a dit au travail que j'étais très belle.
Sophie : J'ai eu l'impression que Marc, mon mari, me regardait différemment.
Sophie : Ce n'est pas désagréable
Fabrice : des compliments, bien. S'ils se doutaient de....
Sophie : Ca me fait tout drôle de savoir que c'est vous qui me dictez de faire ces choses
Fabrice : Je ne te demande rien de très répréhensible, Là, je te laisse agir à ta guise. Bien que j'ai bien envie de.......
Sophie : De quoi avez-vous envie ?
Fabrice : de t'imposer une nouvelle épreuve à réaliser immédiatement
Sophie : maintenant ?
Fabrice : Oui, maintenant
Sophie : Je sens que cela me fait des choses curieuses de vous lire
Sophie : Je sens de la chaleur en moi
Sophie : Mais je suis en plein travail
Fabrice : De la chaleur où, en toi. Sois précise
Fabrice : En plein travail, à t'exciter en dialoguant avec moi !!!!!
Sophie : Je suis trempée
Fabrice : Essuie-toi
Sophie : Maintenant ?
Fabrice : Oui, tout de suite. Prends un mouchoir
Sophie : Mais il y a du monde pas très loin. Je suis en open-space
Fabrice : Tu vas donc être très discrète, sans te lever, avec un minimum de mouvement
Sophie : C'est fait. Vous êtes un cochon
Fabrice : Assez oui, pour ton plus grand plaisir
Fabrice : Qu'as tu fait du mouchoir?
Sophie : Je viens de le jeter. Il est trempé.
Fabrice : Reprends le, et pose le sur le bureau
Sophie : Ca me fait chaud dans la tête
Sophie : C'est fait
Fabrice : Très bien. On va faire un jeu
Sophie : Je sens que c'est mal ce que vous me faite faire
Fabrice : Ne soit pas inquiète, laisse-toi guider
Sophie : Allez-y je suis prête mais je suis morte de trouille
Sophie : Et j'ai terriblement honte
Fabrice : Ouvres ton navigateur internet
Sophie : C'est fait
Fabrice : connectes toi sur www.sexyavenue.com
Sophie : Je ne peux pas à cause du pare-feu de mon entreprise
Fabrice : C'est très dommage. Peux-tu le faire de chez toi?
Sophie : Je pense
Fabrice : Tu devras visiter ce sex-shop, et joindre à ton mail les photos de ce qui pourrait te tenter
Sophie : C'est noté
Sophie : Je sens malgré moi que nos échanges m'ont excitée. Mon clitoris est tout gonflé.
Fabrice : Et tu compte rester dans cet état
Sophie : Je suis pleine de mouille
Fabrice : Tu va encore devoir t'essuyer, je pense que tu devrais garder le mouchoir entre les cuisse, cochonne
Sophie : C'est difficile de faire cela.
Sophie : Vous ne voulez tout de même pas que je m'essuie directement la chatte ?
Sophie : Je l'ai fait par dessus mon string tout à l'heure !
Fabrice : Tu es vraiment une cochonne. Serre fort tes cuisses
Sophie : Je suis complètement trempée
Sophie : Ca me fait des choses partout
Sophie : Mais je ne jouirai pas sans toucher mon petit bouton
Fabrice : Tu as les cuisses bien serrées, très fort, frottes-les l'une contre l'autre
Fabrice : En même temps contracte ton vagin
Sophie : Cela maintient mon excitation mais je ne peux pas jouir
Sophie : Mais maintenant, j'ai très envie
Fabrice : Tu vas devoir mettre ta petite main en action
Sophie : Vous ne voulez tout de même pas que je me masturbe ?
Fabrice : Tu n'en a pas envie
Sophie : Ca vous exciterait que je me fasse jouir en plein milieu de tout le monde ?
Fabrice : Tu n'imagine pas a quel point ça me ferai bander, à condition que tu y arrives sans que personne ne s'aperçoive de rien
Fabrice : A moins que tu ne préfères te rendre aux toilettes
Sophie : En fait, c'est mon string qui me gêne
Fabrice : Otes-le, s'il te gêne
Sophie : Et si on me voit ?
Fabrice : Tu dois y mettre suffisamment de discrétion, à toi de trouver la solution. Si tu avais une webcam je pourrais te conseiller, mais je ne connais pas ton environnement
Sophie : C'est fait. J'ai la chatte nue. Vous êtes un salaud
Fabrice : Un gros salaud, et toi une chienne obéissante qui va glisser sa main sous le bureau
Sophie : Je n'en reviens pas de ce que vous me faites faire !
Fabrice : Que se passe-t-il autour de toi?
Sophie : Il y a du monde mais je suis contre mon bureau et je pense que personne ne peux me voir
Sophie : J'ai relevé ma robe
Sophie : J'ai les cuisses écartées
Sophie : Et ma chatte est également toute écartée
Sophie : Je n'en reviens pas ...
Sophie : ... Je viens de m'enfoncer un gros marqueur dans la chatte
Fabrice : Et il est rentré tout seul, bien sur
Sophie : Je suis tellement mouillée qu'effectivement c'est rentré sans difficulté
Sophie : C'est sans doute l'environnement qui m'excite
Fabrice : Avec le jus qui coule de ta chatte, ton siège va être bien taché
Sophie : Si je touche mon clitoris je sens que je vais jouir
Fabrice : Attends un peu alors, regardes les mâles qui t'entourent
Sophie : J'ai envie de jouir
Sophie : Je suis une salope
Fabrice : Tous prêts à sortir leur queue s'ils savaient
Fabrice : Tu en as envie, mais je ne t'y autorise pas encore
Sophie : S'il vous plait
Fabrice : Ca te plait de faire la salope, tu en rêves depuis longtemps
Sophie : Oui ça m'excite de faire la putain
Fabrice : Pas encore, joue avec ton marqueur
Sophie : J'ai envie de jouir
Sophie : Vous êtes un salaud
Fabrice : Sort le marqueur de ta chatte et suces-le
Sophie : Je viens de mettre un gros stylo dans ma chatte avec le marqueur. J'ai deux bites dans le con
Sophie : Ca vous excites ?
Sophie : Suis-je une bonne putain ?
Fabrice : Je bande comme un cerf ma salope
Fabrice : Tu es une bonne petite chienne qui apprend vite
Sophie : Un voisin vient de me voir sucer le marqueur !
Sophie : J'ai l'air maline !
Sophie : Heureusement c'est un jeune stagiaire
Fabrice : Regarde le droit dans les yeux avec ton plus joli sourire et continue à te branler la chatte
Sophie : Salaud
Fabrice : Il est comment ton stagiaire?
Sophie : Un jeune timide un peu coincé
Fabrice : Tu crois qu'il a une belle bite?
Sophie : Je m'imagine qu'il a une énorme queue
Fabrice : Que tu aimerais bien prendre dans la bouche
Sophie : Ce salaud me regarde
Sophie : J'ai envie comme jamais
Fabrice : Ca t'excite encore plus qu'il te regarde, ce petit
Sophie : Je n'ose plus le regarder
Sophie : Mais j'ai remis le marqueur dans ma bouche
Sophie : Laissez-moi jouir maintenant
Fabrice : Si tu fermes les yeux il va se douter de quelque chose d'anormal
Sophie : Je ne ferme pas les yeux, mais je regarde mon écran
Fabrice : Tu peux jouir, mais pas un râle, pas un soupir, pas un gémissement, ni le moindre sursaut
Sophie : Vous êtes un pervers. J'ai simplement posé mon doigt sur mon clitoris et c'est monté du plus profond de moi, comme si cette jouissance avait été longtemps contenue
Sophie : J'ai extrêmement honte maintenant !
Fabrice : Et ce n'est pas fini
Sophie : Je vais partir maintenant
Fabrice : J'attends un mail, avec tes impressions sur ce que tu viens de faire, et n'oublie pas ce que je t'ai demandé tout à l'heure. Encore une chose, ce n'est pas la peine de remettre ton string.
Fabrice : Va rejoindre ton petit mari, tu as surement des choses à lui proposer
Sophie : Vous voulez que je rentre en RER les fesses nues sous ma robe courte ?
Fabrice : A moins que tu ne préfère rentrer à pieds ? De toute façon se sera sans culotte et le rouge aux joues
Fabrice : Et de plus tu n'es pas obligée de t'asseoir
Sophie : J'ai peur que tout le monde s'en aperçoive !
Fabrice : Tu auras toujours l'impression que tout le monde s'en aperçoit et c'est ce qui t'excites
Sophie : C'est vrai que je commence à remouiller
Fabrice : Je crois avoir oublié un détail. Tu dois soulever ta robe pour t'asseoir. Tes fesses doivent être en contact direct avec le siège
Fabrice : Tu n'oseras pas te caresser dans le RER
Sophie : Mais je vais le tremper !
Sophie : J'espère bien que ca ne vous exciterait pas que je me caresse dans le RER !
Sophie : Vous seriez vraiment un pervers
Fabrice : J'y pense mais il est encore un peu tôt. Tu peux t'y préparer on ne sait jamais, un jour de grève par exemple, lorsqu'il est bondé et que vous êtes bien serrés les uns sur les autres !!!
Fabrice : Je suis un pervers et c'est pour cela que tu converses avec moi
A bientôt.
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Ma chair exposée,
Quant à ton "autre histoire", il importe que tu en fasses très vite un récit sensuel à ton maître... et à tous tes admirateurs. Nous l'attendons tous avec fièvre.
Un Maître.
1 commentaire -
Bonjour,
Juste un mot en passant, et une nouvelle et dernière photo.
En ce qui concerne ma robe blanche, je l'ai faite moi-même cet été, lorsque je commençais à avoir ces envies pas très catholiques ! Marc ne la connaissait pas et c'est la description que je lui en ai faite qui lui a plu. Il est évident qu'il m'a demandé de lui montrer le soir même mais ça, c'est une autre histoire.
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Ma chair offerte,
Encore une mission de remplie, et avec quel brio ! J'aimais bien pour ma part
l'idée que Marc puisse également jouir du spectacle mais le dialogue en direct a
dû quand même le remplir de satisfaction. J'espère qu'il t'a demander le soir
même de lui refaire vivre dans les détails ton après-midi.
Je me rends compte ici que plus nous descendons ensemble dans ta perversion et
plus tu prends en charge tes propres fantasmes. A ce rythme là, l'esclave va
bientôt pouvoir se passer du maître non ?
Tu évoques dans ce rapport ta robe à lacet. Je profite donc de l'occasion pour
en parler un peu. Tu annonces dans ta présentation que tu es « une femme bien
comme il faut ». Je m'interroge dès lors sur cette robe hyper-sexy que je
trouve, pour mon plus grand bonheur, pas tout à fait « comme il faut ». Où
l'as-tu achetée ? Et pour quelle occasion ? Ton rapport laisse à penser que Marc
la connaît. Vous en servez-vous lors de vos soirées ?
Bravo pour la publication des photos. C'est toujours un plaisir de pouvoir
profiter de visu des charmes d'une jolie débauchée et j'aime beaucoup le
contraste entre la crudité du gode défonçant ta vulve et la délicatesse avec
laquelle tu soulèves l'étoffe de ta robe. Cela montre que tu assumes pleinement
ton exhibitionnisme et prouve une fois de plus que montrer ta jouissance peut
être aussi excitant que la vivre comme jusqu'à présent dans la plus grande
discrétion. Sois sûre que je saurai m'en inspirer pour de futures missions.
Dans l'attente de ton prochain rapport.
Un Maître.
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