• Bonjour,

    Cela valait-il la peine d'attendre ?

    Vous aurez la dernière demain...


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  • Bonjour,

    Je publierai demain une des deux photos promises. Ca n'a pas été sans mal et ça a presque fait l'objet d'une mission.Je ne travaillai pas aujourd'hui et Marc m'a appelée au téléphone dans la mâtinée pour me demander d'aller récupérer les photos à Carrefour. Je n'étais pas très fière car parfois, le vendeur sort les photos pour que je m'assure que ce sont bien les miennes... Je l'ai dis à Marc mais ce cochon a pensé que ce serait excitant. Je l'ai alors traité de salaud et je lui ai promis que je ferai au mieux. J'ai alors pensé à la mission dont vous parliez dans votre dernier courrier et un plan a germé dans ma tête.

    Je suis partie au centre commercial et j'ai appelé Marc au téléphone pendant que je rentrai à Carrefour. Marc a pensé que j'étais déjà rentrée à la maison mais je lui ai dis que j'allais chercher les photos en direct, avec lui au téléphone. J'ai senti que ça l'excitait ce qui était mon but. Je lui ai alors dit que je m'étais habillée spécialement pour lui. Il m'a fait décrire ma tenue. J'avais mon imperméable brillant et dessous, uniquement la robe blanche que je porte sur mon blog : Très moulante, très décolletée, courte et surtout entièrement ouverte et lassée derrière. Marc était fou. Je lui ai également dit qu'avec la fraîcheur ambiante mes tétons étaient tout durs. Marc m'a simplement demandé de garder mon imperméable ouvert pendant que je récupérais les photos.

    J'ai donné le reçu pour obtenir les photos et, pendant que le vendeur cherchait la pochette correspondante, j'ai complètement ouvert mon imperméable. J'ai dis à Marc que c'était fait. Le vendeur a alors trouvé la pochette et s'est tourné vers moi. Il a rougi et j'ai senti ses yeux sur mon corps. J'ai alors senti, à ce moment que ma chatte était trempée. Le téléphone était toujours branché et Marc avait pu suivre la conversation. Mon mari m'a alors demandé de vérifier que c'était bien les bonnes photos. Ce salaud voulait encore m'humilier. J'ai avalé ma salive en pensant que Marc était vraiment la perversion incarnée et je me suis dit que ce serait encore plus excitant que le vendeur vérifie lui-même ! Comme il me tendait la pochette, je lui ai alors demandé s'il était certain que c'était bien les miennes ! J'entendis Marc me traiter de salope. Le vendeur a alors ouvert la pochette et sorti la première photo en me la tendant (c'est cette photo que je publierai demain : On me voit assise sur le banc public avec le gode planté dans la chatte). Il est devenu écarlate (je ressentais moi-même un délicieux mélange de gêne et d'excitation). Je lui ai alors confirmé que c'était bien mes photos. J'ai ensuite payé et je suis partie pendant que Marc me traitait de putain et me disait qu'il m'adorait.


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  • Bonjour à tous,

    Peu de commentaire des 122 lecteurs de ma prose pour hier (merci Victor) !

    Je vous rappelle qu'il n'est pas nécessaire de donner son adresse email pour laisser un petit mot !

    Et ça fait plaisir de connaître vos réactions.

    Allez, encore un petit effort si vous voulez me voir...


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  • Ma chair publique,

    C'est merveilleux ce que tu arrives maintenant à faire dans un lieu public. Et tu féliciteras Marc pour sa mise en scène. Décidément, le couple que vous formez tous les deux est fantastique : un voyeur et une exhibitionniste. On ne peut trouver mieux... Je tiens également à te présenter mes plus sincères louanges pour l'obéissance dont tu as fait montre devant ton seigneur et maître. J'aime à penser que je n'y suis pas totalement pour rien mais il est vrai qu'avec toi, je joue sur du velours : une telle lubricité associée à une telle soumission, c'est un vrai caviar ! Merci encore.

    Pour ce qui est des photos, je respecte parfaitement ton vœu d'anonymat mais tu comprendras que tu nous as mis à tous l'eau à la bouche. Alors oui ! Publie-les si tu le peux. Dans le cas contraire, je pense que tu auras l'intime sentiment que l'exhibition n'est pas complète. J'en veux même pour preuve le simple  fait que tu y aies déjà pensé toute seule.

    Pour finir, j'avais également pensé, pour une autre mission,  te faire donner des ordres directement par Marc. Mais j'avais plutôt envisagé qu'il te les communique, par téléphone portable, directement dans une oreillette que tu porterais. Il fallait qu'il puisse te voir agir tout en restant invisible pour ceux qui t'entourent. Il ne me restait plus qu'à trouver l'endroit. Marc est allé plus vite que moi. Néanmoins, j'aime bien cette idée de mission et comme il a l'air d'apprécier ce type de jeu, peut-être peux-tu réfléchir  à un lieu adapté ? Disons qu'il s'agit d'une autre mission qui ne remplace pas pour autant la précédente. Dans l'attente de tes nouvelles...

    Un Maître.

     

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  • Bonjour,

    Je n'ai pas encore réalisé votre mission. Ceci dit, j'ai eu mon dimanche bien occupé :
    Marc et moi sommes allé nous promener sur Paris. Il faisait beau et chaud. C'était très agréable. J'avais mis une robe longue. Marc était très câlin ce qui n'était pas pour me déplaire. Après avoir marché pendant quelques temps, nous avons décidé de nous reposer dans un square. Je sentais que Marc avait envie de me parler mais il n'osait pas dire ce qu'il pensait. Je me doutais qu'il voulait me demander quelque chose mais je le laissais venir. Je me sentais bien, sous le soleil du printemps. J'appréciais le moment présent. Marc m'a alors embrassé. C'était très agréable. Je sentais sa langue contre la mienne et cela commençait à me faire de l'effet. Ce cochon savait me faire fondre ! Il s'est enfin décidé à me parler du sujet qui le préoccupait. Il l'a fait en ré-évoquant mon exhibition dans le magasin de chaussures. Il avait adoré cela ! Depuis, plusieurs idées lui trottaient dans la tête... Il m'a re-questionné sur ce que j'avais ressenti et j'ai du lui avouer que j'adorais lui faire de l'effet. Il m'a alors dit qu'il avait très envie... Je l'ai alors questionné sur ces envies. Mais il n'osait pas m'en parler car il avait peur que je ne veuille pas, ou bien que cela ne me plaise pas... Bref j'ai laissé mûrir la chose puis je l'ai de nouveau questionné. J'ai fini par lui dire que s'il ne me disait rien, il n'aurait par définition rien ! Il m'a alors demandé si je serais prête à tout pour lui. J'ai ressenti à ce moment le même début d'excitation que lorsque j'avais senti sa langue contre la mienne. Ce salaud savait y faire pour me donner envie. Je lui ai alors confirmé, une fois de plus, que je n'avais pas de limite lorsque j'avais envie, dès lors que ça lui plaisait. Nous parlions doucement de façon à ne pas éveiller l'attention autour de nous. Les bancs du square étaient assez éloignés les uns des autres, mais je ne voulais pas passer pour une dépravée ! Marc m'a alors demandé d'enlever ma culotte. Je crus n'avoir pas bien entendu. Je levais alors les yeux vers lui interrogative, pour être certaine de ce qu'il me demandait. Je compris qu'il ne plaisantait pas.
    « Tu veux que j'enlève mon string ici, au milieu de tout le monde ? » Marc acquiesça. J'avalais ma salive. Bien sur, nous étions seuls sur notre banc, mais il y avait des gens pas très loin et le square était entouré d'immeubles et n'importe qui aurait pu me voir.

    « Tu es un vrai cochon ! » Marc sourit. Je passais alors mes mains sous ma robe et je défis lentement mon string. Personne ne m'avait vu mais la sensation qu'on aurait pu était délicieuse. Marc tendit la main et je lui abandonnais ma culotte. Il me fit remarquer qu'elle était trempée ! Je rougis. Il me demanda si j'avais envie et je du lui avouer que c'était très plaisant d'être entièrement à sa merci, de suivre ses désirs. Il me demanda si, trempée comme je l'étais, je n'avais pas envie de lui montrer ma chatte. Puis il m'embrassa de nouveau. Je lui dis qu'il n'était qu'un pervers. Nous étions un peu à l'abri des regards mais j'entendais des gens tout autour de nous et la tension commençait à monter. Je lui dis qu'il était en train de faire de moi une salope et je sus, en le regardant, que cela l'excitait. Je remontais alors doucement ma robe et lui montrais mes cuisses. Mais j'avais peur que l'on me voit. Marc s'approcha alors de mon oreille et me dit que c'est ma chatte qu'il voulait voir et non pas uniquement mes cuisses ! Chacune de ses phrases était un délice. Je le découvrais très pervers et je l'aimais comme ça. Je recommençais alors à remonter ma robe et je lui montrais alors explicitement ma chatte humide. Il me dit que j'étais vraiment une putain. J'étais fière de moi. J'étais trempée aussi. Il me demanda si j'avais envie de jouir et je lui avouais que j'étais à point. Je pensais que nous allions rentrer pour faire l'amour, lorsque Marc me demanda alors de me caresser. Je levais encore une fois les yeux vers lui et il me dit très explicitement de me branler maintenant. J'étais complètement trempée et je passais ma main entre mes cuisses par-dessus le tissu fin de ma robe. Marc me demanda si cela m'excitait d'être au milieu de tout le monde et de me caresser. Je lui répondais que j'étais surexcitée et que je n'allais pas tarder à jouir. Il me dit alors d'arrêter. Il me tendit alors un sac en plastique qu'il avait emmené avec lui. Je l'ouvris et je rougis encore car il y avait un godemiché à l'intérieur. J'ouvrais des yeux écarquillés vers lui et, comme dans un rêve, je l'entendis me demander de m'en servir. « Branle ta chatte avec ce gode ! » J'avais du mal à respirer tant la tension était forte. « Puisque tu aimes te montrer, enfonce toi ce gode dans le con et fais toi jouir devant moi. » Puis Marc se leva et alla se placer à 4 ou 5 m du banc, devant moi. Je n'en revenais pas ! Il sortit alors son appareil photo et commença à me photographier. Je regardais tout autour de moi car j'avais peur que les gens, voyant quelqu'un en train de me photographier, ne se mettent à me regarder ! J'ai alors remonté ma robe en écartant les cuisses. J'ai mis le gode en marche et, tout en regardant mon salaud de mari, je me le suis enfoncé dans la chatte. Marc me photographiait de plus belle. Il me demanda alors de remonter mes cuisses sur le banc en y posant mes escarpins. Je n'en pouvais plus, j'avais peur que l'on me voie et pourtant, cela m'excitait très fort. J'ai donc suivi ses demandes. Entièrement. Et j'ai senti la jouissance me submerger. Très très fort. Lorsque j'ai ré-ouvert les yeux, Marc était à coté de moi et souriait aux anges. Nous sommes alors rentrés chez nous.

     

    Si vous le désirez, peut-être que j'arriverais à obtenir ces photos et à les publier ... Tout dépendra des commentaires que je lirai de mon récit...


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