• Bonjour,

    Voici donc la suite de ma mission. Celle où vous avez fait de moi une vraie débauchée ! Il faut d'abord que je vous précise que, contrairement aux apparences, je n'en menais pas large ! Par contre, et là vous l'avez bien compris, j'étais surexcitée ! Les secondes pour aller de ma chambre à la porte d'entrée ont été parmi les plus longues de ma vie. A chaque pas, je me disais qu'il me suffisait de ne pas ouvrir. Qu'il n'était pas encore trop tard ! Que je pouvais encore reculer ! Mais je sentais cette mouille entre mes cuisses. Je ressentais ce besoin de jouir, cette envie de m'avilir, de vous prouver que je ne suis qu'une chienne, de me prouver que je ne suis qu'une débauchée, de prouver à Marc que suis son esclave et qu'il peut tout me demander. Je savais, en atteignant la porte d'entrée, que je ne renoncerais pas. J'avais besoin d'une bite maintenant. Mon corps me suppliait, dopé par les propos de Marc. « Tu le suces et tu avales son foutre. » J'ai ouvert le verrou et mon livreur est entré. C'était un jeune et j'ai vu, à la façon dont il a regardé le devant de ma robe, que je lui faisais de l'effet.

    Je lui ai dit de poser la pizza dans la cuisine et j'ai refermé ma porte. J'étais toute rouge mais lui aussi. La sensation était unique, extrême. Le ressenti, le fait de se dire qu'en me retournant, j'allais passer pour une salope, me tétanisait. C'est extraordinaire à vivre. Lorsqu'il m'a donné la note, j'ai pivoté sur moi-même pour aller chercher de quoi payer. Le miroir que j'avais placé dans l'entrée m'a alors renvoyé une image fantastique. J'étais toute rouge mais le livreur était pivoine. Il en était bouche bée ! Je suis revenue avec mon porte-monnaie. Je n'osais plus le regarder tant il y avait de tension en moi... Il a pris l'argent et ses mains ont touché les miennes. J'ai senti qu'il s'approchait de moi et j'ai tout à coup senti la chaleur de son corps contre le mien. Avant même que j'ai réalisé ce qui m'arrivait, j'ai senti sa langue pénétrer ma bouche. Je lui ai rendu son baiser. Je me suis alors dit que ce cochon allait vouloir me prendre. Je me suis souvenu des paroles de Marc. « S'il devient trop entreprenant, je veux simplement que tu lui suces la queue. Tu ne le laisses pas te toucher. »

    Je me suis un peu dégagée et je me suis placée à genoux. Je l'ai regardé dans les yeux et je lui ai dit : « Je veux que tu me jouisses dans la bouche. Je veux que tu m'inondes de ton sperme. Donne-moi ta bite à sucer. » Il était fou ! Il a simplement ouvert sa braguette et il a sorti son sexe. J'ai ouvert la bouche et j'ai commencé à faire coulisser son pieu contre ma langue. Je m'appliquais à aller loin, à l'aspirer entièrement. Je me disais que j'étais en train de sucer un parfait inconnu. Qu'il y a encore cinq minutes, je ne connaissais pas cet homme. C'était la première fois que je suçais un autre homme que mon mari. J'y prenais beaucoup de plaisir. Lorsque j'ai senti qu'il allait jouir, j'ai pris son sexe dans ma main et je l'ai branlé en le regardant dans les yeux, devant ma bouche ouverte. Ce salaud a tout déchargé sur mon visage. J'avais l'impression d'être couverte de sperme. J'en avais sur les yeux et dans la bouche. J'ai ré-enfoncé sa queue dans ma bouche, puis je l'ai senti se retirer. Je pense qu'il avait honte. Il est alors parti sans se retourner. J'ai moi aussi eu extrêmement honte aussitôt après.

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  • Bonjour,

    Voici la première partie de mon récit (je sais, je fais durer le suspense...).

    J'ai appelé Marc quelques minutes avant que le livreur n'arrive. Imaginez-moi sur mon lit. Je viens de me placer à quatre-pattes. Je cambre les reins. J'ai la chatte humide. Marc est content de m'entendre. Je commence à lui dire que j'ai envie de lui. Mais comme je suis plus que bouillante, j'emploie tout de suite des mots crus ! Je lui dis que j'aimerais sucer sa grosse queue, sentir son sperme m'inonder la bouche... Marc est fou ! Je lui dis ensuite que j'ai remis la même robe qu'hier pendant la séance de photos et que je suis sur le lit les reins cambrés. Je sens à sa voix que Marc est super excité. Puis, je lui dis que je viens d'avoir une idée de chienne, mais que je voudrais avoir son avis. Je le sens déglutir et je sais qu'il a envie de me baiser. Je lui dis donc que je n'ai pas encore déjeuné et que je comptais me faire livrer une pizza. Je n'entends plus rien dans le combiné et je me demande si je ne suis pas allée trop loin. Puis j'entends de nouveau Marc qui reprend son souffle. Il me demande ce que je compte faire. Je lui dis alors que s'il m'y autorise, je vais me faire livrer la pizza dans cette tenue. Nouveau silence angoissant. Je lui dis que c'est à lui de décider. Soit il me préfère pour lui tout seul et je me change, soit il apprécie que sa femme soit une putain et je vais ouvrir dans cette tenue. Le silence dure encore et je me demande si je n'ai pas été trop loin. Je commence alors à rebrousser chemin en pensant que j'ai fait une erreur. Je lui dis que je l'aime et je lui demande également s'il m'aime. Puis, sans lui laisser le temps de répondre, je lui explique que j'avais pensé que cela lui plairait mais que je ne suis aucunement déçue s'il n'est pas d'accord. Je lui explique que seul son amour compte pour moi. C'est à ce moment là que je me suis dit que Marc était aussi un pervers. Il m'a juste dit qu'il n'aimait que moi et que je le comblais au delà de toutes ses espérances. C'est lui qui m'a dit d'aller ouvrir avec ma robe. « Va ouvrir avec ta robe de putain. Arrange-toi pour lui montrer tes fesses. S'il devient trop entreprenant, je veux simplement que tu lui suces la queue. Tu ne le laisses pas te toucher. Tu le suces et tu avales son foutre. Je veux que tu en ais plein la bouche. J'oubliai, je ne veux pas que tu te fasses jouir. » C'est alors que j'ai entendu la tonalité du téléphone. Marc venait de raccrocher. J'étais dans un état second. Cinq minutes après, la sonnerie de la porte d'entrée s'est déclenchée.

    A demain.

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  • Bonjour,

    Voici l'échange que j'ai eu avec Fabrice quelques minutes avant mon épreuve. J'ai déjà revêtu ma robe de putain et mes escarpins. Ma chatte dégouline. Je suis angoissée à l'extrême. Je sais déjà que dans quelques minutes, je vais montrer de façon explicite que je suis une chienne :

    Sophie dit : Bonjour
    Fabrice dit : Bonjour, comment vas-tu ?
    Sophie dit : Ca va et vous ?
    Fabrice dit : Plutôt bien
    Sophie dit : Toujours amoureux ?
    Fabrice dit : Toujours, et davantage de jour en jour
    Sophie dit : C'est super !
    Fabrice dit : Merci. Et toi tes Amours ?
    Sophie dit : Tout va bien !
    Sophie dit : J'ai un peu d'angoisse avec ma dernière mission...
    Fabrice dit : Je te comprends. Je suis ton blog, et je trouve que tu t'éloignes de ton objectif initial
    Fabrice dit : Ne prends pas de risques inutiles
    Sophie dit : Si vous saviez pourtant comme cela m'excite !
    Fabrice dit : A mon sens, arrivé à ce stade, la raison doit l'emporter. Je ne pense pas qu'une exhibition à ton domicile soit une bonne idée.
    Fabrice dit : Il me semble que tu as un gentil mari, et que tu en es amoureuse
    Sophie dit : Je suis sure qu'il serait fou s'il savait !
    Sophie dit : Il adore ça !!
    Fabrice dit : Je suis sur aussi qu'il aimerait participer
    Sophie dit : Sans doute. Mais j'ai envie d'essayer seule cette fois-ci
    Sophie dit : Je veux lui montrer à lui aussi que je suis une salope...
    Sophie dit : Vous avez vu mes photos d'hier ?
    Fabrice dit : Montres lui surtout que tu es SA salope. Non, je ne les pas encore vues, promis, je les regarderais. Es-tu intéressée par mon avis ?
    Sophie dit : Oui
    Fabrice dit : Je viens de regarder la 1ère, j'aime beaucoup. Jolies fesses !!!
    Sophie dit : Merci
    Sophie dit : Et celles dans le parc l'autre jour ?
    Fabrice dit : J'aime moins. Tu sais que je trouve ce qui suggéré plus excitant qu'une exhibition crue. Je dois néanmoins avouer que tu es très courageuse.
    Fabrice dit : A ce sujet, il me semble qu'il n'était pas question de photos.....
    Sophie dit : Le livreur doit arriver à 13h15...
    Sophie dit : Je pense que je vais appeler Marc au téléphone avant pour avoir son avis...
    Fabrice dit : Ah ! C'est donc pour aujourd'hui ?
    Fabrice dit : Comment te sens-tu ?
    Sophie dit : Bouillante
    Sophie dit : Et ruisselante
    Sophie dit : Je me suis caressée toute la matinée
    Fabrice dit : Enfin une remarque raisonnable. Son avis est important
    Sophie dit : Sans me faire jouir
    Sophie dit : Je n'en peux plus !
    Sophie dit : Je vous laisse, il faut que je téléphone
    Fabrice dit : Ok, bon courage et beaucoup de plaisir
    Fabrice dit : A bientôt

    Vous saurez le reste un peu plus tard.


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  • Bonjour,

    Vous pouvez être fier de vous ! Vous me faite passer pour une débauchée ! Ma mission n'est pas encore réalisée, mais si j'ose le faire, c'est pour aujourd'hui ! J'ai voulu jouer le jeu jusqu'au bout et comme j'avais peur de ne pas y parvenir, je ne me suis pas accordé une minute de plaisir jusqu'à aujourd'hui. Une semaine sans sexe, en pensant tous les jours à ce que vous vouliez me faire faire. Je passais alternativement par des périodes d'envie très forte, aussitôt suivies par un sentiment de honte tout aussi puissant et qui m'anéantissait ! Toute la semaine j'ai passé et repassé votre demande dans ma tête. J'étais bouillante sans même me toucher et terriblement honteuse de mon état.

    Peu à peu, je voyais la fin des vacances approcher et je me disais qu'il faudrait que je le fasse lundi prochain, c'est-à-dire aujourd'hui. C'est, en fait, le jour rêvé : Marc travaille et je suis seule à la maison. Mais hier encore, je ne me sentais pas encore prête ! Malgré cela, j'étais trempée toute l'après-midi... Comme je n'ai pas de tablier, j'ai imaginé que je mettrai ma robe à lacets. Je pense que l'effet sera le même. J'espère que vous me pardonnerez cette légère variante ! J'espère surtout que j'aurai la force d'aller jusqu'au bout... de montrer au livreur que je ne suis qu'une salope. De lui montrer que je suis entièrement nue sous cette robe et que j'ai envie de lui montrer.

    Hier, Marc avait envie de me prendre. Mais j'avais peur qu'en lui cédant, je n'aie plus autant envie aujourd'hui et que je n'aille pas jusqu'au bout. J'avais envie de vous prouver que votre putain est bien obéissante. Qu'il vous suffit de me mettre dans une situation de débauche et que je l'exécute comme une chienne ! Je n'ai pas cédé à Marc. Dieu sait si j'en avais envie pourtant ! J'avais chaud partout en moi. Je dégoulinais comme une chienne en chaleur. Comme j'avais envie de maintenir encore mon degré d'excitation, je lui ai dit, pour me faire pardonner, qu'il pouvait me prendre en photo dans ma robe. J'avais déjà en tête de vous envoyer un ou deux clichés pour me faire désirer et m'encourager. Marc était ravi ! J'espère que vous apprécierez mes efforts ! Je vous envoie donc mes deux clichés préférés (il y en a d'autres encore ou on voit ma chatte au travers des lacets de la robe mais je verrais peut-être plus tard).

    Voilà pour aujourd'hui. J'espère que j'aurais la force d'aller jusqu'au bout. Le repas est réservé pour ce midi. J'ai appelé le livreur entièrement nue en me caressant, les cuisses remontées sur chacun des accoudoirs du fauteuil. J'arrive à résister et à ne pas me faire jouir. J'ai vraiment la chatte en feu. Vous êtes un vrai pervers... et j'adore ça !

    NB : Nous avons acheté un petit appareil numérique. C'est plus simple...


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