• Et bien, voilà une mission qui n'a pas été facile ! Comme vous le supposiez, une des difficultés majeures était de simuler un accident aux yeux de tous et quand vous connaissez ma propension à me laisser rougir, vous comprenez que cela ne pouvait pas être simple.

    J'ai eu l'occasion de la réaliser d'une façon un peu spéciale : Marc et moi déjeunions ensemble samedi midi. Nous sommes allés dans un bon restaurant. Attention, n'allez pas croire que j'avais prémédité de la réaliser à ce moment là ! En fait, l'idée m'en est venue au cours du repas.

    J'avais mis une jupe qui m'arrivait juste au-dessus du genou et une paire de bas-couture noirs. Dessous, j'avais un string.

    Nous avons passé un repas très agréable, qui plus est après une rentrée un peu mouvementée. Bref, cela fait du bien de souffler un peu... Marc était très attentionné et nous nous sentions vraiment bien. Au bout d'un moment, Marc m'a dit qu'il me trouvait très belle (ce qui est très agréable à entendre) et qu'il avait toujours beaucoup de plaisir à me regarder. Je l'ai remercié de son compliment en lui disant, en plaisantant, que je le trouvais un peu voyeur ! Il a continué à plaisanter en me disant que, de toute façon, j'aimais me montrer et que chacun y trouvait donc son compte ! Comme je ne répondais pas, il a insisté en me demandant si ce n'était pas vrai ? J'étais un peu gênée car je n'aime pas trop reconnaître mes penchants. J'ai fini par répondre par l'affirmative. Mais Marc devait commencer à s'exciter. Il voulait que je reformule de moi-même. J'ai alors rougi et me suis rappelé le courrier et la promesse que vous m'aviez fait faire à mon mari de lui obéir en tout. En même temps que je lui confirmais que j'aimais me montrer, je sentais que je commençais à mouiller. Marc continuait à utiliser des phrases crues pour m'humilier et, peu à peu je sentais la honte et le plaisir monter en moi. « Tu aimes t'exhiber, tu es une salope. Tu prends ton pied à exciter les hommes. » Comme à chaque fois que je sens ma chatte couler, j'ai commencé à me prendre au jeu et à me laisser aller. « Tu n'aimes pas que je fasse la putain ? » Mais Marc a confirmé qu'il adorait cela. Je lui ai alors dit qu'il n'était qu'un salaud et qu'il me faisait mouiller. « Tu comprends, je mouille comme une folle lorsque je sens des regards sur moi. » En lui parlant comme cela, je sentais que j'excitais Marc. C'est là que l'idée m'est venue. Il n'y avait plus qu'une personne dans la salle et je me suis dit que c'était le moment. J'ai eu aussitôt honte de moi, mais l'excitation devenait trop forte : « Tu aimerais voir ce que j'ai sous ma jupe ? » Marc était soufflé. « Tu veux que je me penche pour regarder ? » En vérité, je l'ai surpris en lui répondant que j'allais aller payer le repas au comptoir, mais qu'il me fallait d'abord aller aux toilettes. Marc ne comprenait pas le rapport et il m'a fallu lui préciser explicitement ce que j'avais en tête : « Si tu en as envie, je te montre, non seulement à toi, mais à ce monsieur qui déjeune pas loin de nous. » Silence de Marc qui n'en revient pas de mon degré de perversion ! Pour quoi me faites-vous passer ? J'explique alors à Marc que ma jupe pourrait tout à fait malencontreusement se coincer dans ma culotte pendant que je suis aux toilettes... Marc comprend alors et me dit « chiche ! »

    Je sens alors une bouffée d'adrénaline dans mes veines et je me lève, comme un automate. Je ne dois pas trop réfléchir à ce moment là car je ne suis pas sure d'y parvenir. Arrivée aux toilettes, je suis bouillante et ma chatte est vraiment dégoulinante ! Je suis quasiment sur le point de jouir, mais je ne veux pas me toucher de peur de renoncer. En fait, je suis tellement chaude que je ne résiste pas au plaisir de retirer mon string. Je passe simplement mon doigt contre ma fente en me disant que je suis la reine des putains. Et là, il me vient une idée de variante. Je coince simplement le bas de la jupe autour de la taille et je range mon string dans mon sac à main. Croyez le si vous voulez, mais je suis comme tétanisée à ce moment là. Je n'ose pas sortir tout de suite. Je sens des bouffées de chaleur partout dans ma tête. Au bout de plusieurs minute, je sors des toilettes et passe devant le miroir du coin lavabo. En me retournant, je réajuste la robe pour que cela fasse plus vrai, mais je suis tout de même ébahie de l'effet produit. On voit clairement le début de mes fesses et mes cuisses nues au-dessus de mes bas ! Une vraie salope. Je décide de ne pas réfléchir plus longtemps et je sors dans la salle. Le plus dur est de marcher normalement. Je fais d'abord face à Marc et je vois le client qui continue de déjeuner. Le comptoir est sur ma gauche. Je sais que personne n'a encore rien vu mais je me dis qu'en me rendant au comptoir, j'aurais les fesses entièrement nue et que ce client n'en perdra pas une miette. Heureusement je pense également à Marc qui va être complètement interloqué ! Je me dis qu'il est encore temps de changer d'avis mais en même temps que je pense à cela, je sais déjà que mon choix est fait ! J'ai envie de passer pour une cochonne aux yeux de mon mari. Je tourne alors à gauche et je me mets face au comptoir. Je sens ma mouille sur ma chatte. J'explique que je viens payer l'addition. Le plus dur est de réfréner l'envie de me réajuster. Mais c'est aussi ce qui porte l'érotisme de la situation. Je sais à ce moment que deux hommes sont en train de me regarder et que tous les deux aimeraient me baiser. Pendant que l'on me tend le terminal de paiement, je pousse le vice à écarter un peu les cuisses. Je compose mon code de carte bleue. Les minutes me semblent interminables. Je range le ticket dans mon sac et là,  je finis par m'apercevoir que ma jupe est relevée ! Je me réajuste enfin et je regagne ma place. Il est clair que je suis toute rouge. Ce que le client ne sait pas, c'est que je l'étais avant de me réajuster !

    Marc est complètement subjugué par mon numéro. Il m'a simplement confirmé, après coup, que le plus érotique a été de voir le client me regarder avec des yeux d'envie.

    Voilà pour cette mission. En rentrant, nous avons fait l'amour de façon très conventionnelle mais chacun d'entre nous pensait à ce qui venait de se passer !


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  • Ma Chair sodomisée,

    Que j'aime à lire ce genre messages ! Marc a cet indéniable talent à transformer une simple mission en une jouissante aventure. Encore toutes mes félicitations pour ta parfaite soumission à ton homme et à ce récit décidément très excitant. Quelle chance avons-nous de pouvoir ainsi profiter, même a posteriori, de ces moments chauds de votre intimité. C'est comme si nous y étions et cette sensation de savoir que bientôt tout sera su ne peut que satisfaire pleinement ton goût pour l'exhibition.

    Heureux également que mes propositions servent à provoquer chez Marc l'irrépressible envie de combler, et par tous les orifices s'il vous plaît, sa si jolie et si ardente femme. C'est vrai qu'à le chauffer de la sorte, tu es une vraie salope ! Et ta récompense pour avoir été obéissante n'en est que plus méritée.

    Continue à nous régaler de ce genre de « petits mots » car nous sommes tous ici pour nous en empiffrer.

    A bientôt.

    Un Maître.


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  • Bonjour,

    Un petit mot en passant sur la suite de votre mission « Presse ». J'ai fini la lecture du magasine sans y voir rien de très original. Ce qui a été intéressant par contre, c'est de voir la réaction de Marc lorsqu'il l'a découvert ! Je l'avais laissé traîné négligemment sur ma table de chevet et Marc s'en est aperçu ! Il m'a donc posé quelques questions et il a bien fallu que je lui réponde. Vous me mettez dans des situations embarrassantes !

    J'ai donc du lui avouer que j'étais allée acheter cette revue parce que j'avais eu envie. Il m'a alors demandé de quoi j'avais eu envie et j'ai du lui dire que je m'étais aperçue que j'étais mouillée et que c'était venu comme ça. Mais il voulait en savoir plus ! Comme s'il découvrait que j'avais souvent envie ! Il m'a alors demandé comment j'avais fait pour aller l'acheter et j'ai du lui donner des détails. Lui expliquer que j'avais eu peur d'avoir honte et que, pour me donner du courage, j'avais utilisé le vibreur. Là Marc a été soufflé ! Il m'a traité de salope et ses yeux se sont mis à briller, comme quand il a envie. J'ai également du lui avouer que je m'étais fait jouir en sortant du magasin et que le vendeur m'avait regardée bizarrement, comme si j'étais une dépravée, ce qui m'avait donné honte, surtout devant les autres clients. Marc était aux anges ! Il m'a simplement demandé si j'étais mouillée. Là encore, j'ai repiqué un fard ! C'est alors qu'il m'a demandé de me déshabiller et de me mettre sur le lit à quatre pattes en tendant les fesses. J'ai du m'exécuter, en ne conservant que mes chaussures ! Marc était derrière moi et il m'a encore donné honte en me disant que j'avais la chatte toute baveuse et qu'il en déduisait que j'étais vraiment une salope ! Il m'a même particulièrement bien cernée lorsqu'il m'a demandée si j'avais fait mon achat uniquement pour cette revue ou bien si c'était la situation dégradante qu'elle impliquait qui m'avait fait agir. J'ai alors cambré les reins pour lui montrer que j'approuvais et, bien que je me sois mise à rougir, je lui ai dit que l'idée d'exciter le vendeur m'avait plu et la honte que cela m'avait procurée était un puissant catalyseur.

    Marc m'a alors demandé de fermer les yeux et de ne pas bouger. J'ai alors senti qu'il s'était saisi de mon plug et qu'il le plaçait à l'entrée de mon anus. Une fois couvert de lubrifiant, Marc me l'a doucement enfoncé. Ca me faisait plein de choses dans la tête. Lorsqu'il a eu fini et que je me suis sentie pleine, il m'a demandé de me relever. Je me suis alors exécutée encore une fois, mais je n'en menais pas large et je n'osais pas le regarder dans les yeux. Il m'a simplement dit de retourner à la librairie et de regarder d'autres revues, puis de revenir me faire prendre. Je n'en croyais pas mes oreilles. Il se régalait de ma situation gênante et il en profitait pour en rajouter une couche. Il a alors simplement rajouté que je devais y aller uniquement vêtue de mon imperméable. « Je veux que tu te sentes être une putain à la recherche de sensations fortes. Tu regarderas quelques revues, entièrement nue sous ton manteau. Le gode te rappellera que tu aimes être enculée ! »

    Je n'ai rien dit. J'ai simplement pris l'imperméable, l'ai refermé et suis partie à la librairie, rouge comme une pivoine. Je peux simplement vous assurer que j'avais très chaud et ma chatte était dégoulinante ! Je me suis exécutée en feuilletant quelques magasines. Le vendeur a du me reconnaître car il m'a demandé, au bout d'un moment si je désirais quelque chose en particulier ! J'ai bredouillé une excuse mais j'ai clairement distingué qu'il lorgnait mon décolleté. Je me demande même s'il ne s'est pas douté que j'étais nue.

    En rentrant, j'ai du expliquer mes sentiments à Marc. Là encore, je n'osais pas le regarder. J'ai du ouvrir mon manteau et me placer à quatre pattes à même le sol. Mon mari m'a alors sodomisée en me traitant de putain.

    Ce qui est effrayant, c'est que ce mélange de honte, de soumission et de plaisir mon permis de jouir de façon divine !

    Nous n'avons plus reparlé de ce sujet pendant la soirée mais, ce matin, je me suis encore réveillée trempée !


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  • Ma Chair blogueuse,

    Bien joué pour cette mission. Tu es même allée plus loin que je ne le pensais en activant le vibreur tout en demandant où se trouvaient les revues pour adultes.

    Par contre, je suis déçu que tu n'aies acheté qu'une seule revue – sur laquelle je ne peux avoir aucun avis, ne l'ayant jamais lue ! – alors que l'idée ici était qu'avec plusieurs de ces revues achetées en même temps, tu devais passer aux yeux des autres clients comme une femme s'intéressant aux choses du sexe plus que de raison. En clair, je voulais que tu puisses ressentir cette honte, qui te donne tant de plaisir, de passer pour une putain. Ce sera pour une autre fois donc !

    Bien entendu, je ne peux t'en vouloir de ne pas consacrer plus de temps à l'écriture mais je me sens quand même un peu triste de ne plus avoir à lire cette magnifique prose que tu sais si bien utiliser pour magnifier tes récits.

    Vivement que la rentrée soit consommée !

    Bravo pour le succès mérité de ton blog. Reste à espérer que celui-ci n'est pas seulement dû à ces si excitantes photos mais aussi (et surtout) à ton courage et tes talents de narratrice. J'avoue que je n'ai pas la possibilité de le consulter aussi souvent que le souhaiterais. Je n'ai ainsi pas encore pu voir la dernière photo.

    Je te propose maintenant une nouvelle mission, inspirée d'une histoire survenue à une de mes connaissances. Tu vas te rendre dans un bar où, même installée en salle, tu n'auras pas à payer ta consommation immédiatement. Tu seras vêtue d'une robe longue et légère (pour le reste, je te fais totale confiance). Une fois ta consommation achevée, tu iras aux toilettes mais, en remontant ta culotte, te devras faire en sorte que le bas de ta jupe se prenne dedans, comme par accident. Une fois ainsi habillée, tu iras régler ta consommation au bar comme si de rien n'était, offrant ainsi à la vue de toute la salle, et dans la plus parfaite innocence, tes jambes révélées... voire la naissance d'une fesse (Imaginons que tu portes un string !). Tu resteras ainsi aussi longtemps que personne ne te signalera le problème, ce qui j'espère n'arrivera pas trop vite ! Je pense que le plus dur pour toi sera de ne pas rougir car bien sûr,  personne ne doit se douter que tu le fais exprès !

    A très bientôt.

    Un Maître.


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  • Bonjour,<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    Un petit mot en passant car je suis un peu débordée : Le travail a repris avec intensité.

    Tout d'abord, ma robe a du retard (encore trois semaines !). Je suis un peu déçue, je comptais en faire la surprise à Marc.

    Le week-end a été bien occupé également : Je passe mon temps à courir. Ne m'en veuillez pas de ne pas prendre suffisamment de temps pour écrire.

    J'ai deux choses à vous annoncer : La première, c'est qu'un de mes lecteurs m'avait demandé une photo où je devais apparaître entièrement nue en montrant une feuille de papier avec son prénom écrit dessus. J'ai fait cette photo et je la publierai lorsque j'aurai un peu plus de temps. Ceci dit, vu le succès que mon blog commence à avoir (plus de 850 lecteurs hier), je pense que je ne publierai bientôt plus de photos. J'en ai même enlevé quelques-unes, de façon à conserver mon anonymat.

    La deuxième, c'est que j'ai acheté la revue « Indécence » et que, pour être tout à fait honnête (et bien que je ne l'ai pas encore entièrement lue) je n'ai pas été emballée. J'attends de la lire entièrement pour me faire une meilleure idée et d'éventuellement la laisser traîner.

    Je suis allée l'acheter samedi, en robe longue avec un tee-shirt à bretelles. Dessous, je n'avais pas mis de soutien-gorge mais j'avais un string pour placer mon petit vibreur sur mon clitoris. Je n'étais pas très à l'aise car il y avait du monde dans la librairie. Comme, en plus j'avais du mal à trouver, il m'a fallu demander au vendeur et je suis devenue toute rouge. Heureusement que pour me donner du courage, j'avais mis en marche le vibreur ! Malheureusement, la tension nerveuse m'a empêchée de jouir dans le magasin. C'est en sortant que j'ai senti le plaisir arriver. Il m'a même fallu m'arrêter de marcher lorsque c'est arrivé ! Vous pouvez être fier !

    Sinon, je trouve votre dernier courrier particulièrement vicieux ! M'annoncer que vous allez peu à peu me guider vers mes idées de fantasmes est particulièrement pervers. Je ne suis pas sure de vous suivre, même si je me rends compte que la lecture de votre missive est très troublante !

    A bientôt.

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