• Bonjour,

    Je peux vous assurer que j'ai passé une nuit un peu agitée. Je me suis réveillée plusieurs fois et  je pensais à la demande de Serge. Si bien qu'au matin, j'étais toute chaude. Marc étant fatigué, nous n'avons pas fait l'amour ce week-end ! Tout ceci pour vous dire que je sens mon désir à fleur de peau.

    Vous me demandiez de choisir ma tenue avec attention. J'ai mis ma robe bleue en coton. Elle est très douce et c'est très agréable. J'ai mis un porte-jarretelles, des bas-coutures noirs, un soutien-gorge et un string noir assorti. Je porte rarement ce genre de chose au travail et c'est pourquoi c'est très excitant. J'ai également des escarpins. En prenant mon train, je pensais à votre demande : Penser à Marc et oser lui dire dans la soirée que je suis sa chose.

    En vérité, cette mission est plus difficile qu'il n'y paraît car vous me demandez de complètement m'abandonner à Marc. De devenir sa chose. Et comme il y a des aspects de la personnalité de Marc que je sens changer en ce moment, je ne sais pas où cela va me conduire ! Rappelez-vous comme il a trouvé excitant que je m'exhibe  au magasin de chaussures ! Rappelez-vous comment il m'a tendu ma robe de soirée légère pour que je la mette à même ma peau avant de m'envoyer danser avec Olivier ! Rappelez-vous enfin comme il m'a demandé d'aller chercher moi-même les photos de nue qu'il avait pris de moi. Ou encore comment il m'a ordonné de sucer le livreur de pizza !

    En arrivant au travail, je ne savais plus très bien où j'en étais. Vous me demandez d'être explicite vis-à-vis de mes sentiments : Je ressentais un mélange fait tout à la fois de honte et d'excitation. Honte de me laisser aller à ce type de jeu. De constater avec quelle facilité je descends peu à peu dans la débauche. Excitation liée sans doute au manque ou bien encore au fait que je ne suis qu'une salope qui exécute les désirs vicieux que vous m'ordonnez ! C'est du systématique, dès que je suis excitée, ce sont ces deux sentiments qui pré-dominent ! J'ai continué à vous obéir pourtant : Je suis allée aux toilettes et j'ai retiré mon string. Il était tout mouillé. C'est une sensation très agréable de marcher sans culotte, de sentir qu'on a la chatte trempée. Je vous écris donc du travail le sexe entièrement nu. Ca me fait plein de choses mais je ne sais pas encore si j'aurai la force d'aller au bout. Je vous tiens au courant...

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  • Bonjour,

    Ben là j'en suis la première surprise ! Jamais je n'aurais pensé que vous iriez questionner d'autres internautes ! Et ceci, même si je vous en avais parlé dans un message précédent. Je dois avouer que cela me fait tout drôle en dedans moi...  Et je dois avouer que c'est assez excitant. C'est vous qui gardez le contrôle et comme je vous ai promis une obéissance absolue, me voilà presque prise à mon propre piège ! Mais ce qui est dit est dit. Je deviendrai donc, le temps d'une journée, la putain de Serge. Je réaliserai donc ses moindres désirs puisque tel est votre vœu.

    Lorsque j'y repense, vous êtes un gros cochon vous aussi : Je suis certaine que cela vous excite de me donner à d'autres !

    Pensez bien à moi demain : je risque d'être toute chaude à faire ce que vous me demandez...

    A bientôt.


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  • Ma chair partagée,


    Dans un de tes messages précédents, tu m'as conseillé d'aller chercher, si je le désirais, des idées de scénarii auprès des nombreux visiteurs de ton blog. J'ai apprécié à sa juste valeur l'idée parce qu'elle émanait de ta personne. Je suis entré en contact avec certains et c'est la raison pour laquelle la mission d'aujourd'hui t'est proposée par Serge.
    Tu m'as toujours indiqué que tu me laissais maître de ton corps aussi je prends la liberté ici de l'offrir à Serge, comme Marc l'avait fait envers Olivier, afin que, en bonne esclave docile, tu réalises ses moindres désirs...
    Je te livre donc maintenant le texte original de la mission qu'il te propose :
    ******************************<wbr>***************<wbr>***************

    Petite chose,
    Le jour où tu accomplis ce scénario, dès l'instant où tu te lèves, tu es tout entière dans le film qui se terminera dans la soirée. Tu choisiras très soigneusement les vêtements et sous-vêtements que tu porteras pendant la journée.
    Dés le moment où tu te retrouveras, seule, en rue, dans le RER, tu vas penser intensément à Marc : à son corps, son odeur, sa queue. Cela va certainement te faire mouiller, encourages-toi en te disant que tu es une putain, sa putain et que tu es là pour lui être agréable, lui obéir. Ainsi tu arriveras à ton boulot, mouillée, trempée. Tu enlèveras ton string, mais tu garderas ton soutien-gorge. Bien entendu interdiction de te toucher tout au long de la journée. L'excitation doit être à son paroxysme à ta rentrée le soir.
    En début d'après-midi tu enlèveras le soutien-gorge, un peu plus tard tu téléphoneras à ton mari et avec une voix douce, tendre, sensuelle, en fait de circonstance tu lui annonceras qu'il aura une surprise ce soir. Bien entendu tu ne lui donnes aucune explication : « Une surprise est une surprise ! »
    Avant de quitter le travail tu vas expliquer par écrit, qu'intensément tu as pensé à Marc, à son corps, à sa bite, à son odeur. Tu diras également que tu ne t'es pas touchée alors qu'à plusieurs reprises tes doigts te démangeaient, te brûlaient. Tu étais chaude, bouillante, seulement tu voulais que ton désir, tout ton désir soit pour lui. Tu finiras enfin en lui disant que tu es là devant lui et qu'il peut te demander ce qu'il veut, tu lui es soumise, obéissante, prête à accomplir tout ce qu'il va te demander, car tu veux absolument son plaisir.
    Effectivement quand vous serez tous les deux, tu lui donneras à lire ton œuvre et tu resteras bien sage devant lui à attendre qu'il ait fini la lecture et te dise ses premières exigences que tu t'empresseras d'accomplir.
    A partir d'ici tu laisses la plus grande part à l'improvisation et à ce qu'il te demandera. Il est le Maître. Le bouquet final est que quand tu te sentiras prête, la tête chaude comme tu le dis si bien, tu utiliseras les mots crus dont tu as l'habitude de te servir pour l'exciter davantage et lui dire de venir t'achever par . . . un cunnilingus ! Rien ne vous empêche après ceci de continuer une partie de saute-mouton ou/et de lèche-vitrines.
    De toute façon ton rôle n'est pas terminé. Un peu plus tard dans la soirée ou même à la fin de ce scénario tu vas lui expliquer comment tu as vécu cette journée : tes sentiments, tes besoins, tes désirs, tes peurs, tes excitations. Le nec plus ultra sera que tu t'arranges pour qu'il te demande des détails, encore plus de détails. Je suis certain qu'il en jouira davantage.
    Enfin pour terminer en apothéose, cerise sur le gâteau pour nous les internautes : tu nous feras un compte rendu détaillé, précis, clair de ce que fut ta journée, toute ta journée depuis le lever jusqu'à la discussion avec Marc, bien sûr.
    J'imagine que cela prendra plusieurs billets, ce n'est rien. Depuis tes débuts tu as fait de très grands progrès à propos de l'exhibitionnisme. Il est sans doute temps maintenant pour toi de te dénuder davantage à propos des sentiments, du ressenti, du vécu. Cela est sans doute difficultueux  pour toi de t'expliquer, te répandre, t'égarer. Seulement c'est un point où tu as encore à apprendre, à être boostée.
    Enormes plaisirs à tous deux,
    Un cochon, heureux de l'être.
    Serge.

    **************************<wbr>***************<wbr>*******************
    En attendant ton rapport avec impatience.
    Un Maître.


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  • Ma chair brûlante,

     

    Quelle obéissance ! Je ne peux effectivement qu'être fier de ma salope et je reste ébahi par la rapidité d'exécution de cette mission. Et avec quel brio l'as-tu encore honorée ! En choisissant une tenue spécialement excitante, effectivement très à mon goût (tu me connais maintenant !), tu t'es mis Marc dans la poche dès le début. C'était brillamment joué. Mais que dire ensuite de ce que tu lui as proposé de ta propre initiative avant de réaliser la mission ?

     Quel homme aurait pu résister une telle offrande. Là, tu l'as joué belle salope et tu en as retiré une récompense méritée : deux belles éjaculations coup sur coup. Tu sais maintenant que si tu sais bien y faire, ton homme sera capable de t'amener au plaisir plusieurs fois de suite. Merci en passant à Marc que le travail poursuit jusque dans sa demeure, pour le plus grand bonheur de nous tous ici réunis.

    Le fait que tu t'avoues maintenant que tu adores sucer ne devrait pas te faire honte. S'il est une spécialité qu'une femme soumise et obéissante se doit de savoir réaliser à la perfection, c'est bien de la fellation qu'il s'agit (n'est-ce pas messieurs ?). Aimer cela doit donc absolument te rendre fière.

     

    Profites-en donc au passage pour en parler avec Marc. Dis-lui ainsi que tu aimerais le faire plus souvent, que ton amour pour lui t'entraînes à la soumission la plus totale à son autorité et que tu attends donc de sa part qu'il te le demande dès que bon lui semble, en tout lieu et à tout moment. A propos de règles de vie, appliques-tu bien la première qui t'enjoint de dormir nue ?

     

    Enfin, je suis moi-même très satisfait que nous ayons pu montrer en toutes ces occasions à Marc combien sa femme est exceptionnelle et qu'en l'épousant, il a fait le meilleur choix de son existence. J'espère juste que maintenant il va te considérer comme ce que tu es vraiment : une femme libérée et aimant, entre autres choses, faire l'amour de manière débridée avec son mari. Et je ne dirai jamais assez mon admiration pour ce que tu réalises en ce sens.

     

    A très bientôt pour une nouvelle mission.

     

    Un Maître.

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  • Bonjour,

    J'ai passé un week-end prolongé plutôt agréable, durant lequel je me suis reposée. La semaine prochaine, mon neveu Guy devrait être avec nous pour l'Ascension et ce sera sans doute plus animé. J'ai eu l'occasion de réaliser votre mission, mais je pense que vous n'en êtes pas surpris, vu ma promesse d'obéissance !

    En effet, Marc était de repos lundi mais il a été appelé pas mal de fois au téléphone par son travail. Son métier est assez prenant ! Quand j'ai compris que cela allait durer, je me suis absentée. Je me suis alors dit que c'était le moment de vous satisfaire, de vous prouver mon total abandon à vos désirs. Votre petite salope est alors partie se changer. J'ai mis un chemisier transparent, une pupe plissée et des bottes blanches. J'espère que c'était à votre goût. J'entendais la conversation de Marc continuer. Marc était dans le séjour assis sur un fauteuil. J'avais remonté la jupe à la limite de mes fesses. Je suis ainsi passée devant Marc sans faire attention à lui ! Mais j'ai clairement entendu la conversation s'arrêter un instant, preuve de l'effet que je produisais ! Quand je me suis retournée, j'ai vu au regard de mon mari que ce cochon avait envie de moi. Je me suis placée devant lui en le regardant dans les yeux. J'ai alors fait passer ma langue sur mes lèvres comme une gourmande. Marc était bouche bée. Il ne pouvait rien dire car son interlocuteur se serait aperçu de quelque chose. Je sentais qu'il luttait intérieurement pour parvenir à garder le fil de sa conversation. Je me suis alors accroupie, toujours face à lui et j'ai écarté mes cuisses, très lentement, en plaçant mes mains derrière moi, sur le sol. J'ai très explicitement montré à Marc que j'avais la chatte entièrement nue. J'étais trempée ! Cela me produit toujours cet effet là quand je m'exhibe ! J'ai doucement passé un doigt sur ma chatte pour montrer à Marc dans quel état je me trouvais. La conversation s'est encore arrêtée et je me régalais de le sentir s'empêtrer dans ses explications. Je me suis alors approchée de lui et, tout en le regardant dans les yeux de façon très gourmande, j'ai touché son sexe au travers de son pantalon. Marc était tout rouge d'excitation contenue. Je passais encore ma langue sur mes lèvres pendant que je déboutonnais sa braguette. Marc n'en croyait pas ses yeux et vous m'avez fait passer pour une vraie cochonne. J'ai alors sorti son sexe raide et, tout en continuant à le fixer, j'ai approché ma bouche de son pieu. Je m'aperçois (ce qui me fait honte) que finalement, j'adore sucer ! J'ai fait doucement coulisser sa queue dans ma bouche. J'ai commencé doucement puis je suis allé de plus en plus loin. Je l'avalais entièrement. Je ne m'arrêtais que quand je sentais ses couilles contre moi. Comme une putain ! Alors je ressortais entièrement et je recommençais à le regarder. Sa bite était toute luisante de ma salive. Je recommençais ensuite à l'aspirer. Marc, d'abord devenu muet, s'empêtrait encore dans des explications bancales et a eu énormément de mal à garder son sérieux. Je n'ai pas eu à attendre très longtemps avant de sentir ses giclées chaudes me remplir la bouche. Ce cochon n'avait pas jouis depuis longtemps et il n'en finissait pas. C'est un sentiment extraordinaire. J'en avais plein la bouche. Je me suis alors retirée et je l'ai encore regardé dans les yeux. Il s'excusait auprès de son correspondant qu'il était dérangé par je ne sais plus quoi ! J'ai alors ouvert mon chemisier pour lui montrer mes seins et je me suis mise à califourchon sur ses genoux, les jambes de part et d'autre. J'ai alors entendu la conversation de Marc qui prenait fin. Pendant que je l'entendais prendre congé, j'ai ouvert ma bouche tout en le regardant encore dans les yeux. Je sentais le sperme dégouliner de mes lèvres et je voyais les yeux de Marc lui sortir des orbites. Je pense qu'il n'imaginait pas à quel point je peux être salope quand j'ai envie ! A cause de vous, mon mari se rend maintenant compte qu'il est marié à une vraie cochonne ! En même temps, je frottais ma chatte sur sa queue. Ce qui m'a plu, c'est de le sentir encore tout raide. Comme j'étais moi-même complètement trempée par vos cochonneries, j'ai senti sa queue me pénétrer entièrement. J'ai enfin entendu Marc reposer le téléphone et me traiter de putain. Je sentais sa queue en moi et c'était délicieux ! J'ai alors approché mes lèvres des siennes et j'ai senti en même temps sa langue contre la mienne pleine de sperme et, de nouveau, ses giclées de foutre en moi. J'en étais soufflée : Je ne savais pas qu'on pouvait jouir plusieurs fois si rapprochées ! Cela m'a aussitôt fait jouir à mon tour, pendant que je sentais nos langues se mêler dans ce bain de foutre !

    Voilà, j'espère que je ne vous ai pas choqué, mais à me mettre dans cet état, je n'étais plus moi-même !

    Heureusement qu'hier a été plus calme !

    Etes-vous fier de votre salope ?

    A bientôt j'espère...

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