• Ma chair cinéphile,

    Encore un rapport de mission terriblement excitant. Je te remercie ici à nouveau pour ta plume et surtout la manière dont tu nous fais ressentir tes émotions et les élans de ton corps. Cela ne fait que rendre la réalisation de la mission plus... vivante, pour ne pas dire plus. Alors oui, tu as parfaitement raison, les mots sont plus forts que toutes les images.

    Merci ensuite pour ta totale soumission à réaliser ainsi les fantasmes délurés de ton maître épistolaire. Je n'en attendais pas moins de toi. Etre le dominateur d'un corps féminin si soumis et docile me remplit d'excitation et décuple mon imagination. C'est un sentiment fort qui n'est pas près de me lâcher.

    Concernant la mission elle-même, il est dommage que tu n'aies pas regardé ton voisin, même discrètement. Peut-être préférais-tu l'imaginer plongeant son regard entre tes cuisses luisantes plutôt que de le découvrir les yeux fixés sur l'écran ? Tu es décidément bien plus perverse que moi. En tous cas, je te tire mon chapeau car il était courageux de choisir une rangée si vide car cela ne laissait que peu de distraction à ton voisin, amené à choisir qu'entre le film ou sa jolie voisine venue s'installer juste à côté de lui.

    Pour ta prochaine mission, je vais profiter de ton abandon à mes ordres pour te faire réaliser un petit scénario conjugal fantasmatique. Il va te falloir sucer Marc pendant une de ses conversations téléphoniques. Bien sûr, cela dépend grandement de la durée de ses appels mais j'espère qu'ils sont suffisamment longs. Si tel est le cas,  choisis donc un jour où Marc est dans une grande conversation au téléphone et approche toi de lui avec le regard gourmand et les lèvres humides. Sans perturber sa conversation, essaie de lui caresses la queue à travers le  pantalon en passant ta langue sur tes lèvres. Si tu t'y prends bien, tu devrais bientôt pouvoir l'avaler. Ecoute-le alors se dépatouiller dans sa conversation. Arrive-t-il à garder son sérieux ? Sa respiration s'accélère-t-elle ? La personne au bout du fil peut-elle se rendre compte de rien ? Pour terminer, pour me contenter et comme tu as l'air d'aimer cela, je te demande de conserver en bouche le sperme de Marc jusqu'à ce qu'il ait raccroches. Repasse ensuite régulièrement devant lui et tâche de lui montrer que tu n'as pas encore avalé.

    Dans l'attente de te lire.

    Un Maître.


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  • Bonjour,

    Et bien ça y est pour le cinéma ! Mais j'y suis allée seule. C'était Vendredi soir et le temps était pluvieux. J'avais déjà planifié cela dans ma tête lorsque je vous avais écrit mon dernier message. Je voulais être bien obéissante. J'avais décidée de devenir une chienne bien attentive à vos désirs. Je m'étais dit « ton maître veux que tu ailles te caresser dans un cinéma à côté d'un parfait inconnu » et cela à achevé de me décider. Je voulais vous prouver que vous avez à votre disposition une salope bien éduquée, à qui il suffit de demander. Toute la journée j'y ai pensé. J'étais rassurée en début d'après-midi, lorsque j'ai reçu votre message réconfortant. Mais, c'était trop tard, le vice était en train de me gagner et je voulais le faire. Je sentais déjà cette douce chaleur dans mon ventre.

    Je suis d'abord rentrée à la maison me préparer et j'y suis allée en laissant un mot à Marc : « Tu n'es pas là. J'ai une terrible envie de jouir et ta queue me manque terriblement. Je vais me distraire au cinéma. J'ai décidé de me faire jouir en pleine séance ! Je ne peux plus résister et l'idée de jouir en plein cinéma est très excitante. Comme ta chienne est en manque et que je suis trempée, j'utiliserai peut-être un gode. A tout à l'heure ! Ah, j'oubliais : J'ai mes escarpins blancs, une paire de bas noirs et mon imper. Je n'ai rien d'autre sur moi pour prendre le RER. Tu comprends, le temps est pluvieux ce soir ! Je suis sure que tu aimerais me faire l'amour. Moi aussi gros cochon ! »

    Malgré mon air sure de moi, je n'en menais pas large tout de même. C'est très excitant d'être dans une tenue pas conventionnelle : On a l'impression que tous les regards convergent vers vous. J'avais l'impression que tout le monde pouvait voir que j'étais complètement nue sous mon imper ! Ca me faisait comme des picotements partout. Et puis cette chaleur qui enflait peu à peu dans mon ventre. Cette impression humide qui fait que l'on se sent devenir chienne. Cette envie d'être prise. Ce désir d'ouvrir ce manteau face à un homme et de lui dire de me prendre comme une putain en me collant à lui.

    Il y avait beaucoup de monde au cinéma et je maudissais le ciel qu'il en soit ainsi. Ca me semblait, du coup, beaucoup plus difficile (je m'étais imaginé que la salle serait quasi-déserte). Je suis d'abord allée aux toilettes. Là, j'ai enlevé l'imper. Je mourrais d'envie de me faire jouir ici mais j'ai su résister. J'ai simplement sorti le plug. Je l'ai enduit de lubrifiant, et j'ai commencé à le faire entrer dans mon anus. Une fois ceci fait, j'ai ressenti comme un sentiment de plénitude. C'est une sensation extraordinaire. Je me sentais toute dilatée et cela accroissait encore l'envie de jouir. Je me disais alors que j'étais vraiment une salope. Je suis ensuite sortie des toilettes et, une fois retournée en salle, j'ai assez rapidement repéré ma proie : Un jeune homme qui devait être encore étudiant ! J'ai alors suivi votre demande et je me suis assise à côté. Je ne savais pas encore si j'oserais aller jusqu'au bout, mais cela participait à mon excitation. Je me sentais comme une putain. Il me faut encore vous préciser que marcher avec le plug enfoncé est un délice. Chaque pas vous donne l'impression d'être pénétrée. C'est vraiment divin.

    C'est là que je me suis dit que ma tenue devait poser question et que j'ai commencé à sentir ce mélange de honte et d'excitation. En y réfléchissant, c'est assez curieux de conserver son imper en plein cinéma ! Mais je ne pouvais plus reculer maintenant. Heureusement les lumières se sont éteintes rapidement et le film a débuté. J'avais la gorge nouée mais également une terrible envie. Je n'osais pas bouger. Mes mains étaient posées sur mes cuisses, protégées par mon imper. En fait, je ne pouvais rien faire sans risquer d'éveiller l'attention de mon voisin. C'est là que je me suis dit que vous deviez déjà savoir tout cela et que c'est pour me mettre dans cette situation embarrassante que vous m'avez demandé cette épreuve ! Vous saviez que j'aurais envie de jouir et vous saviez également que pour me faire jouir, je devais me toucher et, par là même, risquer d'éveiller l'attention de mon voisin. Vous vouliez me faire passer pour une chienne. Vous êtes un vrai pervers. Mais c'est aussi pour cela que j'aime vos épreuves. Vous savez me faire descendre lentement dans le vice.

    J'ai glissé ma main très discrètement sous mon imper, à mi-cuisse. Mais il était impossible de faire quoique ce soit sans la remonter. Malheureusement, il était également impossible de la remonter sans ouvrir le bouton du bas de l'imperméable. J'ai attendu cinq minutes et, du plus discrètement que j'ai pu, j'ai ouvert ce bouton. Je n'en menais pas large. J'étais en plein cinéma public et il y avait du monde un peu partout ! Ma main pouvait maintenant remonter légèrement. J'atteignais la lisière de mes bas et la chaleur de mes cuisses. J'étais bouillante. Mais j'ai alors compris qu'il me faudrait ouvrir encore un dernier bouton pour accéder à ma chatte. J'ai alors pensé à renoncer. Et puis, j'ai également pensé qu'avec mon message précédent, renoncer signifierait sans doute ne plus avoir de mails. Je vous avais promis d'être bien obéissante ! Je sentais la honte m'envahir, me demander comment j'avais pu en arriver là ! Alors sans réfléchir plus avant, j'ai doucement ouvert ce bouton. Je me sentais couler. Le bas de mon imper s'est ouvert un peu plus et, lorsque j'ai un peu desserré mes jambes, les pans de mon manteau se sont ouverts. Je ne réfléchissais plus à rien car j'aurais été complètement paralysée. Hormis ce jeune étudiant, il n'y avait personne dans la même rangée. Je savais qu'il pouvait voir mes cuisses au-dessus de mes bas. Je savais que maintenant, il se doutait que j'étais nue sous mon imperméable. Cela dopait mon excitation. Vous vouliez que votre putain se branle à côté d'un parfait inconnu. Je l'ai fait. J'ai complètement écarté les cuisses et j'ai frotté mes doigts sur mon clitoris. Je n'osais pas le regarder mais je savais qu'il me regardait. J'ai jouis très rapidement. Avec une force extraordinaire, comme vous savez toujours le faire par vos situations débauchées. Lorsque j'ai rouverts les yeux, je me suis dépêchée de regagner les toilettes pour enlever le plug et je suis rentrée à la maison. J'ai rarement ressenti autant de honte ! Mais ma jouissance a été divine. En rentrant, Marc n'était pas encore là ! J'ai déchiré le mot que je lui avais laissé car j'étais vraiment très honteuse. Lorsqu'il est arrivé un peu plus tard, je ne lui ai rien dit. Comme il était fatigué, je n'ai pas osé lui demander de me prendre. Nous n'avons pas fait l'amour depuis bien longtemps !

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  • Ma chair inquiète,

    Pas d'inquiétude ! Le message précédent n'avait pour unique objet que de recueillir une réaction de  ce type. Je sais que ce n'est pas très fair-play mais j'avais besoin de savoir si l'obéissance que tu me dois pouvait s'accommoder avec la nouvelle orientation prise par ton couple (sans compter qu'au passage, ce n'est pas désagréable pour mon ego !).

    Tu annonces maintenant que tu vas être désormais très obéissante.  Cet abandon t'honore mais, je me trompe peut-être et tes amis internautes pourront témoigner, il me semble difficile de faire plus soumise et docile que ce que tu as toujours été jusqu'ici.
    Rassure-toi, j'ai bien sûr encore d'autres missions à te confier dans mes cartons et je ne compte pas en rester là. Moi aussi, je suis devenu accro à ces échanges et au plaisir que tu me procures à réaliser de manière si lubrique les défis que je te propose. Mais je te laisse à présent bien digérer la mission  du livreur de pizza et j'attends que tu me réclames ici une nouvelle épreuve à réaliser.

    Un Maître.


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  • Bonjour,

    Je suis un peu déçue par votre dernier message. Seriez-vous en panne d'inspiration ? J'espère que ce n'est qu'une plaisanterie. Peut-être vous ai-je déçue en ne réalisant pas tout de suite votre mission au cinéma ?

    J'adore les échanges que nous avons et je n'ai pas envie qu'ils cessent. Cela m'est déjà arrivé une fois parce que je n'étais pas allé au bout de ce que l'on m'avait imposé. Je me suis promis que cela ne m'arriverait plus. Je suis trop accro maintenant et j'ai besoin de ces perversions. Même si Marc s'est, lui aussi, orienté dans cette voie, cela me stimule de devoir vous obéir et mon couple ne s'en porte que mieux !

    Aussi, après avoir lu et relu votre courrier depuis ce matin et je viens de décider quelque chose d'important : Je serai très obéissante avec vous si vous continuez à converser avec moi. En échange de vos mails, je m'engage à réaliser tout ce que vous me demanderez. Je deviens votre putain. Certains internautes ont laissé leur adresse email et vous pouvez peut-être les joindre pour convenir ensemble quelles perversions vous voudriez me faire faire ? Vous décidez ce qui vous passe dans la tête et je réalise vos cochonneries. Mais, de grâce, ne cessez pas d'écrire.

    A très bientôt j'espère.


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  • Ma chair voyageuse,

    Décidément, ce Marc est un incorrigible et inventif pervers. Il sait maintenant qu'avec toi il va pouvoir tout te demander et ainsi libérer tous ses fantasmes pour ton plus grand plaisir. Te voilà devenu un jouet sexuel entre ses mains. Il t'exhibe de plus en plus au grand jour et tu ne peux lui cacher que tu adores ça ... Nous aussi !

    Et au fond, que me reste-t-il à te proposer ? Suis-je toujours nécessaire à ton appétit sexuel ? Les futures missions que je t'ai préparées risquent de s'avérer bien ternes en regard de ce que peut te proposer Marc, maintenant qu'il s'est révélé être un maître très inspiré.

    Je profite de l'occasion pour remercier Serge pour ses félicitations. Cela me réconforte dans ma position de ne pas disparaître ainsi totalement derrière tes admirables et si troublantes performances.

    Un Maître.


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