• Bonjour,

    J'ai eu peu de commentaires sur mon blog ! Aussi je me demande si je vais publier ces photos. Ca fait plaisir d'avoir quelques remarques...

    Allez, je mets ça sur le compte du fait que c'est le week-end...

    Voici une photo où j'essaie d'exciter un peu Marc pendant notre balade. Je ne vous en avais pas parlé ? Où avais-je la tête !

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  • Ma chair banlieusarde,

    Je ne me lasserai jamais de lire ce type de récit. Tout d'abord car je n'en suis pas l'instigateur et que le plaisir de la découverte est doux mais surtout parce que tu as un don merveilleux de narratrice qui permet à tous de partager ces beaux moments... A tel point que l'on peut regretter de ne pas les avoir vécus nous-mêmes.

    Et que j'aime à voir Marc ainsi amoureux de sa femme,  n'hésitant pas à la rejoindre dans son propre univers sensuel. Pas facile en effet pour un homme de rester brillant dans un endroit public. Les acteurs pornos en savent quelque chose ! Mais comment aurait-il pu résister à une telle invitation ? C'était en fait presqu'un viol dont il était la victime... éblouie.

    Je veux te dire ici toute l'admiration que j'éprouve à te voir ainsi évoluer vers des contrées où plus rien n'a d'importance en dehors de ton propre appétit de la vie et de ce qu'elle peut t'offrir comme plaisirs. Tu as bien raison !

    Offre à ton corps et à ton esprit ces sensations maintenant plutôt que de regretter plus tard de ne l'avoir pas fait. Votre couple ne peut que se solidifier dans ces échanges pervers mais terriblement libérateurs.

    Suis-je assez sage ?

    Un Maître.

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  • Bonjour,

    Voici quelques nouvelles en passant. Votre mission n'est pas encore réalisée, bien que je commence à y réfléchir. Il me faut encore un peu de temps pour la mettre au point.

    En fait, je voulais surtout vous faire part de ce qui m'est arrivé hier soir. Marc m'a appelée au travail pour me proposer de venir le chercher à la sortie de son travail et nous promener un peu avant de rentrer. Comme il faisait très beau hier, cela m'a semblé être une bonne idée. Par contre je suis rentrée me changer et prendre une douche avant d'aller le rejoindre.

    Je suis repartie en RER vers Paris où j'ai rejoins Marc. Je portais une robe rose moulante en tube. Comme je voulais plaire à Marc, je n'avais rien dessous ! Marc a apprécié et m'a fait des compliments ! Nous sommes ensuite allés nous promener dans la capitale. C'est agréable de sentir le regard des passants s'arrêter sur soi ! Marc était très fier. Je pense que j'ai réussi à lui donner envie. Lorsque nous nous sommes décidés à rentrer, il était plus de vingt et une heures ! Nous avons alors pris notre RER. A cette heure là, il n'y avait plus beaucoup de monde et nous avons trouvé une place assise sans aucun problème ! Marc a commencé à m'embrasser. Mais pas un simple bisou dans le cou ! Ce cochon me faisait des bisous d'amour avec sa langue. C'est là que je me suis rendu compte qu'il était vraiment excité de ma tenue. Elle est sexy mais ce n'est pourtant pas une tenue hyper-provocante ! J'étais un peu gênée car, bien que non surchargé, il y avait encore du monde dans le train. A l'arrêt suivant, les personnes qui se trouvaient devant nous sont descendues et nous étions plus tranquilles. En fait, nous étions en bout de rame et les personnes présentes se trouvaient juste derrière nous, à quelques centimètres en fait, mais dans l'autre sens (nous étions dos à dos). Marc a recommencé à m'embrasser et je me suis alors complètement prêtée au jeu. Nos langues se mêlaient et je me sentais redevenir chienne. Je commençais à devenir toute mouillée lorsque Marc s'est retiré de moi et m'a regardée d'une drôle de façon, comme s'il venait de penser à quelque chose. Il s'est ensuite rapproché de moi et j'ai compris qu'il voulait me parler à l'oreille. Il m'a alors dit de rester là mais qu'il allait se placer un peu plus loin dans le RER. J'avouais ne pas tout comprendre mais Marc était déjà parti du coté opposé où se trouvaient les gens. Nous nous faisions alors face. Je l'ai alors vu sortir son téléphone portable. J'étais de plus en plus interloquée. J'ai vu ensuite Marc se servir de son téléphone pour envoyer un SMS et quelques instants après, je sentais mon propre téléphone vibrer. J'ai alors compris que Marc souhaitait simplement me parler sans se faire remarquer.

    « Tu m'as promis une obéissance totale, t'en souviens-tu ? »

    Comme si j'avais pu l'oublier ! Je le regardais dans les yeux en même temps que je sentais la pression monter en moi. Une douce chaleur commençait à m'envahir. Je regardais mon mari et j'articulais le mot « oui » en silence. Marc a souris et j'ai passé ma langue sur mes lèvres pour l'exciter. Je savais qu'il avait envie. Marc s'est alors remis à tapoter sur son téléphone.

    « Tu vas me montrer tes seins. »

    Je sentais une boule se former dans ma gorge et je sus, en levant les yeux vers lui qu'il me faudrait satisfaire ses fantasmes si je voulais conserver ma crédibilité.

    « Maintenant. »

    Je sentais les gens discuter juste derrière moi. Ils pouvaient se retourner à tout moment. Je sentais des poussées d'adrénaline dans mes veines ! J'ai regardé Marc et j'ai légèrement descendu ma robe. Je suis apparue les seins nus dans le RER, a quelques centimètres des gens qui se trouvaient derrière moi. J'ai vu Marc prendre la photo avec son téléphone. J'ai rapidement remonté ma robe.

    « Tu vas maintenant me montrer ta chatte. »

    Lorsque je vous dis qu'il est vicieux ! En même temps, je me sentais dégouliner. J'ai alors remonté ma robe et j'ai vu encore une fois Marc me photographier.

    « Je veux maintenant voir tes seins et ta chatte ! »

    Là encore j'ai du lui montrer ce qu'il souhaitait pendant qu'il me photographiait ! Je sentais que mon excitation était à son comble. Le RER s'est mis à ralentir et je me suis très vite rajustée. Les personnes qui se trouvaient à proximité sont ensuite descendues et il ne restait que quelques gens beaucoup plus éloignés, à l'opposé de la rame.

    Marc pouvait maintenant parler librement, il ne risquait plus d'être entendu.

    « Enlève ta robe, je te veux entièrement nue dans le RER. »

    Je me suis sentie alors devenir une vraie chienne. Je l'ai regardé dans les yeux et j'ai enlevé ma robe, ne conversant que mes escarpins. Ca me faisait des choses partout ! J'ai même commencé à me caresser pendant qu'il continuait ses photos. Je me suis alors retournée pour voir si je pouvais être vue et comme il n'y avait plus qu'un seul passager qui ne me prêtait pas attention (il regardait dans l'autre sens), je me suis levée et j'ai retrouvé Marc. Je me suis assise sur lui et je l'ai supplié de me baiser. « Ta salope a besoin d'une queue maintenant. Baise-moi. » La sensation était hyper-excitante. J'étais entièrement nue et Marc était habillé. Ce contraste me plaisait ! Mon mari a alors sorti sa bite et pendant que je m'allongeais en travers sur les sièges, l'a poussée dans ma chatte trempée ! J'ai encore du mal à l'imaginer aujourd'hui mais je me suis fait baiser dans le RER ! La sensation est exquise je vous le garantis ! Nous avons jouis en quelques secondes !

    Voilà mes dernières nouvelles. Si vous êtes sage, je publierai peut-être une ou deux photos ! Elles sont vraiment de mauvaise qualité mais on distingue très bien la situation !

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  • Pour l'ensemble de ton œuvre. A mon avis je suis assuré que chacun(e) qui te lisons, tu mérites :


    La Palme d'Or,
    Le Grand Prix du Jury,
    Le Grand Prix de la Critique,
    Le 1er Prix d'Interprétation avec mention spéciale pour le second rôle (Marc),
    Le Prix Spécial du Compte Rendu.
    Si d'autres songent à autre chose ils peuvent ajouter !


    Je ne suis pas fier, Petite chose, je suis heureux, profondément heureux. C'est toi qui peux, qui a à être fière. Tu t'es tirée de tous les évènements, avatars, pièges avec une très grande maestria !


    La lettre, ah le superbe aveu d'estime, d'amour d'adoration envers Marc.
    A  propos de la lettre, j'ai une question, aussi un souhait, plus exactement une exigence.
    La question :
    Est-ce que cette lettre, au bout de ton bras, a pesé aussi lourd que Trep l'imagine ?
    Le souhait – exigence –
    Il serait bon que tu aies un exemplaire de cette lettre en permanence avec toi. Ainsi tu te souviendrais à tout moment de ce que tu as promis à Marc. Tu lui a bien dit : « ...ce ne sont pas des mots innocents que je t'écris ici ». Tu ne peux pas l'oublier.
    Elle sera pour toi un Talisman !


    Certainement es-tu née sous une bonne étoile ! D'abord Marc ne t'a rien demandé de plus, ce soir là. Il a été doux tendre et t'a remerciée en t'avouant son amour. Ensuite, souviens-toi, je t'avais demandé de vous expliquer à propos de cette journée. Cela ne s'est pas fait ce jour là, seulement 48 H plus tard tu as pu, dû t'expliquer très précisément à Guy. Marc, comme je l'avais supposé a demandé «des détails, encore plus de détails.»
    Quels délicieux instants, n'est-ce pas de t'être étalée, répandue sans pudeur avec des mots crus. Il est vrai que tu aimes les sensations fortes, les humiliations pour jouir. Tu l'as avoué à Guy, cela va certainement te donner une autre dimension de toi-même pour l'avenir.


    Tu sais, Petite chose, tu es exceptionnelle car tu es arrivée au bout de toutes mes demandes, précisions, exigences. Sache que c'est toi qui as fait tout cela avec une imagination débordante,  un brio remarquable, un culot fantastique. Oui, Marc est vicieux, seulement tu peux l'être aussi. A ce propos et sur beaucoup d'autres points vous êtes l'exact miroir l'un de l'autre. C'est ce qui fait votre richesse, votre complémentarité. Je souhaite que vous puissiez vous parler davantage, c'est existentiel dans un couple comme le vôtre. N'oublie pas qu'il y a six mois chacun de vous n'imaginais pas un seul instant  que l'autre voulait ces jeux érotiques puissants, «dépravés».
    Je suis un homme, un Maître, il n'empêche que moi aussi je peux me poser la question : « Que va penser de moi, ma partenaire, si j'exige ceci ou cela ? »
    Marc à ce jeu est néophyte, comme toi. Il a certainement besoin de points d'appui et toi seule peux les lui donner, car tu les as vécus, expérimentés de l'intérieur.
    Voilà j'ai fini, j'espère, je souhaite même, pouvoir revenir comme scénariste. Je me suis beaucoup amusé à créer l'histoire et tout au long de tes billets j'ai été heureux, exalté de ce que tu vivais et racontais avec autant de simplicité, de volonté de faire plaisir, de partager ces instants sensuels, humiliants, délicieux.


    Merci, Petite chose, je t'embrasse très fort,  très délicatement !


    Serge.


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  • Petite chose,

    Tu peux lire les compliments, toute l'admiration que chacun te portons. Trep m'a retiré les mots, tous les mots que je voulais te dire. Je l'en remercie parce que nous sommes tous sur la même longueur d'onde à ton égard. Il n'est aucune concertation entre nous, simplement nous te rendons hommage. Il se fait que nous sommes tous époustouflés en face du courage sans faille que tu as vécu, montré, exprimé tout au long de cette journée. J'imagine qu'à certains moments tu as du te demander si elle allait enfin finir, si tu allais tenir. Tu y es arrivée. Je ne sais de combien de chapeaux je puis me couvrir pour pouvoir, avec chacun d'eux te dire : Chapeaux bas !!!


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