• Ma chair délaissée,

    Un petit mot très vite en passant : Voilà !  C'est exactement cela que j'attendais de toi. Si, en effet, tu ne fais que confirmer ce que tu as déjà proposé à Marc dans ta lettre, cette demande là est bien plus explicite et exprime vraiment une intense volonté de soumission.

    Pauvre Marc ! Le texte que tu lui as envoyé est terriblement bandant et il lui faudra un énorme flegme pour ne pas se laisser aller. Mais s'il a pu résister à l'envie de se masturber, il va te revenir bouillant de désir. Ce sera alors à toi de d'être à la hauteur de ce que tu auras éveillé en lui.

    A demain pour une autre mission.

    Un Maître.


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  • Bonjour,

    Je suis un peu débordée en ce moment et je n'ai pas beaucoup de temps libre ! Désolée pour mes lecteurs mais j'essaie de faire au mieux... 

    L'ambiance ne s'est pas encore prêtée à votre idée d'apéritif, tout simplement parce que Marc est en formation cette semaine. Cela viendra donc sans doute, mais un peu plus tard...

    Par contre, j'ai bien en tête votre demande : Vous souhaiteriez que j'insiste auprès de Marc pour lui révéler que ma bouche est entièrement à sa disposition, où qu'il le souhaite et quand il le souhaite. En fait, j'ai déjà fait cette preuve d'amour dans ma lettre à l'issue de la mission de Serge... Je pense que Marc l'a bien en tête. Comme vous sembliez insister, et à défaut d'avoir mon mari sous la main, je viens de lui envoyer un mail le lui rappelant. En voici un extrait :

    Mon chéri,

    (...)

    Sinon, je voulais te rappeler que je suis à ton entière disposition. En vérité, tu me manques et je sens que le désir monte en moi. J'imagine ton sexe et cela me fait chaud partout. Je m'imagine que tu me demandes de te sucer. Tu sais que j'adore cela ! Te sentir dans ma bouche, tout chaud...C'est si excitant ! Je me demande, par-dedans moi, si dans mes rêves je ne m'imagine pas que tu m'ordonnes de te sucer dans des situations complètement folles ! Cela conjugue le désir de te sentir dans ma bouche à celui d'une situation excitante. Tu vois, tu comprends maintenant que je n'ai pas osé t'en parler de vive voix ce week-end car cela me donne un peu honte... Mais maintenant, loin de toi, je me rends compte que j'ai envie. Et cette envie surpasse la honte que j'ai de te parler crûment de ces choses ! Je suis toute mouillée maintenant que j'ai commencé à t'écrire... Tu ne me trouves pas trop cochonne j'espère ?

    En vérité, je suis sûre que si tu me demandais de te sucer, je le ferais. Je veux dire, n'importe où ! N'importe quand ! Lorsque tu en as envie. Il te suffirait de me dire que tu as envie de ma bouche et je saurais me faire chienne instantanément ! J'ouvrirais ta braguette et je sortirais ta queue, quelles que soient les circonstances et je commencerais à te sucer. Imagine que tu ais envie en arrivant au péage de l'autoroute : Je me mets à te sucer devant la caissière, en passant pour une putain ! Imagine-toi au cinéma ou encore dans le RER comme l'autre jour... Je me demande parfois si je ne suis pas une suceuse de bites ! Rappelle-toi lorsque tu m'as demandé de le faire au livreur de pizza ! J'ai adoré cela. Tu sais que tu as tout mon amour pour toi. Si tu me demandais de redevenir comme avant, je le ferais instantanément. Mais si tu apprécie mes envies, alors ta femme se transforme en putain, en suceuse de queues. Et puis, c'est si bon de te sentir jouir en moi ! J'aime quand tu m'asperges de ton foutre. Lorsque j'en ai plein partout ! Lorsque j'avale tout ton sperme. Ne te caresse pas trop en lisant ma lettre, je veux que tu te réserves pour ton retour ! Ta putain a envie d'être inondée...

    (...)

    Voilà ! J'espère que cela correspond à ce que vous attendiez ! Je me sens maintenant toute chaude. J'espère que cela fera le même effet à Marc ( ?) A bientôt !


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  • Ma Chair inspirée,

    Tout cela est excellent, brillantissime, gigantesque ! Encore une mission que tu as su bonifier comme ta condition de perverse lubrique t'en donne le loisir.

    L'utilisation du SMS pour attirer Marc dans ton « piège » est grandiose. Et quand on songe que tes talents créatifs se doublent de ceux de narrateurs alors là oui, vraiment, tu es parfaite et je remercie le ciel d'avoir pu croiser ta route.

    On peut également féliciter Marc pour sa prestation et surtout avoir eu le cran d'aller vérifier dans les toilettes que tu ne lui racontais pas des histoires.

    Nous n'aurions pas alors pu profiter de ce troublant récit.

    Encore sous le choc, je ne te propose pas vraiment une nouvelle mission pour l'instant mais je réitère ma requête concernant ton abandon à Marc. Plus je te regarde agir et plus je sens que tu vas adorer cette nouvelle condition. De plus, étant ton seigneur et maître, il ne lui est pas besoin d'attendre que tu lui offres ta soumission pour qu'il puisse te demander ce qu'il veut quand il veut.

    Le sujet pourrait simplement être abordé après une pipe comme tu sais si bien les donner, offerte par exemple au moment de l'apéritif du soir. J'ai en effet toujours rêvé qu'une femme me propose à ce moment là, parmi la liste des alcools, une bonne fellation !

    Un Maître.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • Bonjour,

    Et bien c'est fait ! Mais ça ne s'est pas tout à fait passé comme vous l'imaginiez. En vérité, j'avais besoin d'imaginer votre scénario, pour le rendre encore plus excitant dans ma tête. Non pas qu'il ne l'était pas en tant que tel, mais j'avais besoin de le magnifier pour vous prouver comme je suis cochonne. Dimanche, Marc m'a dit qu'il déjeunait avec un de ses collègues le lendemain au restaurant. Je l'ai laissé dire, mais, dans l'après-midi, je lui en ai discrètement reparlé pour lui demander où il déjeunait.

    Lundi midi, je me suis ainsi absentée de mon travail pour aller rejoindre Marc. Bien sur, il n'était au courant de rien. Ca n'a pas été très simple tout de même car, tout en sachant qu'il avait rendez-vous à 13h, il me fallait vérifier qu'il était arrivé avant d'entamer mon idée. Je m'étais placée dans un coin du restaurant assez discret. Lorsque j'ai vu Marc arriver et rejoindre son collègue, je me suis alors éclipsée pour me rendre aux toilettes.

    C'est très excitant de vivre en direct ce genre de choses. Mais je n'étais pas très fière car je voulais aller dans les toilettes pour hommes et j'avais peur de m'y faire surprendre. Heureusement pour moi, tout s'est bien passé à ce niveau.

    Là, je me suis déshabillée. Ou plutôt, j'ai enlevé ma robe longue. Ca aussi, c'est très excitant ! Le fait de se dire qu'une simple porte me séparait des autres hommes. J'étais toute mouillée. J'ai alors commencé à me caresser. Puis j'ai sorti mon téléphone et j'ai commencé à envoyer mon message à Marc. Je l'ai fait en plusieurs fois et cela m'a quand même pris un peu de temps. J'avais peur que Marc n'ait coupé son portable et que mon plan tombe à l'eau.

    « Bonjour mon cœur. Serais-tu fâché si je te disais que ta putain a envie de ta grosse queue ? »

    Je trouvais excitant d'essayer de l'aguicher avec des mots crus.

    «  Je suis dans les toilettes des hommes, à quelques mètres de toi. Je porte ta guêpière rouge seins-nus. Je me branle avec un gode. Mais comme je suis une salope, je ne l'ai pas mis dans ma chatte mais dans mon cul ! »

    Ca aussi c'est excitant : Le gode lubrifié coulissait entre mes fesses et je savais que vous vouliez me voir prendre par derrière.

    « J'ai terriblement envie de ta bite. Viens vite m'enculer. »

    Voilà ! J'ai alors attendu l'arrivée de Marc. Pendant ce temps, je touchais mon petit bouton. J'avais envie de me faire prendre. J'entendais parfois des hommes aller et venir. J'avais un peu peur que cela ne marche pas. Et puis, j'ai entendu la voix de Marc. J'ai alors ouvert le loquet. Je n'en menais pas large car j'avais peur que ce ne soit pas lui ! Dès qu'il est entré, je lui ai offert mes lèvres. J'avais envie de sentir sa langue contre la mienne. Il était hyper excité et le fait d'être nue, habillée en putain, pendant qu'il portait son costume renforçait mon excitation. Je lui ais fait signe de ne pas parler et j'ai sorti sa bite de son pantalon. Je me suis placée accroupie et j'ai commencé à le sucer. J'en avais terriblement envie. Je pense que je suis une vraie suceuse de bites ! Sa queue était trempée de ma salive. Mais je me suis rapidement arrêtée car je ne voulais pas le voir jouir tout de suite ! Je me suis ensuite retournée et, tout en silence, me suis écarté les fesses. Marc était fou. J'ai senti aussitôt son membre me pénétrer doucement. Je sentais la chaleur de son pieu qui peu à peu rentrait dans mon cul. Je tendais les fesses un maximum jusqu'à sentir ses couilles venir buter contre moi. J'ai alors commencé à bouger et j'ai senti sa queue ressortir. Dès que j'arrivais au bout, je changeais de sens pour le sentir me pénétrer à nouveau. J'adore ça ! Je me suis alors penchée vers lui et lui ai demandé tout doucement de jouir sur mes fesses. Je lui ai dit que je voulais être couverte de son foutre ! Lorsque j'ai senti qu'il allait jouir, sa queue est doucement sortie et j'ai senti ses longues giclées. J'étais trempée. Je me suis alors retournée. Je n'avais pas encore joui ! Je lui ai alors parlé tout doucement et j'ai sorti une culotte transparente noire. Je lui ai dit que je voulais conserver un souvenir de notre échange. J'ai alors mis ma culotte en le regardant dans les yeux : « Ca m ‘excite d'être pleine de sperme ! » Marc n'en revenait pas ! Le sperme s'est étalé sur moi et est venu se mêler à ma mouille. J'avais terriblement envie et le fait de chercher à l'exciter encore et surtout de voir sa réaction était vraiment jouissif ! Je me suis alors ré-accroupie et j'ai recommencé à le sucer en me branlant. Mes doigts allaient et venaient dans ce mélange de sperme et de mouille ! C'est finalement ce qui m'a fait jouir.

    Je me suis ensuite rhabillée, j'ai embrassé Marc en lui souhaitant bon courage pour son travail et je suis retournée moi-même travailler. Je dois vous avouer que la sensation a été également excitante lorsque je me suis assise sur mon fauteuil : je me sentais vraiment trempée.

    Voilà un nouveau scénario encore mené à bien ! Quelle cochonne je suis ! A bientôt j'espère.


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  • Ma chair de quai,

    Très jolie image que voilà. Et plus suggestive qu'explicite, comme je les apprécie. J'aime aussi beaucoup le contraste entre l'exhibition et la relative timidité dont tu fais démonstration ici, cachée comme tu l'es derrière une des structures du quai. On pourrait penser que tu craignais d'être découverte; ce qui serait un comble pour une telle exhibition. Cela n'enlève rien à l'action elle-même qui mérite tout notre enthousiasme.

    Je me permets d'ajouter que tu es très à ton avantage dans cette robe sexy qui te sied à ravir. J'abonde donc les commentaires de Marc pour te féliciter du choix de cette tenue qui, il faut bien en convenir, ne supporte pas très bien les dessous.

    Vive les beaux jours qui nous permettent de profiter encore plus, avec ton mari, de tes charmes évidents.

    A très bientôt.Un Maître.


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