• Bonjour,

    Je suis allée à Carrefour hier soir en rentrant. Comme je n'avais eu de réponse de votre part, j'ai supposé que vous acceptiez la variante que je vous proposais. 

    J'ai effectivement choisi quelques vêtements pour cet été dont un chemisier transparent, une mini-jupe et une robe. J'ai également pris un boxer pour homme, puis je suis allée en cabine.

    Là, il m'a fallu commencer à me déshabiller pour enlever ma robe. Je me suis retrouvée en sous-vêtements et en escarpins. Il y avait un grand miroir et, le fait de me voir ainsi dans un magasin plein de monde avait un petit côté plaisant, surtout vu mon état et la séparation avec les gens uniquement avec un rideau léger ! J'ai préféré commencer doucement, histoire de laisser peu à peu monter le désir en moi. 

    J'ai donc commencé mes essais en conservant mes sous-vêtements. L'image que me renvoyait le miroir était assez excitante. Mais je sentais que je commençais à mouiller. C'est fou le pouvoir que l'imagination peut avoir sur mes sens ! Je me suis rapidement sentie toute chaude. J'ai donc retiré le chemisier et j'ai enlevé le soutien-gorge. Je sentais que je faisais quelque chose de cochon et c'est ce petit côté interdit qui me motivait ! 

    J'ai remis le chemisier à même ma peau. L'effet était indécent ! N'importe qui aurait pu voir mes seins ! J'ai alors revêtu la mini-jupe. On aurait dit une salope. J'étais trempée ! J'ai donc retiré mon string. Le manque de relations depuis plus d'une semaine se faisait terriblement sentir. J'avais très envie. Je sentais des picotements partout. J'ai alors ouvert le rideau. Je me suis dit que vous aimeriez ce genre d'initiative. Je suis sortie de la cabine, histoire d'avoir plus de recul pour le miroir... Cela me rendait folle d'être habillée en putain au milieu d'un grand magasin ! Une jupe très courte, un chemisier transparent et mes escarpins. Rien d'autre. La chatte nue (personne ne pouvait le savoir). Les seins nus (personne ne pouvait l'ignorer). Je suis rapidement réentrée dans la cabine car, malgré mon excitation, j'avais tout de même peur. Un délicieux mélange de peur, de honte et d'excitation... Là, je me suis entièrement déshabillée en ne conservant que mes chaussures. J'ai pris tout le temps qu'il fallait pour plier les vêtements essayés. Je cambrais les reins en même temps car cela contribue à m'exciter. J'ai alors pris le boxer et je l'ai passé. Le contact du tissu hyper doux était déjà excitant en soi. Je me suis alors assise sur le tabouret et j'ai tiré dessus de manière à bien le tendre sur ma chatte nue. Comme je suis épilée, la sensation est sublimée. Je ne voulais pas me toucher pour jouir. C'était très excitant, le tissu rentrait dans ma chatte. Je tendais le slip par devant et par derrière et on voyait ma fente à travers comme si je n'avais rien eu. En tirant sur le slip, je lui imprimais des mouvements d'avant en arrière, ce qui étalait ma mouille sur mon clitoris. Le slip était trempé et je sentais que j'allais jouir. J'ai alors eu idée de rentrer mes doigts dans ma chatte au travers du slip. Je peux vous garantir que si le but était de le mouiller, j'ai réussi ma mission ! C'est finalement comme ça que je me suis fait jouir, en même temps que je me regardais dans le miroir. Dès que j'ai repris mes esprits, j'ai de nouveau eu honte de moi et j'ai rangé le slip dans son étui. Si quelqu'un l'a acheté après moi, il aura du mal à comprendre ce qui est arrivé ! Mais je vous garanti qu'il était trempé !


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  • Bonjour,

    Une petite précision en passant : Je ne passe pas le mois de juillet avec Guy ! Nous l'hébergeons jusqu'au 7 juillet avant de partir nous même en vacances.

    Sinon, ... je suis terriblement honteuse de ce que j'ai fait au restaurant ! J'évite le regard de Guy. Je me dis que ma conduite est inadmissible et que jamais je n'aurais du céder ainsi aux désirs de Marc. Il est vraiment pervers et c'est une révélation pour moi.

    J'espère que ma honte va s'estomper mais je ne suis pas au top en ce moment !

    Une dernière précision : Marc ne m'a pas fait l'amour en rentrant vendredi, pas plus que ce week-end d'ailleurs ! Comme je lui en faisais le reproche déguisé dimanche, il m'a répondu qu'il aimait me voir dans cet état de dépendance. Il aime savoir que ma chatte est trempée sans même avoir à me toucher.

    Je vis donc un curieux mélange de honte et d'excitation extrême. Je me demande, du coup, si pour me calmer, je ne vais pas aller faire quelques courses dans un grand magasin, en rentrant du travail. Peut être en passant pas le rayon essayage (?) Si c'est le cas, je préfèrerais un slip d'homme plutôt qu'un pantalon. Je me dis que c'est plus doux pour l'usage que vous voulez que j'en fasse.

    A bientôt.


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  • Ma Chair aspergée,

    Wow ! Quel récit ! Chapeau bas !

    Chapeau bas à toi pour le déroulement parfait de ce repas que tu as su si bien transformer par ton étourdissante obéissance. Te voilà vraiment devenue, comme je l'ai souhaité pour toi, la chienne de ton mari, avide de le satisfaire en tout, affamée de sa jouissance au point de mettre la tienne entre parenthèses.

    L'aveu de cette soumission totale est une victoire, autant pour toi que pour moi. Et que je suis également satisfait de constater que tu goûtes de plus en plus le sperme !

    Chapeau bas à Marc pour sa capacité à t'offrir ainsi à d'autres hommes, à se servir de toi comme l'objet sexuel que tu lui as offert, à s'exciter de te voir ainsi entreprendre la bite d'un autre. Sa perversité, par ton parcours révélée, me permet de vivre des moments terriblement forts que jamais je n'aurais pu imaginer. Lui seul a le pouvoir de t'imposer ce genre du jeu et je le félicite de le faire si savamment.

    Chapeau bas à Guy pour avoir osé sortir sa queue en plein restaurant, même dissimulé au fond d'une alcôve ! Amusant au passage de noter que sa découverte du corps d'une femme passe par sa bouche ! Cela promet un mois de Juillet terriblement chaud... et humide !

    Je ne serai pas dispo malheureusement en même temps que toi puisque je suis aoûtien. Mais j'ai bon espoir de pouvoir « continuer nos jeux » pendant cette période même si ce sera de manière plus espacée. Mais je pense que le mois avec Guy va te fournir suffisamment d'épisodes croustillants pour faire vivre ton blog et combler ainsi tes nombreux admirateurs. Sache ainsi que ta prochaine mission te sera proposée par l'un d'eux.

    A très bientôt.

    Un Maître.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

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  • Bonjour,

    Voici quelques nouvelles de ce week-end : Tout d'abord, Guy est avec nous jusqu'à nos vacances (à partir du 7 juillet). J'en profite d'ailleurs pour vous indiquer que je ne pourrais pas accéder à Internet pendant tout un mois ! Les dates de vos vacances sont-elles arrêtées ? J'espère que vous prenez également juillet de façon à continuer nos jeux dès le mois d'août...

    Sinon Marc m'a appelée vendredi pour nous proposer de le rejoindre sur Paris et aller au restaurant. L'idée m'a semblée séduisante et nous sommes partis avec Guy vers 19h00 pour la capitale. Je portais une jupe mi-longue et un pull léger moulant. Pour la circonstance et pour plaire à Marc, je n'avais pas mis de soutien-gorge. Je me suis aperçue rapidement que ce détail que je pensais juste visible de mon mari semblait attirer les regards des passants que je croisais ! En fait, pour être tout à fait honnête, cela semblait également plaire à mon neveu que j'ai surpris plusieurs fois en train de me regarder ! Cela m'a donné une sensation curieuse et plutôt agréable. Je me suis même dit que cela plairait peut être à Marc... 

    Nous avons rejoins Marc sur le quai. Lorsqu'il m'a embrassée, je me suis sentie toute chaude : Une semaine d'abstinence tout de même ! Nous avons alors rejoint le restaurant pour dîner. J'avais réservé dans ce même restaurant dans lequel les places sont organisées en conservant le maximum d'intimité aux clients : Chaque table est entourée de banquettes sur trois cotés ce qui la mets à l'abri des autres clients. C'est beaucoup plus agréable pour se parler car on n'a pas l'impression que tout le monde écoute votre conversation ! Nous nous sommes ensuite placés, Marc entre Guy et moi. Le repas a débuté et l'ambiance était très détendue. Je sentais toujours cette chaleur dans mon ventre. J'avais envie de Marc. Je savais, à ses regards langoureux qu'il lançait parfois, qu'il avait repéré que j'étais les seins nus et cela me plaisait. J'ai même essayé d'en jouer au cours du repas en cambrant un peu les reins, ce qui faisait ressortir ma poitrine ! En regardant discrètement son pantalon, je devinais qu'il bandait et cela me faisait mouiller de plus belle. Guy est ensuite parti aux toilettes et, pendant son absence, Marc m'a embrassé avec sa langue. J'ai alors osé toucher son sexe à travers son pantalon. Il était tout dur ! Marc m'a avoué qu'il avait vraiment très envie et qu'il ne s'était pas touché de la semaine. Il a rajouté qu'il allait m'asperger dès qu'il en aurait l'occasion... Je lui ai dis que je n'en pouvais plus et que je mourrais d'envie de le sucer. Il m'a fait redire crûment que j'aimais sucer et je ne me suis pas fait prier ! Je lui ai dis que j'étais une suceuse de bites ! Guy est ensuite revenu et nous sommes redevenus sérieux ! Nous avons repris notre repas et j'ai senti qu'il se passait quelque chose chez Marc, comme s'il réfléchissait à quelque chose. Peu de temps après, Marc a proposé à Guy de changer de place avec lui, ce qui lui permettrait d'aller aux toilettes à son tour. Guy s'est prêté de bonne volonté à ce désir de son oncle.

    Guy se trouvait maintenant entre Marc et moi-même. Je faisais alors face à mon mari. Dès que Marc est revenu des toilettes, il a réorienté la conversation sur son stage et nous a dit qu'une semaine, c'était vraiment long, surtout après le message que je lui avais envoyé. J'ai eu un moment de panique et je suis devenue toute rouge. Ce cochon cherchait à m'humilier comme il s'y entend parfois. Bien sur, Guy a posé des questions et devant mon mutisme, Marc a également insisté pour me faire avouer ce dont je lui avais parlé. Je lui ai dit que c'était un message privé. Mais Marc insistait. Je baissais les yeux de honte. Cela me faisait plein de choses en moi. Comme des frissons légers qui montaient de mes cuisses vers mon ventre. Mes seins étaient tout durs et mon pull devenait indécent, ce qui me faisait rougir d'avantage. Alors Marc a commencé en expliquant à Guy que j'aimais être soumise. Que mon plaisir était d'être humiliée. Je sentais que j'étais trempée. Comme avant de jouir, lorsque l'on sent la chaleur prendre peu à peu consistance et se répandre en soi. Marc m'a fait continuer et devant son regard insistant, j'ai du répété devant mon neveu que j'avais proposé à Marc de le satisfaire en tout. Que je lui avais proposé de le sucer quand il le souhaitait. Marc souriait et m'a demandé de lui répéter ce que j'avais dit pendant que Guy s'était absenté aux toilettes. Au moment où, les yeux toujours baissés j'allais m'exécuter, Marc m'a demandé de regardé Guy en parlant. J'ai levé mes yeux implorants d'abord vers Marc et Marc m'a simplement dit que je lui avais promis obéissance totale. Mais sa voix était douce et je sentais beaucoup d'amour dans son regard. J'ai alors tourné mon visage vers mon neveu et je lui ai dit explicitement que j'aimais sucer. Je sentais que j'aurais presque pu jouir de cette situation tellement la tension était forte. Marc m'a alors dit de réutiliser les mêmes mots que j'avais employé avec lui. J'ai avalé ma salive et j'ai alors répété que j'étais une suceuse de bites. En même temps, j'ai senti que je m'abandonnais, que j'acceptais de laisser toute pudeur de côté. J'ai explicitement senti que je devenais la putain de mon mari. Qu'il avait envie de cela ! J'ai donc continué, prise au jeu de Marc, et j'ai rajouté des détails. « J'adore sucer, c'est très excitant de sentir une queue coulisser contre sa langue. » Guy était gêné mais il était bouche-bée de sentir, encore une fois, sa tante s'exprimer si crûment ! En même temps que je parlais, j'avais envie d'exciter Marc un maximum. J'ai alors osé passer ma langue explicitement sur mes lèvres. Mais je l'ai fait en regardant Guy et non pas Marc ! Après coup, je ne sais pas ce qui m'a pris ! Marc était fou de désir et j'ai senti que cela me dopait encore : « J'aime sentir le sperme quand il remplit ma bouche ! » Puis Marc a regardé autour de lui pour s'assurer que personne ne pouvait nous entendre ou nous voir. J'étais déchaînée ! Marc m'a alors proposé de montrer à Guy comment je m'y prenais ! J'étais interloquée et pas certaine d'avoir bien compris. J'ai regardé Marc abasourdie et Marc m'a alors répété : « Tu vas montrer à Guy que tu n'es qu'une chienne ! » Mais il s'agissait de mon neveu et j'avais terriblement peur ! Marc m'a alors dit de regarder Guy dans les yeux. Il me parlait comme si Guy n'était pas là, mais me forçait à faire comme si lui-même n'était pas là ! « Dis-lui que tu aimes sucer » et je répétais alors « j'aime sucer », dis-lui que tu es une salope et je jouais alors le rôle demandé : « Je suis une chienne, j'ai envie ! ». « Dis-lui que tu veux le faire ». J'avalais alors ma salive encore une fois et je me lançais « J'ai envie de ta queue, de la faire coulisser dans ma bouche. J'ai envie de sentir que tu m'inondes. Sois gentil et donne la moi à sucer, j'en ai tellement envie. » Guy était tétanisé, il n'osait pas bouger. J'ai senti Marc regarder encore une fois que tout était normal autour de nous. Je l'ai alors entendu me dire d'y aller. J'étais comme un automate. J'ai tendu la main vers son pantalon. J'ai senti sa bite toute dure. La situation était hyper excitante. Je crois qu'il aurait pu tout me demander. J'ai ouvert sa braguette et j'ai vu sa bite apparaître. Luisante, grosse  et surtout bien dure! Je me suis penchée vers lui et, tout doucement, j'ai fait coulisser mes lèvres sur son pieu. Je descendais le plus loin possible et je remontais en la laissant hors de ma bouche. Puis, je recommençais en plaçant mes lèvres contre. Sa bite était pleine de ma salive, je descendais jusqu'à ses couilles et je remontais. J'allais de plus en plus vite. J'ai senti qu'il jouissait. De longues giclées chaudes me remplissaient. Cela devait être la première fois qu'il se faisait sucer et je vous assure ce cochon me déchargeait toute sa semence. J'ai juste entendu Marc me dire de ne pas avaler. « Garde tout dans ta bouche ! » Je me suis alors replacée et j'ai vu Marc échanger de place avec Guy qui se rajustait. Marc a ouvert son pantalon et j'ai du recommencer avec mon mari. J'ai posé mes lèvres sur son gland et j'ai légèrement ouvert la bouche. Tout le foutre de Guy a commencé à coulé sur sa queue. Je savais que ça l'excitait. J'ai là encore commencé à faire descendre ma bouche sur son pieu, le plus loin possible et remonter. Marc avait les couilles pleines du foutre de Guy. J'adorais cette sensation. J'ai placé mes doigts autour de sa bite et je l'ai branlé en même temps que je continuais mes mouvements d'aller et retour. Là encore j'ai senti son foutre m'asperger et je peux vous garantir que j'ai tout avalé. Il m'a fallu m'y prendre en plusieurs fois mais Marc était tout propre à la fin de ma prestation !

    Voilà, nous sommes rentré chez nous ensuite et j'ai senti un peu de gêne chez Guy. J'espère qu'il ne m'en voudra pas trop !

    A bientôt.


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  • Ma chair,

    Quand je relis ce courriel que tu as adressé à Marc, je ne peux m'empêcher de sentir une douce chaleur de répandre dans mon bas-ventre. Les mots que tu choisis, l'enchaînement des phrases, tout cela concourt à rendre tes sentiments plus intenses pour ton lecteur. On imagine alors aisément les tracas que ce message aura su générer chez Marc. Et quelle chance il a d'avoir ainsi désormais à son entière disposition une chienne lubrique et prête à tout.

    Chose promise, chose due : la mission que je te propose maintenant va te permettre d'apporter une réponse à cette troublante question : que se passe-t-il donc derrière le rideau pudique d'une cabine d'essayage ?

    Je veux pour cela que tu choisisses le magasin d'une grande enseigne de l'habillement. Là, tu flâneras d'abord dans les rayons pour choisir des jupes ou des chemisiers. Profite-z-en pour agrémenter ta garde-robe de vêtements plus près des goûts de ton mari. A ces choix, tu  adjoindras un pantalon d'homme.

    Ensuite, tu te dirigeras vers les cabines d'essayage.

    Une fois masquée, tu devras bien sûr essayer les vêtements. Quand le tour du pantalon d'homme sera venu, il te faudra alors poser ta culotte. Je veux alors que tu te caresses à travers l'étoffe du pantalon jusqu'à la jouissance. Pour améliorer le résultat, n'hésite pas à utiliser un ou plusieurs sex toys. Le but est que tu trempes le pantalon que tu iras ensuite raccrocher comme si de rien n'était. Je te laisse imaginer ce que donnera le contact de ce tissu souillé avec le sexe de l'inconnu qui aura choisi ce pantalon.

    Un Maître.


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