• Bonjour,

    J'ai décidé aujourd'hui de vous mettre en copie du message que j'adresse à Fabrice. Cela vous donnera peut-être quelques idées pour une future mission. Fabrice m'interrogeait sur une description de situations humiliantes !

    Vous m'interrogiez récemment sur ce qui me semble le plus humiliant. J'ai commencé à y réfléchir mais j'ai du mal à y répondre. En fait, je pense que ce qui m'excite, c'est de devoir obéir à un inconnu, d'être sa chose. J'oscille entre des moments où j'ai moins envie que d'autres et là ; j'ai besoin de prendre un peu de distance. C'était un peu le cas avant les vacances. Je ressens de nouveau cette envie d'humiliation de puis quelques jours. C'est comme une chaleur qui monte du fond de moi, qui me titille et me chauffe toute <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la journée. Quand">la journée. Quand</st1:PersonName> je suis dans cet état, je serais prête à n'importe quoi. J'ai besoin de jouir. Mais la jouissance n'est possible que si elle est désirée. J'aime l'état de manque dans lequel je me trouve parfois. J'aime cette chaleur en moi qui m'irradie. Passer de cette épouse sage que j'ai toujours été à ce que je suis maintenant est extrêmement excitant. Mais c'est également générateur de honte pour moi lorsque je prends conscience de ma déchéance. En fait, c'est ce mélange entre le désir et la honte qui me rend folle. Je sens que je deviens une putain. Ce qui est effrayant, c'est de me rendre compte que j'aime cela.

    Vous comprendrez aisément qu'il m'est donc difficile de vous décrire ce qui me semble le plus humiliant. J'ai un penchant pour l'exhibitionnisme. Mais je sens que tout m'excite. Je crois que j'aime montrer que je suis une chienne. Je suis votre chienne perverse. Vous me demandez mes limites. Je ne suis pas sure de les connaître moi-même. Tout dépend du moment et de mon excitation. En ce moment, je suis très excitée. Je me sens prête à tout. Heureusement que vous n'êtes pas en ligne ! Vous m'auriez demandé encore des choses sales et humiliantes ! Et je les aurais faites ! Vous m'auriez demandé de montrer mes seins au stagiaire, peut-être même ma chatte ? Je m'imagine que vous m'auriez fait écarter les cuisses devant lui. Que vous m'auriez demandé de me branler la chatte devant lui. Je m'imagine qu'il aimerait se faire sucer. Peut-être même aimerait-il me sodomiser ? J'imagine sa queue rentrant doucement entre mes fesses. Mais tout ceci n'est que pur fantasme ! J'essaie simplement de vous illustrer mon degré d'excitation.

    Je peux vous dire deux choses sur mes vacances. Il m'a fallu aller à Paris avant de partir. J'étais en pantalon mais je me suis placé le petit vibreur contre la chatte avant de m'y rendre. Je l'ai allumé alors que j'étais dans la rue au milieu de tout le monde et également à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la station RER">la station RER</st1:PersonName> de Châtelet. Je me suis fait jouir devant tout le monde. J'ai adoré cela ! Pendant mon séjour aux sports d'hiver, je me suis mise nue sous ma combinaison de ski et, lors d'une balade en raquettes avec Marc, j'ai ouvert ma combinaison et je me suis masturbée devant lui, pendant qu'il se branlait également.

    Bien sur, j'ai plein de fantasmes dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la tête. J">la tête. J</st1:PersonName>'aimerais être prise par deux hommes à <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la fois. Si">la fois. Si</st1:PersonName> j'osais, je vous avouerais presque quelque chose qui me rend particulièrement honteuse mais qui, du coup, me fait mouiller un maximum. Tous ces fantasmes avec plusieurs hommes restent des fantasmes. Mais parfois, j'ai besoin de jouir. De sentir un vrai sexe. Et comme je suis suffisamment seule parfois, j'imagine des choses. Je vous livre mon secret mais ne me jugez pas mal car cela me rend extrêmement mal à l'aise : j'ai rêvé que mon chien me suçait <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la chatte. Voilà">la chatte. Voilà</st1:PersonName>, c'est dit ! J'ai un labrador et des fois, je me dis que j'essaierais bien !Voici donc le compte-rendu que vous me demandiez. Lorsque vous lirez ces lignes, mon excitation aura peut-être retombée. N'oubliez pas de détruire mon message après lecture car je vais encore avoir extrêmement honte si vous m'en reparlez.

    A bientôt.


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  • Bonjour,

    Quel râleur vous faites ! Je fais ce que je peux, mais j'ai moins de temps en ce moment, c'est tout ! C'est vrai que je me suis prêtée à la nouveauté de la messagerie instantanée mais je ne suis pas vraiment sure de ne pas m'en lasser ! Ne désespérez donc pas de me voir revenir à nos messages « classiques ». Ceci dit, je me suis aperçue que vous vous étiez mis à MSN ! Je vous ai autorisé ce matin à voir lorsque je me connecte. Vous verrez donc peut être que ce n'est pas la même chose.

    J'ai trouvé que le site alt.com était complètement nul ! Les messages y sont navrants et d'un niveau intellectuel plus que bas !

    J'ai accompli votre mission samedi en me rendant au centre commercial. C'est très excitant de déambuler comme si de rien n'était et de se savoir entièrement nue sous son manteau. Marc m'accompagnait. Il ne savait rien. Nous avons cheminés ensemble dans le centre, au milieu de tout le monde, puis nous nous sommes assis sur un banc. Il y avait encore beaucoup de monde (fin des soldes ?). Comme je restais silencieuse, Marc m'a demandé au bout d'un moment si j'étais fatiguée. Je lui ai alors annoncé que j'étais nue sous mon manteau et que j'étais en train de me branler. Marc n'en revenait pas ! Il m'a dit que j'étais une cochonne et que je lui donnais envie. C'était bien le but ! Il m'a embrassée avec sa langue et j'ai joui à ce moment. Vous aviez raison, c'est très excitant.

    Sinon, rien de bien nouveau. Je pense que je me calme un peu, histoire de laisser remonter l'envie. Je n'ai pas vu mon client aujourd'hui.

    Au plaisir d'avoir de vos nouvelles !


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  • Sophie,

    Comme je m'y attendais, pas de nouvelle de ma mission (ou celle des autres) ce vendredi. Je me sens devenir un maître de seconde zone, de ceux à qui il faut quand même nourrir quand tous les autres le sont déjà.

    Il t'appartient ici de décider comment tu vois la suite de notre relation car pour moi, cela me fend le cœur de l'écrire, mais je pense qu'il faut y mettre fin. Je te prie de croire que cela me coûte tant j'étais devenu accro à te rapports de mission. Je ne suis pas sûr de retrouver un jour une femme aussi obéissante mais sûrement jamais une autre narratrice  de ta qualité. Tu m'as habitué au luxe. Comment saurai-je jamais retrouver l'excitation qui me prenait à ta lecture ?

    Mais continuer comme cela me frustre et plutôt deux fois qu'une. D'abord parce que je constate qu'il devient inutile  que je te propose de nouvelles missions mais également car je n'ai même pas le plaisir de partager tes expériences avec les autres.

    Avant de dire adieu, je veux te féliciter pour ce que tu es devenue : Une femme libre et qui sait maintenant obtenir ce qu'elle veut. Tu auras été pendant ces deux mois qui nous ont unis concrétiser certains de mes fantasmes les plus refoulés et je ne t'en remercierai jamais assez.

    Voilà qui est dit. Il ne me reste plus qu'à te souhaiter maintenant tout le bonheur possible avec tes nouveaux amis et que je serai toujours ravi de te lire.

    A toi de décider.

    Hasta la Vista, Sophie.

    Duncan.


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  • Sophie,
    Je suis ravi d'avoir enfin trouver ce message dans ma boîte aux lettres. Ravi mais juste un peu déçu car je n'y ai pas trouvé les réponses à mes interrogations de dimanche.
    En tous cas, content de constater que tout s'est bien passé avec ton nouveau maître. Il est finalement attentionné et se montre exactement comme tu pouvais l'espérer. Qu'il te félicite pour ton obéissance me met du baume au cœur car je ne m'y sens pas totalement étranger ! Qu'il te traite de salope, c'est effectivement ce que tu as réussi à devenir... et je t'en félicite.
    Par contre, mes inquiétudes quant à la messagerie instantanée s'avèrent fondées. Te voilà rendue indisponible pour moi mais à sa botte à lui. J'en  conçois de la jalousie et j'enrage, mais peux-t-on-m'en vouloir ? A quoi lui sert ce média ?
    Arrive-t-il quand même à te faire faire des missions différentes pas ce biais ? Ou a-t-il laissé définitivement tomber le courriel traditionnel ?
    Trouvons donc un arrangement : je me contenterai de nouvelles que deux fois par semaine (le mardi et le vendredi par exemple) même si tu n'as pas eu le temps de réaliser mes missions. Le récit de celles de Fabrice saura me faire patienter.
    A bientôt... vendredi je l'espère.
    Un Maître.

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  • Bonjour,

    Pas de panique, je suis en fait un peu  débordée avec la messagerie instantanée de Fabrice ! Mais j'avais prévu de vous donner des nouvelles aujourd'hui.

    Ma rencontre avec mon client s'est bien passée lundi. Très charmant, aucune allusion à la semaine précédente. J'étais en robe longue classique avec slip et soutien-gorge et j'angoissais pas mal. A la fin, il m'a même invité à déjeuner au restaurant ! Nous sommes allés dans un petit troquet du coin. Une fois assise, il a complètement changé. Il restait toujours charmeur mais ses propos étaient orientés sexe. Il a sorti de sa poche la photo qu'il avait prise l'autre fois et l'a posée sur la table. Puis il m'a rappelé qu'il me tenait. C'est à ce moment là qu'il me l'a dit. Il m'a demandé d'aller aux toilettes, de m'y déshabiller et de revenir nue sous mon imperméable. Je l'ai suppliée de me laisser mais il n'a rien voulu savoir. J'ai donc du m'exécuter. Le plus effrayant a été de voir que j'étais trempée en me déshabillant ! Lorsque j'ai retraversé le restaurant, j'avais l'impression que tout le monde me savait nue. Une fois assise à ma place, il m'a demandé de me caresser discrètement. J'ai du me faire jouir en plein restaurant ! Il m'a dit que j'étais bien obéissante. J'avais très honte ! Et ce salaud en profitait pour me rappeler sans arrêt que j'étais une salope. Il m'humiliait ce qui maintenait mon état d'excitation. Il a laissé la photo sur la table, bien en évidence et le serveur a discrètement pu me voir nue. J'étais cramoisie ! A la fin du repas, il m'a autorisée à aller me rhabiller, puis il m'a dit que nous nous reverrions la semaine prochaine. La seule attention qu'il a eu a été de ne pas me demander de lui montrer que j'étais nue ! Lorsque je l'ai quitté, j'étais de nouveau trempée.

    Voilà les dernières nouvelles. Je vous tiens au courant, même si c'est un peu épisodique.


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