• Notre esclave,
    Quel pervers ce Marc ! Suite à tes révélations de le dernière fois, j'avais moi-même pensé à une mission équivalente où il devait t'offrir à Olivier en précisant que tu étais son objet et entièrement à ses ordres. Puis, je me suis dit qu'il valait mieux que cela vienne de Marc s'il était vraiment disposé à le faire. Je n'ai pas eu tort donc !
    Je suis étonné toutefois qu'il n'ait pris nulle part à l'action. Un voyeur, et il l'est, ne perd jamais une occasion de se rincer l'œil. Je suis certain que ton récit lui a fait regretter de ne pas avoir pu se libérer.
    Et Bravo aussi à Olivier pour avoir fait preuve de retenue. Cela laisse une porte ouverte pour la prochaine rencontre et assure l'intérêt de la poursuite de vos relations à trois.
    Ton beau ténébreux ne peut pas être insensible à tes charmes surtout si tu les lui révèles de cette manière. Son regard sur ton corps devrait éveiller en toi ce désir que tu portes maintenant à fleur de peau. J'espère qu'en ces circonstances, tu t'es bien munie de tes accessoires pour réaliser la mission que je t'aie précédemment confiée. Ca va être chaud !
    Un Maître.

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  • Bonjour,

    J'étais en RTT vendredi et Marc m'a téléphoné dans la matinée pour me demander un service : Il avait oublié un courrier important sur son secrétaire et me demandait si je pouvais aller le porter moi-même à son destinataire, les délais de La Poste ne lui permettant plus d'être reçu à temps.

    J'en profitais pour lui demander s'il saurait se faire câlin avec moi si j'acceptais. Il me précisa qu'il m'adorait et qu'il avait envie de moi. Il n'en fallait pas plus pour que j'accepte. J'étais ravie. Je m'imaginais déjà faisant l'amour avec lui en rentrant de son travail. J'étais toute humide.

    En raccrochant, je m'habillais de façon conventionnelle, en choisissant une jolie jupe achetée il y a peu de temps ainsi qu'un chemisier blanc. Je complétais par un slip, un soutien-gorge et des escarpins blancs.

    Je me rendais à l'adresse indiquée sur l'enveloppe dans le 11ème arrondissement. Je devais déposer le pli au nom de M. Rimon. L'immeuble était plutôt luxueux mais la porte avait un code d'accès qui m'empêchait de déposer le courrier. Je pestais intérieurement contre Marc qui ne m'avait rien dit puis, je me ravisais en pensant qu'il n'en savait sans doute rien lui-même. J'appuyais donc sur l'interphone et après m'être présentée, M. Rimon me gratifia d'un « Bonjour Sophie ! » enjôleur : Il s'agissait en fait d'Olivier, son collègue non-voyant avec lequel j'avais dansé il y a quelques temps et qui, aux dires de Marc, était en congé aujourd'hui. Avant que je n'ai pu répondre, il m'indiqua que son appartement était le n°102 au 1er étage.

    J'avais vraiment une raison cette fois-ci de pester contre Marc qui ne m'avait par prévenu du destinataire ! Je ne souhaitais pas le revoir après ce qui s'était passé. Puis, je me dis que Marc m'avait sans doute épargné ce détail pour que j'accepte quand même de me déplacer. Ce courrier était stratégique m'avait-il précisé.

    Olivier me fit entrer dans son appartement. Il semblait content de me revoir. J'étais rouge de honte pour ma part, mais il ne pouvait bien entendu s'en apercevoir !

    Il me proposa un apéritif et me remercia chaleureusement d'avoir fait ce voyage pour lui remettre le courrier. Pendant notre conversation, j'essayais de ne pas penser à ce qui s'était passé. Ce fut difficile : Cet homme m'avait fait dansé nue contre lui et m'avais embrassé. Bien évidemment, ces souvenirs que je tentais de chasser de mon esprit, faisaient monter une douce chaleur dans mon bas-ventre. Mais Olivier était attentionné et sans aucune allusion à notre rencontre passée. Il était très gentleman et je l'en remerciais intérieurement. La conversation prit un tour charmant. Nous étions très détendus l'un l'autre, l'alcool devait faciliter un peu les choses. J'allais prendre congé lorsqu'il me demanda le service de lui lire le courrier. J'acceptais de bon cœur de le dépanner.

    « Mon cher Olivier,

    J'espère que vous accepterez ce modeste présent que je vous fais. Je reste très occupé ces derniers temps et je délaisse un peu Sophie... »

    Je sus à ce moment là, avant même d'aller plus loin, que toute cette histoire n'était qu'un stratagème de mon mari. Je m'étais fait avoir par mon mari qui avait monté ce nouveau scénario pour m'humilier.

    Olivier me demanda doucement de continuer. J'avais honte de moi. Je continuais doucement.

    « Vous connaissez bien sûr les penchants pervers de mon épouse ! » Ma voix était presque inaudible, submergée de honte. Marc poussait le vice jusqu'à me faire prononcer moi-même devant cet homme des choses intimes.

    « Voilà plusieurs jours que nous n'avons pas fait l'amour. Sophie se masturbe régulièrement. Elle utilise de nombreux godemichés, tous plus gros les uns que les autres. Son plus grand plaisir est de se caresser pendant qu'elle se sodomise avec l'un d'eux. »

    Ma chatte dégoulinait malgré moi, ce salaud révélait mon intimité devant son collègue.

    « J'ai décidé de lui changer les idées. Emmenez-la au restaurant ce midi. Sophie est très dévouée vous le savez. Elle aime les sensations fortes. Elle aime être chienne. Ce midi elle sera votre jouet, pour votre plus grand plaisir... et le sien. » Je terminais avec une voix quasi inaudible. Au bas de la lettre, un Post-scriptum que je lus à voix haute précisait :

    « Sophie, il faut explicitement préciser à Olivier que tu acceptes de ton plein gré cette sortie. »

    Je n'osais lever les yeux sur Olivier, mortifiée.

    Olivier attendit patiemment puis m'indiqua que rien ne m'obligeait à accepter quoi que ce soit. Ce furent ces mots qui me décidèrent. Je prononçais alors distinctement :

    « Mon mari veut faire de moi une traînée et malgré ma honte je suis toute mouillée. J'accepte de vous être entièrement soumise. Je suis votre chienne. J'ai besoin de jouir. »

    Olivier me demanda alors comment j'étais habillée. Je le lui décris précisément. Il me dit que cela changeait de la fois précédente, ce qui me fit rougir encore une fois. Nous sommes ensuite partis pour un restaurant. Il était assez tard et la salle était quasi déserte. Le garçon nous apporta la carte et nous avons commandé.

    Olivier me demanda ensuite très simplement d'aller ôter mon soutien-gorge aux toilettes et de revenir les seins nus sous mon chemiser. J'eus beau lui expliquer que le chemisier était blanc et que tout le monde s'apercevrait de ma nudité, il maintient sa demande. J'avais chaud, non par la température ambiante mais par le désir qui me rongeait. J'acceptais de m'exécuter. Je n'osais pas regarder autour de moi en revenant m'asseoir.

    « C'est fait. Mes seins sont libres sous mon chemisier. J'ai honte. »

    Olivier tendis alors la main vers ma poitrine et palpa mes seins à travers l'étoffe blanche. Il sembla apprécier. Nous avons ensuite continué notre conversation comme si de rien n'était. Olivier était assis en face de moi.

    « Etes-vous aussi obéissante que vous le dites ? » Me demanda-t-il tout à trac ? Je lui rappelais ce que je venais de faire pour lui.

    « Votre mari a bien dit que vous m'étiez entièrement soumise ? » Je lui rappelais que c'était ce qui était écrit sur la lettre, mais je n'en menais par large intérieurement.

    « Etes-vous mouillée ? » Je lui répondis que j'étais trempée.

    Olivier me demanda ensuite de lui donner mon slip. Je fis glisser l'étoffe et lui tendis.

    « J'aimerais maintenant que vous remontiez votre jupe. Entièrement. Personne ne pourra vous voir compte-tenu de la situation des locaux. Et je sais que vous en avez envie. » Cet homme était monstrueux. Il exploitait mes vices avec beaucoup d'habileté. Je fis glisser ma jupe. Ma chatte mouilla alors le banc en sky. Il me demanda simplement d'écarter les cuisses, puis de d'écrire avec précision ce que je ressentais. Je lui avouais avec franchise qu'il me semblait vivre dans un rêve. Je n'étais qu'une poupée entre ses mains. J'étais dans un état indescriptible, comme si la jouissance était là, tout près de m'anéantir. Mais elle était par ailleurs contenue. Comme si j'étais à la limite de jouir, dans un état second. Je lui avouais enfin que je frottais doucement ma chatte lisse contre le banc et que celui-ci était trempée par ma mouille. J'employais ces mots crus, moi d'ordinaire si sage. Olivier semblait apprécier. Il me dit qu'il apprécierait de me revoir, si Marc m'y autorisait. Je ne répondis pas mais au fond de moi, je le souhaitais ardemment. Cet homme me faisait vivre des choses intenses.

    Il ne me toucha pas. Il ne m'ordonna rien de plus. Il me laissa dans l'état indescriptible où je me trouvais. A la fin du repas, il m'autorisa à me rhabiller, paya et me quitta devant le restaurant en me remerciant chaleureusement. Je rentrais frustrée à la maison.

    Marc ne me fit pas l'amour. Il exigea simplement que je lui décrive chaque instant passé, chaque parole échangée, chaque émotion ressentie.

    Autant vous dire que je ressens vraiment l'envie de jouir à chaque instant. Marc le sait. Il fait monter l'émotion en moi !

    Ce matin, j'ai rendez-vous avec mon client charmeur. Je suis en jupe mi-longue et en chemisier. J'ai un porte-jarretelles et des bas noirs dessous. Je n'ai rien d'autre : je suis les seins et les fesses nus. C'est la mission de Fabrice. Je ne sais pas encore s'il aura le même regard que la fois dernière où j'étais en pantalon. Je vous raconterai.


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  • Bonjour,

    Pas de panique, je suis débordée !

    Je vous écris dès que j'ai une minute...

    Je vous confirme que la soirée de l'autre jour est bien une de mes idées. Fabrice n'y est pour rien (mais c'est le type de scénario qui lui ressemble !)

    Juste une chose : plutôt que de vous confondre en excuses, réfléchissez plutôt à de nouvelles idées. C'est par ce biais là que vous saurez regagner une correspondance qui s'émousse ! (Mais encore une fois, ce n'était pas le cas).

    A bientôt.


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  • Sophie ?
    Plus de nouvelle depuis mardi et je m'inquiète d'avoir fait une énorme bourde mettant ainsi fin à des échanges qui étaient devenus une drogue pour moi. La désaccoutumance risque d'être longue mais c'est de bonne guerre.
    Si je n'ai pas de réponse, même succincte, à ce mail, je m'en retournerai alors vers d'autres horizons non sans te souhaiter tout le bonheur du monde dans ta vie professionnelle que dans ta famille.
    Merci pour tout.
    Un Maître.


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  • Sophie,
    Plus j'y pense et plus j'ai honte d'avoir mis en doute ta prestation lors de ta soirée chez Sylvain. Mais j'ai envoyé le mail trop vite pour rattraper ma muflerie. Je te présente ici mes plus plates excuses et j'implore ton indulgence.
    A bientôt j'espère.
    Un Maître.


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