• Bonjour,

    Aux petits cochons qui m'interrogent pour comprendre pourquoi j'ai les cheveux bouclés sur ma photo de présentation et les cheveux lisses dans mon récit du 12/03 (http://www.blogg.org/blog-57501-billet-sophie___12_03_2007-554831.html), je réponds que la photo de présentation est plus ancienne !

    Je me suis amusée à m'auto-photographier plus récemment, mais de dos !

    Vous pouvez constater maintenant que j'ai bien les cheveux lisses (et toujours la même robe) !

    Ceci dit, je pense que ce ne sont pas mes cheveux que vous êtes en train de regarder !

    Bande de petits vicieux, c'est pas bientôt fini de se rincer l'oeil ?


    2 commentaires
  • Ma Chienne,
    Je suis allé jeter un oeil sur ton blog où j'ai pu profiter de l'agréable vision de ta photo de présentation qui ne laisse aucun doute sur la beauté du corps que tu offres à mes perversions. Cela ne peut que me rendre plus assidu encore à nos rendez-vous pervers.
    Pour la réalisation de la mission, je ne peux que te féliciter chaudement. Et ajouter que : Non, tu n'es pas une putain (elle, elle se fait payer pour cela) mais en revanche, tu es assurément une authentique lubrique et, qui plus est, terriblement vicieuse. En résumé, ce que l'on appelle une salope ! Et si ces événements resteront gravés à jamais dans ta mémoire, je ne pense pas que tu seras la seule. Guy me semble avoir été très touché par tes attentions et je pense que, la prochaine fois, il te faudra lui montrer ce qu'une tante soumise peut apprendre à son neveu nubile.
    J'abonde le compliment de Diablotin, c'est effectivement un vrai plaisir de lire les récits que tu élabores de tes missions. Je ne m'en lasse pas. D'ailleurs, la prochaine  mission, si l'on peut la traiter ainsi, va exploiter tes talents de narratrice.
    J'aimerais en effet que tu écrives une petite nouvelle érotique. L'idée est que cette prose devra être réalisée lors de tes passages à ton bureau et te mettra en scène avec un (ou plusieurs) de tes collègues. Si ta production est aussi chaude que tes « rapports » de mission,  je pense que tu devrais être bien excitée. Je veux alors que tu ajoutes à ton texte, en aparté, quelques mots sur ce que tu ressens, si tu te caresses ou plus. Cette « mission » te prendra peut-être un peu plus de temps à réaliser mais je suis impatient de te lire... et ceux qui lisent ton blog aussi.
    Un Maître.

    votre commentaire
  • Bonjour,

    Tout d'abord, j'ai fini par effectivement publier notre correspondance sur mon blog : l'adresse est http://sophie69.blogg.org/. Ca a un côté très excitant de savoir que d'autres vous pouvoir lire nos échanges !

    Votre mission était difficile et vous aller rapidement comprendre pourquoi : Nous avions prévu de nous rendre au cinéma vendredi soir mais j'ai eu un appel de mon neveu Guy dans la journée de vendredi qui me demandait s'il pouvait passer le week-end avec nous. Comme cela faisait longtemps que nous ne l'avions pas vu, je n'ai pas pu refuser. J'ai appelé Marc au téléphone et nous avons annulé notre soirée.

    Lorsque, samedi, nous avons parlé avec Guy, il a été désolé d'apprendre que nous avions changé nos plans pour lui être agréable. Nous avons ainsi convenu d'aller au cinéma le soir même.

    Bien évidemment, il n'était plus question d'essayer quoique ce soit au niveau de votre scénario ! J'avais donc tiré une croix dessus. Nous avons passé une après-midi charmante. Je n'avais plus les pensées qui me viennent parfois et qui me donnent honte. Je me prenais à redevenir l'épouse attentionnée que j'étais, il y a encore quelques mois !

    Le problème est qu'en approchant de l'heure du départ, j'ai ressenti peu à peu cette chaleur remonter du fond de moi. Comme souvent, après avoir longtemps oscillée entre le bien et le mal je me rendais tout à coup compte que le mal reprenait possession de moi ! Je sentais bientôt l'envie me dominer et anéantir toutes les bonnes résolutions que je venais de prendre. Pire, je commençais à m'imaginer des scénarii où mon neveu prenait sa place. Je me surpris alors à rougir toute seule.

    Nous avons fini par partir à Paris. Marc a conduit pendant que Guy et moi étions à l'arrière. Heureusement que Marc parlait beaucoup car j'étais un peu crispée. Je me demandais, par-dedans moi, dans quelle débauche j'allais encore tomber. Je sentais l'envie remonter très fort, comme si elle avait été trop longtemps contenue. Comme si vos perversions étaient en train de me révéler comme je suis réellement ! Je me disais, par-dedans moi, que je pourrais essayer votre scénario sur Guy ! Que cela pourrait être lui ce voisin inconnu à coté duquel vous me demandiez ces perversions ? Je m'imaginais même aller plus loin que vous ne me l'aviez demandé ! J'avais envie d'exciter mon neveu un maximum ! Peut-être même d'oser le toucher comme vous me le suggériez. Mais je m'imaginais allant encore plus loin, et lui touchant la queue ! Ce début de voyage a été plus qu'éprouvant. Je luttais intérieurement. De façon à cesser d'osciller entre les alternatives que j'imaginais, j'ai alors décidé de faire un pari : Soit Marc se plaçait au milieu de Guy et de moi-même, et je passais une soirée normale soit, il me plaçait entre Guy et lui-même et je devenais une putain. Dès que j'ai eu posé concrètement ces règles, je me suis sentie mieux. En fait, je venais de laisser reposer ce choix, non plus sur moi mais sur un événement extérieur ! J'étais alors libérée !

    Mais je me suis alors rendu compte que j'étais toute chaude une nouvelle fois. En fait j'étais effrayée de mon raisonnement et plus encore de l'envie d'être placée entre eux !

    J'étais alors assise derrière Marc, Guy à mon coté droit. J'avais conservé ma robe longue de cet après-midi sous laquelle je portais un porte-jarretelles et une culotte. J'ai alors relevé ma robe doucement en regardant Guy qui parlait avec Marc. J'étais méconnaissable. La situation était hyper excitante. Marc ne pouvait rien voir. Guy voyait tout et devenait tout rouge. Mais il avait compris ma ruse et continuait de parler comme si de rien n'était. Je lui ai montré mes cuisses au-dessus de mes bas, puis j'ai discrètement enlevé ma culotte et l'ai mise dans ma poche. J'ai alors rabaissé ma robe. Guy me savait maintenant nue dessous. J'étais trempée !

    Nous nous sommes garés à proximité d'un cinéma et nous nous y sommes rendus. Marc me tenait par le bras, Guy marchant un peu plus loin. Marc m'a susurré à l'oreille que j'aurais pu m'habiller plus court après ce qu'il avait vu l'autre jour. Excitée par mes pensées, je lui ai alors dit que je ferai des efforts à l'avenir puisqu'il semblait apprécier. Il était aux anges. Je lui précisais que je lui ferai peut-être une surprise s'il était sage ! Il me regarda alors amoureusement et m'embrassa dans le cou.

    Une fois les places payées, nous nous sommes dirigés vers nos places. Mon cœur battait à tout rompre. Ma réputation et mon avenir allaient en quelque sorte se décider maintenant. La tension était extrême. J'étais rongée par le désir et la honte. Mais je ne savais pas si c'était la peur de la débauche ou celle de ne pas être placée entre mes deux hommes. Marc a alors proposé à Guy de se mettre plutôt au fond de la salle. Je pense qu'il espérait qu'en étant un peu à l'abri des autres, il aurait sa surprise. Puis Guy est passé le premier en s'engageant dans l'allée. Marc allait s'engager à son tour et le temps d'une seconde, j'ai ressenti une immense déception. Puis il m'a proposé de passer devant lui. J'ai ressenti un grand soulagement et j'ai su, à ce moment là, que je n'étais qu'une putain. En fait, j'allais devenir la putain de mon neveu et cela me mettait dans un état second. J'ai placé mon pull sur mes jambes et la séance à débuté.

    J'ai laissé passer la publicité, puis une bonne demi-heure du film. Marc semblait scotché à l'écran. Je me suis discrètement penchée vers Guy. Il a alors approché son oreille de ma bouche. « Place discrètement ton blouson sur ton pantalon et dégrafe-le ensuite. » J'ai alors senti que sa respiration s'accélérait. Je me suis repenchée vers lui et, toujours très discrètement, lui ai dit : « Sors ta bite. » J'ai ensuite laissé passer cinq minutes. Je pouvais encore changer d'avis à ce moment là. Je pouvais encore renoncer à la débauche que vous me proposiez et que j'avais encore rendu plus perverse. Mais mon corps réclamait cette perversion, j'avais besoin de m'avilir pour vous. J'ai alors tendu ma main sous son blouson et j'ai pris son sexe dans ma main. Il était chaud et doux. Je fondais. J'étais fière de réussir ce défi. Ma main a coulissé sur sa queue. Il a presque joui tout de suite. C'était sans doute sa première fois. Il n'en finissait pas de gicler et ma main était pleine de son jus.

    J'ai alors passé ma main sous le pull qui couvrait mes jambes et j'ai réussi, tant bien que mal, à remonter discrètement ma robe sans m'en mettre partout. J'ai un peu écarté les cuisses et j'ai étalé son sperme sur la chatte toute lisse. J'en étais trempée. Je ne savais plus si c'était son foutre chaud ou bien ma mouille. J'allais jouir quand j'ai tenté une variante pour vous monter à quel point je peux devenir cochonne lorsque je suis excitée.

    Je me suis discrètement penchée vers Marc et lui ai demandé s'il avait été sage. Il m'a fixé avec un sourire. Je me suis de nouveau approchée de son oreille et lui ai dit : « Ce n'est pas un collant que je porte mais un porte-jarretelles ». Marc était aux anges ! Puis j'ai continué à vouloir l'exciter : « Je n'ai pas de culotte sous ma robe. » Je sentais sa respiration s'accélérer. Il m'a alors traité de salope mais j'ai su que c'était un compliment de sa part. J'ai alors continué et lui ai demandé de discrètement vérifier par lui-même en passant sa main sous mon pull. Il semblait inquiet pour Guy mais je l'ai rassuré en lui disant que mon pull cachait tout et que Guy était passionné par le film. J'ai alors senti sa main contre ma chatte humide et chaude. Ses doigts touchaient mon bouton et me faisaient vibrer. La sensation était extrême. Je le laissais faire un moment et je me penchais alors vers Guy en lui disant : « Marc me branle la chatte avec ton sperme. » Puis, je dis à Marc de me faire jouir doucement. Je ne dois pas vous cacher que je n'ai pas vu grand-chose du film ! Par contre ce souvenir restera gravé longtemps dans ma tête.
     

    2 commentaires
  • Ma Chair Lubrique,

    Quelle vicieuse  perverse ! Excellente idée d'emmener Marc, cela ajoute beaucoup piment et j'apprécie que tu fasses participer à nos petits jeux. D'autant que, dans un sens, son voyeurisme s'accorde très bien avec ma contribution personnelle à ces scenarii.  Je suis également ravi que ce genre de petites escapades l'amène à te faire l'amour comme une bête. En revanche, la prochaine fois, n'attendez plus de rentrer chez vous ! Dis-lui que tu n'en peux plus d'attendre et entraîne-le vers les toilettes, tu ne pourras que t'en féliciter.

    J'arrive peut-être trop tard mais ta prochaine mission devait justement se passer  au cinéma. Peut-être peux-tu l'adapter pour votre sortie ou la réaliser plus tard ? Je sais que c'est devenu un grand classique mais je veux que, cette fois-ci, tu choisisses un film de grande audience (Lady Chaterley ?) afin que tu puisses trouver, sans éveiller son attention, une place tout près d'un autre spectateur. Pendant la séance, tu iras aux toilettes pour te déshabiller (Oseras-tu aller jusqu'à utiliser un plug ?), tu reviendras t'asseoir près de ton voisin et tu te caresseras. Le must serait qu'une fois la jouissance obtenue, tu puisses toucher, accidentellement (par exemple en lui contestant l'accoudoir), la main de ton voisin avec celle qui t'auras servi à jouir et désormais humide de tes fluides.

    A bientôt.

    Un Maître.

    votre commentaire
  • Bonjour,

    Et merci de vos compliments car il m'a fallu pas mal de courage pour y parvenir ! Lorsque, moi aussi, je regarde cette photo, je trouve que je suis vraiment une salope ! Et vous avez encore une fois raison, j'étais pleine de mouille.
    Pour le blog, Marc va très rarement sur Internet et je pense être à l'abri de ce genre de déconvenue. Je vous tiendrais au courant. Sinon, voici le compte-rendu de ma soirée d'hier :

    Nous étions convenus avec Marc de nous retrouver au centre commercial pour faire quelques courses. J'en ai profité pour mettre à profit cette sortie avec votre mission. J'avais mis une jupe courte et une paire de bas noirs. Bien évidemment, Marc n'était au courant de rien ! Nous avons d'abord déambulé dans le magasin puis, je me suis souvenu que j'avais une paire de chaussures à acheter. J'ai donc proposé à Marc de venir me donner son avis. Nous sommes entrés dans le magasin et sommes allés au rayon des escarpins. Je me suis assise pour en essayer une paire, Marc restant debout. En m'asseyant, ma jupe est un peu remontée et la lisière de mes bas est apparue. J'ai tout de suite vu que je lui faisais de l'effet. Marc était radieux ! Il n'y avait pas grand monde et je l'ai traité de cochon. Comme les chaussures ne me plaisaient pas plus que cela, nous sommes alors sortis du magasin. Marc s'était un peu échauffé et il m'a embrassé dans le cou. Je lui ai alors dit que je le trouvais bien excité ! Il m'a confié qu'il adorait voir mon corps offert.

    Nous sommes ensuite rentrés dans un autre magasin et j'ai recommencé le même scénario. Mais comme il y avait des bancs un peu partout, je lui ai demandé de s'asseoir en face de moi. Il a tout de suite compris l'allusion. Là, j'ai ouvert légèrement mes cuisses en serrant la lanière des chaussures. Ce cochon en a profité pour regarder et a rougit ! Je savais, à ce moment là, qu'il avait vu que je ne portais rien sous ma jupe. Je l'ai regardé en passant ma langue sur mes lèvres. Marc n'en pouvait plus ! En sortant du magasin, Marc était surexcité. Je lui ai demandé s'il aimait que je m'exhibe et il m'a dit qu'il adorait cela ! Je lui ai demandé si c'était le fait de voir ou le fait que je lui montre. Il m'a alors dit que l'un allait avec l'autre. J'ai acquiescé puis nous avons continué notre chemin. A ce moment, j'avais envie d'être plus explicite, mais je n'osais pas lui poser la question. J'avais pourtant envie de l'exciter un maximum. Marc continuait à m'embrasser dans le cou lorsque nous nous arrêtions devant la devanture d'un magasin. Cela m'a un peu enhardit et je lui ai dit que ce n'était pas tout à fait lié. Comme il était interrogatif je lui ai précisé que d'autres que lui auraient pu voir et que ce n'était donc pas forcément lié. Bien évidemment, j'étais devenue toute rouge en lui disant ! Marc était comme fou. Il m'a traité de cochonne et j'ai clairement vu que je l'excitais énormément. Je lui ai alors reposé la question en lui demandant ce qui l'excitait le plus entre le fait que lui me voit ou celui que je m'exhibe. Il m'a alors serré contre lui en m'embrassant avec sa langue, puis il m'a demandé si je serais prête à m'exhiber pour lui. J'ai mis ma bouche contre son oreille et je lui ai dit que j'étais sa putain et que j'étais prête à toutes ses envies.
    Nous sommes de nouveau entrés dans un magasin de chaussures. J'ai demandé à Marc qu'il aille chercher un vendeur et j'ai  lu de l'envie dans son regard. Il était comme tétanisé, mais il est revenu avec un vendeur assez jeune et je lui ai demandé ma pointure. Lorsqu'il est revenu avec les chaussures, je me suis assise sur le banc. Marc se tenait à l'écart et regardait discrètement. Ma jupe est remontée et j'ai vu que le vendeur rougissait. J'ai alors recommencé ma mise en scène en essayant de lasser mes chaussures et en écartant légèrement les cuisses. Je peux vous garantir qu'il n'en a pas perdu une miette car il est devenu rouge pivoine ! Il a clairement pu voir ma chatte rasée. Marc était au bord de la crise cardiaque ! Du coup, j'ai fini par acheter les escarpins !

    En rentrant chez nous, Marc m'a dit que j'étais une vrai salope et nous avons fait l'amour comme des bêtes !

    J'espère que vous êtes content de ma perversion !

    Ce week-end, nous avons prévu de sortir au cinéma et d'en profiter pour déjeuner au restaurant. Je vous tiens au courant.


    1 commentaire