• Bonjour,

    J'ai reçu le complément d'instruction de Fabrice ce matin. Le message (comme un des précédents d'ailleurs) était en deux parties. J'ai imprimé la deuxième partie sans la lire, ainsi qu'il m'était demandé.  Je devais revêtir ma guêpière rouge seins-nus, puis mes bas coutures. J'ai complété avec des chaussures à talon. Fabrice me demandait également de prendre le vibreur en forme de papillon, tenu par une ceinture élastique. Il s'agit d'un modèle de vibromasseur qui se place sur le clitoris et qui est maintenu attaché à la taille, un peu comme un string.

    « Vous ne le mettrez pas en marche, mais vous l'enduirez de lubrifiant. Vous vous rendrez au supermarché. Vous serez dans cette tenue, simplement protégée de votre manteau. Personne ne saura que vous êtes nue. Vous serez toujours pour les autres la femme respectable que vous avez toujours voulu être. Seuls vous et moi sauront que vous n'êtes qu'une putain à la recherche de sensations fortes. »

    Vous lirez la deuxième partie du message quelques instants avant de passer en caisse. »La suite de mon aventure est indescriptible. Je me suis garé sur le parking du supermarché. J'ai eu du mal à trouver une place car les soldes débutaient. Chacun de mes pas était un délice. Le papillon glissait sur mon clitoris et m'excitait très fort. Je ressentais la délicieuse impression d'être entièrement nue devant les autres. J'ai fait rapidement mes achats, à la limite de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la jouissance. Ce">la jouissance. Ce</st1:PersonName> frottement ainsi que la situation dans laquelle je me trouvais faisait monter un désir très puissant en moi. J'ai lu le deuxième message en faisant la queue, un client se trouvant devant moi.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>« Mettez le vibromasseur en marche. Position maximum. Vous rendez vous compte de votre état de dépendance ? Vous êtes notre jouet. »Je crus défaillir. Fabrice avait vraiment d'impures pensées. J'étais vraiment devenue une putain vicieuse. J'ai mis alors le vibromasseur en marche. Le dernier client venait de payer. Je me suis présentée devant le caissier. J'ai du jouir devant lui, tout en conservant mon allure de femme du monde. Je n'étais en fait qu'une putain prête à tout pour satisfaire les fantasmes de deux inconnus.

    Ma jouissance, loin de me calmer, avait encore augmenté mon plaisir et mon désir. J'ai alors regagné ma voiture.

    Là j'ai suivi vos instructions. Je voulais être une chienne bien obéissante. J'ai fermé les portes à clé. Il y avait beaucoup de voitures. Toutes semblaient désertes.J'ai complètement enlevé mon manteau. Pas seulement ouvert ! En fait, je me suis mise en guêpière seins-nus dans <st1:PersonName w:st="on" ProductID="la voiture. J">la voiture. J</st1:PersonName>'ai enlevé le vibreur. J'avais terriblement envie de jouir encore. Là, j'ai frotté ma chatte sur le levier de vitesses. Je devenais folle. J'avais envie d'être pénétrée. Puis, je me suis enfoncée dessus et je me suis fait jouir. Le plus difficile pour moi est encore de constater la facilité avec laquelle je me suis exécutée. Je me suis branlée sur le levier de vitesses en jouissant plusieurs fois. Je suis vraiment une traînée.

    Alors ma réponse à votre question de savoir quelle serait ma réaction si quelqu'un m'avait vu ? Vous êtes un vicieux de me poser cette question. Vous m'humiliez ! Et c'est sans doute aussi ce que j'aime dans ces échanges ! En fait, vous vous doutez de ma réponse et je pense que vous prenez plaisir à me le faire dire : Et bien je l'avoue, dans l'état dans lequel je me trouvais, je crois que j'aurais continué à me branler. Je perds toute notion des convenances ! Je deviens accro à ces scénarii. Quand je me remémore comment j'étais il y a encore quelques mois et que je vois dans quel état de dépendance je suis maintenant ! Heureusement que Marc semble apprécier lui aussi. S'il savait ce que vous faites de moi !

    Mais pour répondre à votre question, j'aime lui obéir (à lui comme à vous d'ailleurs). Cela doit me déculpabiliser sans doute, en me disant que ce n'est pas moi la vicieuse, mais vous qui me demandez des choses cochonnes ! Mais je crains de lui avouer ce dont j'ai envie. Cela renverserait les rôles. Et puis, je l'aime et je ne veux pas le tromper. Croyez-vous vraiment qu'il aimerait me voir toucher un autre homme ? Cela l'exciterait-t-il de me voir sucer une autre queue ? Prendrait-il plaisir à savoir qu'un autre me pénètre ? Voudrait-il que je me laisse sodomiser ? Vous êtes un méchant vicieux car en vous écrivant, je me sens de nouveau toute humide.


    votre commentaire
  • Mon esclave,

    Je ne peux qu'approuver l'usage régulier des accessoires de  plaisir qui sont maintenant en ta possession et je te propose de les employer également de temps en temps aux toilettes de ton bureau, non ?

    Pour la sodomie, je pensais bien t'en confier la mission un de ces jours mais comme tu devances toujours mes désirs...

    Je reviens à Marc. Il ne s'agit pas du tout de lui faire comprendre que c'est ce que tu désires (est-ce le cas d'ailleurs ?) mais juste de connaître sa position sur ce sujet. Cela ne peut être évoqué qu'au cours d'une discussion que vous pourriez avoir au sujet du sexe ou des fantasmes de chacun. Il n'y a aucun caractère obligatoire à cette requête.

    @ Vendredi.

    Un maître.

    votre commentaire
  • Bonjour,

    Je re précise juste, après vous avoir lu, que les autres clients du restaurant n'ont rien vu de la petite scène du verre d'eau. C'est la configuration des lieux (avec ce banc en forme de U nous isolant les uns des autres, tout en restant très proches physiquement) qui a permis cela ! Maintenant, plusieurs ont remarqué que mes seins étaient nus lorsque je suis revenue des toilettes ! C'est ce qui a participé à ma gêne mais aussi à mon excitation.

    Quant à Fabrice, tout va bien de ce coté là aussi. Il est également fier de moi. Je lui raconte également nos échanges. Il pense à une variante pour votre nouvelle mission. Je pense que vous apprécierez. Je ne vous en dis pas plus dans l'immédiat. Sinon, il me demande d'utiliser régulièrement les godemichés. Je dois avouer que j'apprécie. Je peux simplement vous préciser qu'il m'a ordonné hier d'utiliser celui de gros diamètre. C'est très excitant. J'avais la chatte toute dilatée. Je commence également à essayer derrière avec le normal. Je me demande comment j'ai pu passer à coté pendant tant d'années. En fait, c'est très excitant aussi. Mais je ne dis rien à Marc. Peut-être voudra-t-il me sodomiser un de ces prochains jours ? Je pense que çà lui a fait de l'effet, l'autre jour, de me voir utiliser mes doigts.

    En ce qui concerne son coté voyeur, jamais je n'oserais lui demander. Je le laisse maître de m'utiliser comme il veut, mais je ne veux pas précipiter les choses où lui montrer mes envies de façon trop explicite. Et puis, je ne veux pas le tromper !

    Je vous tiens au courant de la suite.


    votre commentaire
  • Ma chose,

    Effectivement, je peux être content de moi mais je suis surtout content de toi et du brio avec lequel tu t'affranchis de toutes les tâches qui te sont confiées. Lancer des mots crus alors que quelqu'un d'extérieur peut l'entendre, c'est ainsi assumer pleinement ta nouvelle condition de putain. Quant à ta soumission à l'autorité conjugale, elle est admirable d'abnégation. Comment as-tu réussi à montre tes seins en plein restaurant ? Qu'en ont vu les autres clients ? En tous cas, Guy s'en souviendra et je ne serai pas surpris de le voir revenir avec plaisir aux prochaines vacances.

    Je suis quand même un peu marri d'apprendre que tu n'as pas joui tout de suite.

    La situation n'était-elle pas assez excitante ? Remarque que ce n'est pas trop grave car ton envie de jouissance a permis à la soirée de se finir en beauté.

    Au passage, j'ai oublié de précisé, dans la mission que tu devais prendre  les mains de Marc et les poser sur ta tête afin qu'il puisse donner le meilleur rythme à tes mouvements. Ce sera pour une prochaine fois alors.

    Concernant Marc, cela fait maintenant deux fois qu'il préfère te regarder te caresser plutôt que de te toucher mais également qu'il t'offre - quasiment - à un autre homme. Il se comporte vraiment comme un voyeur et je pense définitivement que tu devrais le questionner sur le fait de te regarder faire l'amour. Attention, il ne s'agit pas de le faire mais juste de savoir ce qu'il en pense. Sa réponse te surprendra peut-être.

    Et Fabrice ? As-tu réussi à recoller les morceaux après ton passage au sex-shop ?

    Pour ta prochaine mission, il te faudra une voiture. Tu vas alors te mettre nue sous ton manteau (ou en tous cas pas trop vêtue bien sûr) et emporter avec toi le gode et/ou le plug que tu veux. Tu vas aller garer ta voiture dans le parking d'un gros centre commercial. A toi de choisir la place qui te ressemble le plus : au milieu à la lumière ou dans un coin sombre. Là, tu te feras jouir comme il te siéra, en utilisant ou pas les accessoires mais ouvrant ton manteau le plus possible. Quelle sera ta réaction si quelqu'un s'approche de toi ? Que feras-tu si l'on vient prendre la voiture garée à côté de la tienne ?

    Je suis sur Paris Mercredi et Jeudi donc certainement à Vendredi.

    Un Maître.

    votre commentaire
  • Bonjour,

    Et tout d'abord merci pour cette mission très excitante. Vous avez su trouver mon point faible avec le fait d'être dans un lieu public. Vous y avez rajouté des choses que j'aime maintenant faire. C'était très excitant d'y penser. J'ai donc appelé Marc à réception du message pour lui demander si nous pouvions aller dîner au restaurant. Il terminait son travail et il arrivait. Je m'étais habillée sobrement : Une jupe mi-longue avec un chemisier blanc. Un string et un soutien-gorge blanc assorti. Une paire d'escarpins. Nous allions y aller lorsque Marc a pensé que Guy devait venir avec nous. Il part en fin de week-end et c'est vrai que c'était plus sympathique de l'inviter avec nous. J'ai accepté mais cela compliquait sérieusement mon plan. Voire le compromettait !

    Après nous être garés, Guy est parti devant nous pour trouver le restaurant. J'ai pris le bras de Marc et je lui ai dit que j'avais envie. Il m'a sourit et m'a dit qu'il espérait bien. Je lui ai alors dit que j'aimerais qu'il m'inonde la bouche en guise d'apéritif. Il m'a demandé si j'étais sérieuse et je lui ai dit que nous pourrions nous retrouver aux toilettes rapidement. Il était ravi !

    Le restaurant était mignon. Nous étions assis à une table entourée de banquettes en forme de U ce qui maintenait une certaine intimité entre les clients. Il fallait faire vite si je voulais avoir mon apéritif avant que le serveur n'arrive. Je me suis donc levée et j'ai dit à mes hommes que j'allais aux toilettes. Marc m'y a rejoint au bout d'une minute. J'étais contente. Nous nous sommes embrassés. Je sentais sa langue contre la mienne et je mouillais. Nous avons fermé la porte et j'ai tout de suite sorti sa queue. J'avais envie de la sucer. Je me suis donc placée à genoux et j'ai fait coulisser son pieu entre mes lèvres chaudes. J'allais très loin, comme si je voulais l'avaler entièrement puis, je ressortais et je recommençais. C'est alors que je lui ai dit. En employant des mots crus, destinés à l'exciter un maximum et à maintenir mon état d'excitation. « Je vais me branler la chatte par-dessus mon string et pendant ce temps, tu vas juter dans la bouche de ta putain. » Alors j'ai commencé à me caresser pendant que mon autre main le branlait lui aussi. J'ouvrais la bouche en le regardant dans les yeux. Je lui disais des choses sales pour nous exciter : « Inonde-moi de ton foutre ! », « Fais-moi boire ton sperme ! ». Je peux vous garantir que ce salaud m'en a foutu partout dans la bouche ! Je suivais vos conseils et je le regardais dans les yeux en sortant ma langue. Je lui ai ensuite montré que j'avalais tout et que je me régalais ! Marc était fou. Il ne m'avait jamais vu comme cela et cela lui plaisait. J'étais dans un état d'excitation très forte. Je n'avais pas jouis. Et ma culotte était trempée. C'est là que je lui ai montré : J'ai enlevé mon string et lui ai fait découvrir ma chatte rasée. Il ouvrait des yeux comme des billes. Je me suis demandé s'il n'allait pas me sauter là. J'en avais envie, mais Marc était inquiet que notre absence paraisse louche à Guy qui attendait dans la salle. C'est Marc qui m'a demandé de ne pas remettre ma culotte. Je lui ai alors tendu mon string et il l'a rangé dans sa poche. Mais j'avais encore très envie et il le savait. Il savait qu'il pouvait tout me demander lorsque je suis dans cet état second. Il avait sans doute encore envie de son coté. Il m'a alors regardé dans les yeux et m'a demandé si je lui étais entièrement dévouée comme je lui avais encore promis il y a quelques temps. Je voulais qu'il me baise et je lui ai certifié qu'il pouvait tout obtenir de moi, que j'étais sa putain.  

    « Enlève ton soutien-gorge et rejoins-nous à table ! »

    Le temps que je comprenne sa demande, Marc était sorti. J'étais estomaquée : J'avais un chemisier blanc, qui plus est plutôt moulant et il était évident que n'importe qui verrait que mes seins étaient nus. En plus nous n'étions pas seuls. Guy était à table.

    J'étais partagée entre l'excitation, le désir de tenir ma promesse et l'éducation rigide que j'avais toujours eu et qui me commandait de ne pas lui céder. Qui me rappelait que sa demande était contraire aux bonnes mœurs ! J'étais là aussi comme tétanisée ; prise entre le feu et l'enfer. Mais je ressentais encore cette envie de jouir qui me tiraillait. Je sentais que j'étais les fesses nues et que Marc avait envie. Et puis, je savais Guy très timide et je me doutais que, même s'il s'apercevait de quelque chose, il ne dirait rien. Alors je l'ai fait. J'ai retiré mon soutien-gorge et j'ai remis mon chemisier blanc sur mes seins nus. J'ai placé mon soutien-gorge dans mon sac et je suis sorti des toilettes.

    Je peux vous garantir que j'étais gênée en traversant la salle du restaurant. Je sentais mes seins lourds se balancer et j'imaginais les regards contre moi. Mais je mouillais comme jamais. Ma chatte était trempée et mon clitoris tout gonflé. Mes tétons pointaient sous l'étoffe légère. Marc me regardait arriver. Ce salaud m'exhibait aux yeux de tous et il semblait s'en régaler. Je n'osais pas regarder Guy en m'asseyant. Un serveur est arrivé et a demandé si nous prenions un apéritif. Je me suis prise à rougir. Marc a simplement dit avec sérieux que c'était déjà fait. Je ne savais plus où regarder.

    Le repas était délicieux et agrémenté d'un vin particulièrement délectable. L'ambiance, légèrement tendue du début du repas s'est relâchée. Nous étions très bien. Je me demande si nous n'étions pas légèrement ivres. Guy semblait même avoir un peu perdu de sa timidité et semblait, sans doute du fait du vin, plutôt à l'aise. Je l'ai même aperçu qui lorgnait mes seins au travers de mon chemisier ! Mais la chaleur en moi était toujours présente et c'était plutôt agréable de se sentir désirée. Mais ce feu était en moi, fort comme jamais. Comme si la jouissance était là, prête à exploser. Il me semble que si j'avais pu passer mon doigt sur mon clitoris, je me serais fait jouir instantanément ! J'étais prête à tout pour jouir.

    La conversation de Marc s'est alors peu à peu orientée sexe. Mais de façon subtile, sans sentiment de malaise. Marc avait du remarquer les regards de Guy. Il essayait de le faire parler et Guy, d'ordinaire si rentré, était plutôt volubile. Il a fini par nous expliquer qu'il n'avait jamais eu de relations très suivies et qu'il n'avait embrassé qu'une seule fille. Il en gardait un souvenir ému. Je lui ai dit que c'était normal à quinze ans ! Mais il nous a alors avoué que certains de ces camarades de classe étaient allés beaucoup plus loin et que certains lui avaient avoué regarder les filles par-dessus leurs vestiaires ! Cela fit beaucoup rire Marc qui était persuadé qu'il avait du le faire lui aussi. Mais Guy s'en défendait. Il n'avait jamais vu de fille nue. Marc ne le croyait pas et lui demanda s'il n'en avait pas vu à la plage. Et bien aussi curieux que cela puisse paraître, Guy n'est jamais allé à la plage ! Un vrai puceau ! J'allais lui faire la réflexion lorsque je sentis qu'il en était peiné. J'allais donc changer de conversation lorsque Marc me glissa un regard entendu. Je fus interloquée et je commençais à me demander ce qui germait dans sa tête ; Lorsque Marc me redemanda si j'étais toujours aussi obéissante que je lui avais dit.

    Je n'en revenais pas ! Je commençais à me douter de quelque chose mais il s'agissait de mon neveu. D'un autre coté, je sentais toujours cette chaleur en moi et j'avais envie. Je savais qu'en répondant à Marc maintenant, je m'exposais à m'enfoncer encore dans le vice. Je savais qu'en lui disant oui, ce salaud allait faire encore monter la pression en moi. Qu'il le cherchait ! Qu'il prenait plaisir à m'humilier ! A me faire descendre dans la débauche. Mais, tout en sachant tout cela, je sentais que l'envie était trop forte, que j'avais besoin de cela. Je m'entendis, comme dans un rêve, lui répondre que je lui étais obéissante.

    Marc me demanda alors de prendre mon verre d'eau. Sa demande était tellement hors de propos que je ne la compris pas. Guy était suspendu à ses lèvres. La tension était extrême. Marc fut alors plus explicite. « Prends ton verre d'eau et verse le sur ton chemisier ». J'avalais ma salive et je pris le verre. Je regardais Marc. J'ai alors tourné mes yeux vers Guy qui était bouche bée. Et j'ai renversé le verre sur mon chemisier blanc. Je savais qu'en faisant ce geste je devenais une putain pour mon neveu et mon mari. Mais j'avais tellement envie. Mes seins sont apparus comme si j'avais ouvert entièrement le chemisier. J'entendis alors Marc dire à Guy que maintenant, il ne pourrait plus prétendre ne pas avoir vu de seins de femmes. Notre repas était terminé.

    Nous allions nous lever lorsque Marc à sorti un mouchoir de sa poche et l'a donné à Guy pour qu'il me le passe. Lorsque Marc me dit de ne pas oublier ma culotte, je compris qu'il s'agissait de mon string ! Je suis encore devenue toute rouge. Ce salaud venait d'avouer à Guy que j'étais les fesses nues sous ma jupe ! J'ai alors rangé précipitamment mon string dans mon sac et nous sommes rentrés. J'étais très gênée pendant le voyage.

    Une fois à la maison et seuls dans notre chambre, j'ai supplié Marc de me baiser comme une salope. Mais ce salaud n'a pas voulu. Il m'a fait placer à quatre pattes sur le lit et il m'a demandé de tendre les fesses. Je savais qu'il se rinçait l'œil de voir ma chatte et mon anus entièrement rasés. Puis il m'a demandé de me branler. Je savais qu'en touchant mon clitoris, je jouirais instantanément. J'ai alors enfoncé deux doigts dans ma chatte humide. Puis, je les ai remontés contre mon anus et j'ai poussé. Marc a alors vu que je me sodomisais. Cela a réussit à me faire jouir aussitôt. En me retournant, j'ai vu que Marc s'était branlé pendant que je m'étais caressée. J'ai simplement pris son sexe dans ma bouche pour récupérer un peu de son sperme. Puis nous nous sommes endormis.

    J'espère que vous êtes content de vous !


    1 commentaire