• Bonjour,

    J'ai eu mon responsable hier au téléphone !

    Il s'est entretenu avec mon ex client. Je ne pense pas qu'ils aient échangé sur la photo mais il n'est pas question que j'abandonne cette mission ! Mon client a insisté auprès de mon responsable pour que ce soit moi qui suive.

    Me voilà revenue au point de départ.


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  • Ma Chose,
    Ton choix est fait et c'est tant mieux. La soumission, pour être érotique et considérée comme telle, ne saurait être imposée à la personne soumise.
    Attention toutefois à ce qu'il est susceptible de faire avec cette image volée surtout si la personne qui te remplace est un homme ! J'espère que tu dormiras mieux cette nuit.
    Un maître.


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  • Bonjour,
    J'ai très mal dormi.
    J'ai discuté avec mon responsable ce matin, pour être affectée sur une
    autre mission. Je me suis sentie soulagée ensuite.
    Suite au prochain épisode.

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  • Alors là ! Je crois que nous avons trouvé notre maître à tous ! Quel culot pour oser te demander ce genre de chose lors du deuxième rendez-vous ! Ou alors, ta soumission, et surtout ton envie de plaisir, se lit sur ton corps, ton visage et que lui a su te déchiffrer.

    Ne serait-ce pas une connaissance de Marc cet homme là ? Ou même Fabrice en personne ? Ou alors...

    En tous cas, te voilà embringuer dans une soumission autrement plus réelle que nos échanges digitaux. Un mèl, ça se lit et ça peut s'oublier mais un ordre donné en direct... Que va te faire découvrir cet homme ? Jusqu'où va-t-il t'entraîner ?

    En attendant qu'il te récupère toute à lui, je te propose ici une nouvelle mission. Elle te conduira dans un endroit fréquenté contenant des sièges ou des bancs (un centre commercial ?). Pour l'occasion, Tu te seras habillée avec ton manteau et ce que tu désires en dessous mais sans jupe ni pantalon. Tu te promèneras ensuite dans le centre avec les mains dans les poches pour repérer l'endroit où tu pourras t'asseoir. Tu le feras alors en maintenant tes mains dans les poches qui, croisées sur ton bas-ventre, éviteront l'ouverture des pans de ton manteau.

    Ainsi, tu devrais te retrouver assise avec les mains discrètement rassemblées au-dessus... de ton sexe. L'une d'elle s'occupera alors de ton clitoris pendant que l'autre servira à masquer tes mouvements.

    Cette mission te demandera peut-être un peu d'entraînement pour savoir rester discrète mais quelle récompense pour la chienne lubrique que tu es de pouvoir enfin se masturber au vu, mais pas au su, de tout le monde !

    Un (de tes nombreux) Maîtres.

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  • Je profite d'un moment disponible pour vous faire un retour sur ma mission de ce matin. J'en suis encore toute retournée. J'avais rendez-vous à 10h30 dans une salle de réunion. Mon client est arrivé et il a eu le même regard pénétrant que la fois précédente. J'étais certaine qu'il savait et cela me troublait. Je suis devenue toute rouge et j'ai baissé les yeux. Il a simplement dit que j'étais ravissante lorsque je m'habillais léger ! Cela m'a fait frissonner et mes tétons sont devenus tout durs. Nous avons échangé ensuite sur le contenu de ce que j'avais préparé. Il avait le même ton ferme et la voix douce que la fois précédente. Nous avons fait une pause au bout d'un moment et nous avons un peu échangé sur autre chose que l'environnement professionnel. Il m'a demandé si j'étais mariée et si mon mari acceptait que je sois les seins nus à mon travail ? J'en étais soufflée ! Ecarlate aussi ! Je connaissais à peine cet homme et il me parlait de choses intimes ! Je me suis mise à bredouiller une excuse. Il me savait troublée et il en profitait pour continuer à jouer avec mon malaise. Il me dit qu'il apprécierait particulièrement si je pouvais continuer à m'habiller comme cela ! Mais le ton employé était sans équivoque. Il fallait traduire en « Habillez-vous de la sorte où ce n'est plus la peine de travailler ensemble ! ». Puis il me demanda si je portais un collant. J'étais cramoisie. Je n'osais pas répondre. Il répéta sa demande. J'étais complètement bloquée. Il me dit alors qu'il allait appeler mon responsable pour lui signaler que j'avais une tenue indécente. J'ai cru alors que tout s'écroulait.

    Il prenait déjà le téléphone et cherchait le numéro. J'étais entrée dans un piège et je me voyais déjà licenciée, Marc au courant, ... Je l'ai supplié de n'en rien faire, que ce n'était pas dans mes habitudes ! Du fond de moi-même, je maudissais Fabrice et ses idées perfides. Le monde s'écroulait autour de moi.

    Il reposa alors sa question en m'indiquant qu'il n'aimait pas attendre. Je lui ai alors précisé que ce n'était pas un collant. Je n'avais plus le choix que de lui être obéissante. Je ne tenais pas à perdre mon job ! Je m'aperçois que les missions que vous me faites jouer ne sont pas exemptes de danger !

    Il me promit d'être discret mais qu'en échange, je devais être très obéissante. J'avais les larmes aux yeux. Je le remerciais. Je pensais mon épreuve terminée lorsqu'il me demanda si j'étais en string ou avec une culotte classique. Je ne savais plus où me mettre. Cet homme me mettait mal à l'aise. C'était un peu comme avec nos correspondances mais avec quelqu'un de réel en face de moi. C'est très troublant. Et curieusement c'est très excitant. Après avoir eu peur comme jamais avec son histoire de révéler tout ceci à mon patron, j'avais l'impression qu'il jouait de moi, qu'il utilisait mes nerfs. Qu'il savait abuser de ce qui me trouble ! J'ai baissé les yeux et je lui ai dit. « Je n'ai pas de culotte ». Il a pris son téléphone et j'ai cru que tout recommençait ! Il m'a alors tutoyée et m'a demandé de lui montrer ma chatte. J'ai levé mes yeux tellement je pensais que c'était hors de propos. Il rajouta simplement qu'il avait horreur de répéter. La salle de réunion était une salle borgne. La porte était fermée. J'ai relevé ma jupe doucement et je lui ai montré mon sexe lisse et baveux. Il m'a demandé de placer mes bottes sur la chaise. Je lui obéissais entièrement. Ce mélange de peur et d'excitation m'avait complètement rendue dépendante. En plaçant mes talons sur la chaise, j'ai du ouvrir les cuisses. Je n'osais pas le regarder mais ma chatte était complètement ouverte. Il m'a dit de le regarder dans les yeux et au moment où je levais mon regard vers lui, j'ai vu qu'il me photographiait avec son téléphone portable. Il a juste dit de ne pas le décevoir ou bien il saurait utiliser ce cliché. Il m'a ensuite dit de  rabaisser ma jupe et nous avons repris notre conversation professionnelle comme si rien ne s'était passé !

    A la fin de l'entretien, après l'avoir quitté, je suis allé aux toilettes et j'ai utilisé vos gadgets.  Je deviens complètement dépendante de tous ces scénarios qui m'arrivent ! J'ai enlevé ma jupe et mon chemisier. J'étais nue avec mes bottes et mes bas noirs. Je me suis sodomisée en m'asseyant sur le plug enduit de lubrifiant puis, je me suis masturbée avec le gros godemiché qui me dilatait la chatte. Je m'imaginais que j'étais prise par plusieurs hommes et que Marc me regardait. Il faut que je me calme.


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