• Ma Chair convoitée,

    J'en ai rêvé, vous l'avez fait ! J'avais en effet imaginé initialement te faire appeler Marc depuis ton taxi car je savais que l'aventure n'en aurait été que plus torride. Mais je me disais alors que parler crûment sexe devant une personne étrangère pouvait s'avérer délicat. Il se trouve que j'avais tort !
    Je salue donc ici ton courage pour t'être ainsi exhibée devant ce parfait inconnu... voyeur tout de même. Il y en a qui ont de la chance ! Et je félicite Marc pour sa perversité qui nous permet de bénéficier à nouveau d'un récit très excitant.
    Et quel vicieux de t'infliger ainsi des jours sans coït ! Nous pouvons constater que cela est une vraie punition pour toi dans la mesure où il a pu obtenir de toi tout ce qu'il désirait. Bien sûr, et même sans cela, je suis sûr que tu aurais respecté à la lettre le contrat qui te lie désormais à lui. Mais Marc a pu se faire plaisir en constatant que tu n'étais vraiment qu'une salope, prête à tout pour obtenir ses faveurs. Mais, au fond, étais-tu vraiment la seule punie ?

    A très vite pour une autre mission.

    Un maître.


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  • Bonjour,

    Et bien voilà enfin le récit de ma mission.

    J'avais besoin de me rendre en province mercredi et donc d'utiliser, comme je le fais parfois, les services d'un taxi. Ceci dit, je n'avais jamais réalisé ce que vous m'avez demandé là ! En fait, j'étais passablement excitée comme je vous l'ai indiqué avant de partir le matin même. Cependant, au moment de passer à l'acte, j'ai été comme paralysée. En fait, je ne savais pas comment aborder la discussion et finalement, j'ai du renoncer, ce qui n'est pas très habituel pour moi ! Il faut dire que la circulation était fluide et que je suis arrivée rapidement à destination. Bref, j'ai tout raté ! Je suis allée revêtir une robe une fois arrivée à l'aéroport et j'ai ensuite été happée par mon travail.

    Je suis rentrée de province assez tard et j'ai senti de nouveau l'excitation me gagner. Je suis donc repassée par les toilettes et là, j'ai de nouveau enlevé ma robe avant de revêtir mon imperméable à même ma peau. Encore une fois, je me suis rendue compte que j'étais trempée ! Mais, à la différence du matin, je sentais une pression d'enfer qui montait, au fur et à mesure où je me rapprochais de la station. En fait, j'essayais de me doper, de me dire que j'étais une salope et qu'il s'agissait maintenant de le prouver !

    Je suis montée en taxi alors qu'il faisait nuit. Je me suis alors dit que cela allait sans doute faciliter les choses. J'ai donné ma destination en m'asseyant. Je me trouvais à la place arrière droite. Le chauffeur semblait assez jeune. Nous sommes alors partis mais, à la différence du matin, il y avait pas mal de circulation et nous roulions parfois au pas. J'ai échangé quelques banalités mais, j'avais du mal à aiguiller la conversation comme vous me le demandiez... En fait, tout s'est bousculé lorsque mon portable à sonné : C'était Marc qui s'inquiétait de mon retard. Je lui ai répondu de ne pas s'inquiéter, que j'étais en taxi mais que cela bouchonnait. Mais comme j'avais les nerfs à vif compte-tenu de la situation, Marc m'a demandé si cela allait. Je l'ai rassuré mais ce cochon s'est douté qu'il y avait quelque chose. Il m'a dit que j'avais ma voix de putain et qu'il était certain que j'avais envie. Curieusement, cela a du l'exciter à son tour et, alors que je pensais pouvoir éviter son questionnement, j'ai senti qu'il avait envie de m'humilier. Il m'a alors reposé la question, mais j'ai senti que son ton avait changé. Il était plus autoritaire, comme lorsqu'il me demande de faire des choses cochonnes. J'ai fini par lui répondre oui mais j'étais pas mal gênée car, malgré l'autoradio,  le chauffeur pouvait m'entendre. Mais Marc insistait : « Oui quoi ? ». Silence gêné de ma part. Marc m'a alors rappelé ma lettre de soumission totale. Je savais qu'il fallait que je lui réponde, qu'il était en train de tester mon obéissance ! J'ai inspiré et j'ai distinctement répondu « Oui, j'ai envie ». J'étais assez contente car j'avais réussi à vaincre mes inhibitions et ma phrase pouvait malgré tout être interprétée de manière moins osée que je ne le craignais ! Mais Marc continuait à me rabaisser. « Ah bon, mais tu as envie de quoi ? ». Nouveau silence, puis Marc qui continue « Je n'ai rien entendu ». J'essaie alors d'esquiver par une pirouette dans le genre « Tu le sais bien », mais il revient à la charge de façon plus insistante. « Tu vas me répondre à haute et intelligible voix que tu as envie de te faire baiser ». Je ne vous raconte pas la pression et la honte qui me submerge à cet instant. Bizarrement, je ressens également cette excitation, cette sensation humide entre mes cuisses. C'est ce mélange détonnant qui finira par me perdre. La honte et l'excitation réunie. Je réponds alors à son attente. « J'ai hâte d'être arrivée pour que tu me fasses l'amour ». Je suis toute rouge et je contente d'être dans l'obscurité. Je sais que le chauffeur à tout entendu car il jette un coup d'œil furtif  dans son rétroviseur. Marc me reprend alors : « Ce n'est pas la phrase que je t'ai demandée ». Et me voilà obligée de répéter explicitement. « Oui, j'ai envie de me faire baiser ». Je suis maintenant écarlate ! Je vais passer pour une traînée ! Marc continue maintenant en me demandant de lui parler exactement comme si j'étais seule avec lui et me précise qu'à chaque erreur ou omission de ma part, il me faudra attendre une journée avant de me faire baiser. Là je trouve qu'il exagère ! Il me demande alors pourquoi je suis excitée. Je lui réponds que je ne sais pas. Marc me dit alors que je viens de perdre une journée. J'avale ma salive. Devant, le chauffeur a arrêté la musique et la pression est à son maximum. Je sais qu'il écoute. Je sais que Marc attend des explications. L'un et l'autre attendent. Je sens ma chatte couler et je sens que je suis excitée au maximum. Alors je me lance. Doucement d'abord. « C'est ma tenue ». Marc me demande d'expliquer. Je lui dis que j'ai mon imperméable. Marc me demande de poursuivre. J'ai ma guêpière. Marc me reprend, après avoir dégluti, signe qu'il est très excité lui-aussi : « Ta guêpière seins-nus ? ». « Oui, ma guêpière seins-nus ». Et puis je continue, rassurée de son excitation. « Je n'ai que ma guêpière seins-nus sous mon imperméable ». Je lui dit alors que je suis complètement trempée et que j'ai envie de me faire prendre. Marc me demande si le chauffeur entend et je lui réponds que oui. Il me demande si cela m'excite et je suis forcée de lui dire que oui. Marc me demande alors de mettre le téléphone en main libre. Je commence à redouter le pire, mais en bonne épouse dévouée, je m'exécute. Je place le téléphone sur le siège et la voix de Marc s'entend alors de faon intelligible. D'un autre côté, cela me rassure un peu de montrer au chauffeur que je suis obéissante, que je fais ces cochonneries parce qu'on me les demande ! Le chauffeur et moi-même entendons alors Marc qui me demande de défaire le bouton du haut de mon imper. Je résiste tant bien que mal en lui disant qu'il exagère et que je suis en taxi ! Mais Marc continue. « Tu viens de perdre une autre journée... » Alors je m'exécute et j'enlève le bouton. Je sens le regard du chauffeur dans le rétroviseur. Bien sur on ne voit rien mais la situation est hyper-excitante ! « Je l'ai fait, tu n'es qu'un cochon ! » Marc réagit alors en me disant qu'une femme sérieuse ne se promènerait pas habillée en putain sous son imperméable ! Je lui explique alors que nous n'avions pas fait l'amour depuis plusieurs jours et que j'avais envie de lui. Mais Marc me reprend encore en expliquant qu'en fait, j'ai surtout envie de jouir. Puis il complète en me demandant d'enlever encore un bouton. Je regarde autour de moi mais comme il fait nuit, je pense encore passer inaperçue. J'enlève le bouton et ma guêpière commence à apparaître. « Tu es mouillée ? » Et je réponds que je suis complètement trempée. J'entends Marc comme dans un rêve. Je sais que je suis sa putain et que je ferai tout ce qu'il me dira. Puis j'entends sa voix me demander de tout déboutonner. Nous sommes arrêtés au milieu des voitures. J'ai peur d'être vue. Mais j'ai une envie hyper-puissante qui monte en moi. Je défais les deux derniers boutons, en ayant soin de maintenir mon manteau en place. « C'est fait ». Marc me demande alors d'ouvrir mon imperméable. Le chauffeur s'est retourné et j'ai peur qu'il ne me fasse une réflexion. Mais il regarde seulement. J'ouvre lentement mon imper et je le vois qui me regarde avec envie. Marc me demande si le chauffeur apprécie et je le vois qui sourit. « Je suis entièrement nue devant lui ». Le trafic reprend alors. Je me souviens de votre demande de me caresser et c'est moi qui explique à Marc que je commence à me branler. Ma chatte est dégoulinante. Mon clitoris est tout gonflé et la jouissance arrive presque aussitôt. Je gémis dans la voiture en expliquant que je suis une chienne et que je me fais jouir. J'entends alors Marc me dire à tout de suite et raccrocher. Curieusement, je me suis alors sentie très seule et extrêmement gênée ! Heureusement, le chauffeur n'a rien dit jusqu'à ce que nous arrivions. J'ai payé et le chauffeur m'a tendu le justificatif. Je l'ai remercié et je suis sortie rapidement. Marc n'a fait aucune allusion à la maison, mais il ne m'a pas fait l'amour non plus. J'avais très envie mais comme j'avais perdu deux jours, il va me falloir patienter !

    A bientôt.


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  • Bonjour,

    Un petit mot en passant pour vous expliquer que je pars à Orly ce matin...

    ... en taxi.

    Comme le temps est pluvieux, j'ai mon imperméable. Mais comme il ne fait pas trop froid non plus, j'ai simplement une guêpière seins-nus dessous, en plus de mes chaussures à talons.

    A bientôt...

    PS : J'allais oublier : je suis trempée.


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  • Ma chair allumeuse,

    Quelle pervers vous faîtes désormais ! Te voilà en train d'aguicher des étudiants en ne pensant qu'à l'excitation que tu provoques chez ton mari et lui se délecte de pouvoir montrer qu'il est voyeur. Et à son propos, je suis surpris qu'il ait même pu un instant penser que tu ne t'exhiberais pas plus loin. Son «Chiche ! » était alors presque une insulte, non ?

    J'aime beaucoup ces missions que vous réalisez ensemble car la présence de Marc à tes côtés t'autorise une liberté d'esprit qui te permet de laisser totalement parler ta sensualité, pour ne pas dire ton érotisme. Cela nous livre ces troublants récits qui attirent ici de plus en plus de lecteurs séduits. Et même si certains ne peuvent s'empêcher d'être critiques, ils les auront néanmoins lus.

    Tu me demandes des missions plus difficiles. Ca, je pense pouvoir le faire... dès maintenant d'ailleurs. Plus cochonne, je me demande bien ce que cela veut dire ? Les missions qui te sont imposées ne sont que des canevas sur lesquels tu peux broder à l'infini. Ces missions ; c'est toi qui les animes et c'est donc toi qui peut les rendre plus cochonnes.

    La mission que je t'impose ici n'est donc pas, à mon sens, des plus faciles mais elle va te permettre de montrer à tous ta totale soumission. Le lieu choisi sera... la banquette arrière d'un taxi. Tu appelleras donc un taxi et demanderas une course dont la durée sera suffisante pour te permettre de réaliser la tâche qui t'est confiée ici. Pour être parfaitement prête, je t'engage à utiliser un de tes sex-toys.

    Première étape : tu vas faire semblant de voir dans une autre voiture une scène torride (je te laisse le soin de l'imaginer). Cela devrait te permettre d'aborder avec le chauffeur le sujet des passagers un peu chauds qu'il a pu convoyer depuis ses débuts. Fais-le parler au maximum en faisant préciser les détails croustillants.

    Deuxième étape : Si tout se déroule comme prévu et que ton chauffeur est bien en <script></script> forme, tu devrais commencer à avoir chaud au bas-ventre. En tous cas, à un moment de la course, tu vas devoir glisser la main sous ta jupe pour te caresser jusqu'à la jouissance. Attention alors à bien choisir ta place !

    Je pense qu'ensuite, il te faudra avouer à ton mari la troublante traversée de Paris que tu viens d'effectuer.

    A très bientôt.

    Un Maître.


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  • Bonjour,

    Pas de souci pour continuer à correspondre, il me déplairait que nous arrêtions là ! Je tenais juste à vous exprimer pourquoi je suis un peu moins assidue ces temps ci...

    J'ai donc réalisé ma mission ce week-end. Jupe courte et droite, pull moulant et décolleté, bas-coutures noirs et escarpins, lunettes de soleil. Soutien-gorge très échancré et pas de culotte. L'effet faisait un peu dans le genre hôtesse de l'air ou femme d'affaire sexy ! Je portais un imperméable par-dessus le tout et j'étais accompagné de Marc qui ne savait rien de ma tenue. Nos avions décidés d'aller nous promener dans Paris. C'est affectivement ce que nous avons fait. Dans l'après-midi, Marc a proposé de nous arrêter dans un bistrot. C'est à ce moment que je me suis faite câline avec lui. Je lui ai dit que j'avais envie. Marc n'a rien répondu mais j'ai insisté. Je lui ai dit que j'avais envie de le faire bander. J'ai rajouté que j'avais une idée, mais qu'en contrepartie, il allait devoir boire son verre seul. Comme il ne comprenait pas, j'ai précisé que je le voulais comme spectateur et que nous allions entrer dans le bar séparément, comme si nous ne nous connaissions pas.

    Marc a alors acquiescé, ravi et je suis entrée dans le bar. Il y avait un peu de monde tout de même, mais pas énormément non plus. Je me suis installée à une table seule et, pendant que je posais mon sac, Marc est entré et est allé s'asseoir un peu plus loin, à une autre table. J'ai ouvert et ôté mon imper. Au regard de Marc, que je scrutais discrètement, j'ai su que je produisais de l'effet. Un garçon est passé prendre commande et j'ai pris un café. J'étais du côté de Saint-Michel et il y a pas mal d'étudiants dans le coin, certains travaillant sur leur ordinateur.

    J'ai alors suivi vos conseils et j'ai sorti un livre en croisant les jambes. Je surveillais derrière mes lunettes l'effet que je produisais. Marc était aux anges et un des étudiants m'a désigné discrètement à son camarade. En baissant mon regard, je me suis aperçue que la lisière de mes bas était bien visible et cela m'a fait mouiller de penser que je faisais la salope devant mon mari. J'ai pris plusieurs fois des poses suggestives en cambrant discrètement les reins et en tendant mes seins. Bien évidemment, cela forçait ma jupe à remonter peu à peu. J'ai alors poussé le vice à écarter doucement les jambes. Pas de façon provocante mais l'effet était le même. Manifestement mes deux étudiants étaient plus intéressés par mes cuisses que par leur micro ! Marc était dans le même état car il m'a envoyé un SMS me traitant d'allumeuse ! Je lui ai aussitôt répondu que, s'il le souhaitait, je leur montrais ma chatte. J'ai discrètement vu Marc rougir et taper sa réponse. Dans ma tête, les choses se bousculaient et je craignais que Marc ne trouve que j'allais trop loin ! Je continuais à faire semblant de lire mais mon attention était autre part... J'ai senti mon téléphone vibrer et le message est arrivé. « Chiche ! » Tout en contrôlant que j'étais toujours la cible de leur regard, j'ai alors fait malencontreusement tomber un sucre par terre. Il m'a donc fallu le ramasser en écartant les cuisses. En me relevant, j'ai vu que les deux jeunes étaient tout rouges. Marc était bouche bée, bien que, placé comme il l'était, il n'ait rien pu voir sous ma jupe ! Mais il savait que je venais volontairement de leur montrer que j'étais une putain. Je me suis alors levé et je suis sortie du bar. J'avais chaud partout. Marc n'a pas tardé à me rejoindre et m'a demandé de me placer devant le bistrot, séparé des étudiants par la cloison en verre. Il m'a alors embrassée devant eux avec sa langue, ce qui a du leur faire comprendre que je le connaissais et donc que je venais de m'exhiber volontairement. Je me suis alors aperçue que j'étais trempée. Il a ensuite doucement fait passer sa main sur mon pull et m'a pincé un sein avant que nous ne partions.

    Voilà ma mission réalisée ! Je deviens de plus en plus chienne. Marc se régale et moi aussi par la même occasion.

    Etes-vous fier de moi ?

    Si c'est le cas, j'aimerais pour la prochaine fois une mission plus difficile. Un truc encore plus cochon. Je voudrais vous montrer que je suis vraiment devenue une salope. Je vous laisse imaginer ce que vous voudrez. Je suis votre putain et j'attends vos ordres.


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